Les Euménides

trouver seuls) : Quelle première image d’Electre cette scène nous donne-t-elle ? f I. Une entrée en scène bien préparée (correction du travail de préparation) I,1 : * Electre va se marier avec le jardinier. * Parodie des Euménides (divinités du destin). * Oreste parle des pieds d’Electre, « les + nus, les + blancs » => froideur, pureté. I,2 : Le Président, « Elle ne fait rien. Elle ne dit rien. Mais elle est là. ») => Electre ne serait-elle qu’un objet ? I

ratée, mais une pièce baroque exceptionnelle. Temps – on considère que l’illusion opère mieux si le temps de l’intrigue correspond au temps de la représentation. Préface de Pierre et Jean – « le vrai n’est quelque fois pas le vraisemblable ». Les Euménides ne respectent ni la règle de temps, ni celle de lieu. En effet la pièce comme à Delphes et se finit à Athènes. Il faut du temps à Oreste pour qu’il soit lavé de son crime. Lieu – toujours au nom de la vraisemblance, un seul lieu pour l’action.

capables de construire une justice qui ne s’indexe plus sur l’intérêt du plus fort mais sur celui de l’ensemble du groupe. Cette volonté générale, en s’opposant à une loi injuste, crée une justice évolutive, à la taille des hommes. Ainsi dans Les Euménides, c'est une instance humaine qui, sous le patronage d'Athéna, règle le sort d'Oreste. 13 - Dans Les Raisins de la colère des lois injustes sont au service des puissants. 14 - Des nouvelles lois sont inventées par les migrants au camp de Weedpatch

n'agissent qu'en conformité avec leur devoir qui leur est dicté moins par leur cœur que par les dieux et leur habitude de craindre les dieux. Ainsi, la loi du talion humaine est redoublée au niveau divin par l'importance des Érinyes. La fin des Euménides montre bien que le dépassement de la logique de vengeance vers la justice ne se fait que par la médiation d'Athéna, déesse de la sagesse. Enfin, chez Steinbeck, à la fin du roman, la mère de Rose de Saron dit à sa fille qu'elle était certaine

venait de fonder son culte à Délos désirait faire sien l’oracle de Delphes, il tua donc le python et fit du sanctuaire sa résidence. Ce mythe, très populaire dans la Grèce Antique, nous est rapporté par Eschyle (vers 525 à 456 av. JC) dans les Euménides. L’organisation des éléments du sanctuaire suit le cheminement de la Voie Sacrée qui conduit de l’entrée du temenos (l’enceinte du sanctuaire) au temple dorique d’Apollon, construit sur une terrasse en surplomb (détruit en 373 av. JC par un incendie

veut dire ‘celle qui porte des offrandes’ > raconte la vengeance d’Oreste, pour venger aga et assassiné sa mere et l’amant La troisième: ‘les Euménides” > met en scène le procès d’Oreste. euménides = renvoit à la décision du tribunal car euménides signifie ‘les bienveillantes’ aka les erinyes, en raison de la décision du tribunal deviennent les euménides. = les bienveillantes. est très précieuse car seul expemple qu’on a concervés. 2. Sophocle( tjrs au 5ème siècle. ) “Electre” > oeuvre de shopocle

5 : Etudier les caractéristiques génériques de la pièce en montrant en quoi elle est apologue et proverbe. Lectures Analytiques Lecture analytique n°1 : Acte I scène I Cour intérieure dans le palais d’Agamemnon. L’ETRANGER, LES PETITES EUMENIDES, LE JARDINIER, LES VILLAGEOIS Un étranger (Oreste) entre escorté de trois petites filles au moment où, de l’autre côté, arrivent le jardinier, en costume de fête, et les invités villageois PREMIERE PETITE FILLE. Ce qu’il est beau, le jardinier 

l’"Histoire". 3) Un accomplissement du fatum Oreste ne peut échapper à la fatalité du mythe, comme Égisthe et Clytemnestre. Étymologie : fatum= ce qui a été dit ; mythe= parole La voix du mendiant est donc celle du destin, encore plus que celle des Euménides. Conclusion : Ce récit de meurtres horribles raconté par le mendiant inspire la pitié pour Clytemnestre alors que la mort d’Égisthe est tragique. Le mendiant apparaît comme le Coryphée (il récite) et comme un voyant : il est doué de prescience

Sophocle, au point que sa tragédie exclut toute idée d'une vengeance divine, normalement consécutive  à tout matricide. En effet, chez Eschyle et Euripide, les Érinyes, déesses de la vengeance, interviennent aussitôt l'assassinat perpétré. Dans les Euménides d'Eschyle, dernier volet de l'Orestie, Oreste devra procéder, non sans difficulté, à sa purification. De tout cela, nulle trace chez Sophocle, qui termine la pièce sur la fin de la malédiction des Atrides que ce meurtre, que l'on peut qualifier de

tragédie: Dans l'Orestie d'Eschyle: 1- Agamemnon: il est tué par Clytemnestre qui se venge du meurtre d'Iphigénie. 2- Les Choéphores: Oreste tue Clytemnestre et Egisthe. Il est alors poursuivi par les Erinyes, déesses de la vengeance. 3- Les Euménides: grâce à Athéna et au tribunal de l'Aréopage, Oreste est acquitté du meurtre de sa mère. Les Erinyes deviennent les Oeménides, déesses bienveillantes louées à Athènes.  C'est le seul exemple de comparaison des 3 Tragiques. Euripide et Sophocle