Les Exemples De Amour Impossible

COMMENTAIRE Cette oeuvre a pour thème : l'amour impossible. En effet ct texte est une tragédie qui met Titus, Empereur Romain, est face à un affreux dilemme : choisir entre son siège d'Empereur et son amour Bérénice qu'il aime passionément. C'est une tragédie, qui doit susciter la crainte et la pitié, écrite par Racine, un dramaturge qui appartenait au mouvement du classicisme. Toute l'invention de Racine se résume à "faire quelque chose à partir de rien." En effet dans ce texte la problématique

d'insistances 1. La répétition: Exemple: " Jeanne allait vite, sans souffrer, sans savoir, sans réfléchir à rien" 2. L'anaphore: La répétition de certains éléments au début : - soit de plusieurs vers - soit de plusieurs phrases - soit de plusieurs proposition. "Puisque je ris à peine aux enfants qui m'entourent, puisque je ne suis plus réjoui par les fleurs, puisqu'au printemps, quand Dieu met la nature en fête, j'assiste, esprit sans joie, à ce splendide amour ..." (Hugo) 3. Le chiasme: Deux

la jeune fille. La seconde évoque les possibilités amoureuses. Mais on note tout de suite la présence du conditionnel, employé ici comme mode : actions possibles mais pas certaines. D’ailleurs la troisième évoque la déception générée par cet amour impossible. On peut donc s’aider du repérage des champs lexicaux : Champ lexical des sentiments : le cœur au mien répondrait v 6, le bonheur, harmonie v 11 Champ lexical de la lumière : brille v 3, l’éclaircirait v 8, doux rayon v 10, m’a lui v 10

sera punit par elle-même de son amour envers Horace et insiste encore sur sa colère. Arnolphe pensait l’avoir convaincu de l’aimer mais il voit que tous ses efforts n’ont servis à rien. Il pense aussi que Agnès lui devait son amour : « elle trahit mes soins, mes bontés, ma tendresse » ». Il pense également que tout se répare et notamment par l’argent, c’est son seul atout par rapport à Horace. On imagine qu’elle préfère donc rester avec Horace tout simplement par amour. Les arguments d’Arnolphe pour

moi ne se laisse pas aisément déduire de la simple contemplation des apparences qu'autrui a sous les yeux. Certes, ces dernières disent quelque chose sur moi, exposent ou révèlent par le langage des gestes ou la parole des signes extérieurs (par exemple vestimentaires) quelque chose de moi-même qui m'est propre, mais qui en réalité peut tout aussi bien n'être qu'un masque et un costume déguisant ma véritable personnalité. En ce sens, mon moi n'est pas réellement appréhendé par le spectateur

du XVIIème siècle en Espagne, suite au déclin d’une monarchie. La pièce étant constituée de 5 actes écrit en alexandrins est en effet un drame romantique mais apparaît aussi en tant qu’histoire amoureuse tragique car l’estimation sur cet amour se révèle impossible, une estimation qui touchera profondément le valet qui se suicidera par la suite du refus du pardon de sa bien-aimée, ici se présente en quelque sorte un mélange de genre, avec du mélodrame, du drame, du tragique et de la comédie, donc la

classe sociale. Par exemple dans Les Fausses Confidences, de Marivaux, alors que Dorante n'est issue que de la basse bourgeoisie, la famille d'Araminte aspire a entré dans la noblesse par l'alliance d'Araminte avec Le Comte. Le fossé crée par cette différence de classe sociale, était très important à l'époque, et le reste d'ailleurs encore de nos jours. Il paraissait totalement invraisemblable qu'une personne de bonne famille épouse quelqu'un issu d'un milieu paysan par exemple. Toujours, dans les

surtout au théâtre, si l’on en juge par Marivaux ou encore par de nombreuses pièces de Molière. La pièce Le Mariage de Figaro, comédie du XVIIIe, n’échappe pas à cette règle. Ici le dramaturge Beaumarchais met en scène un jeune page épris d’un amour impossible pour sa maîtresse. Dans la scène 7 de l’acte I de cette pièce que nous aurons à analyser, le jeune page en question, Chérubin essaye de dérober le ruban de nuit de sa maîtresse à Suzanne, la camériste de celle-ci. Nous étudierons d’abord

la plus représentative de la dualité des héros romantique, puisqu’il met en valeur la méta-théâtralité : ils jouent un personnage. Que ça soit parce qu’on lui a demandé ou de son propre chef, le héros romantique est un dissimulateur : citons par exemple Ruy Blas, valet de son état, qui se fait passer, sous l’ordre de son maître Don Salluste pour un comte ; ou encore La Tisbe, qui fait croire à tous les grands de Padoue et en particulier au podesta Angelo, que Rodolfo est son frère, et qui se fait

un phonème d’écart [l] ce qui marque une redondance comme les vagues qui pourraient happer le poète en lien avec la symbolique de l'eau. *Puis, dans tout le poème on observe cette perte d’identité, cette perte de repère vis à vis de soi, par exemple au vers 4 « moi qui suis mon propre inconnu » on observe un rapport antithétique à soi avec cette confusion, cette opposition entre « moi » et « inconnu » ( a priori deux antonymes) cette perte d’identité est renforcée par le terme « propre » qui