Les Fables Servent Elle à Distraire

cherche donc à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Certain, comme Anouilh considère qu’ « écrire des fables soit une entreprise futile » mais au contraire beaucoup d’autres écrivains comme le grand fabuliste Jean de la Fontaine pensent que les fables sont utiles

jugement? La fable est un court récit ayant une portée moralistique,le conte lui est le genre littéraire le plus proche de l’ homme,il tend à initier le lecteur à la sagesse avec humour et dérision.Prochainement nous verrons si la fable et le conte ne servent qu’a amuser le lecteur ou bien si ils on un double enjeux qui n’est pas seulement de distraire mais également de faire passer un message serieux,dénoncer des erreurs. Ces genres littéraires peuvent sembler puérils pour les

DISSERTATION → Sujet : Pensez-vous que les œuvres littéraires doivent toujours inculquer une leçon à leurs lecteurs ? | → Plan :Introduction. I- Des œuvres didactiques. a) Un apologue, la fable. b) Les contes, une morale implicite. c) Le théâtre, une morale discrète. II- Mais pas « toujours ». a) littérature engagée, convaincre le lecteur. b) le romantisme. c) livres fantastiques, policiers... Conclusion + ouverture. Pour commencer, La littérature est un

Lecture linéaire 1Le pouvoir des fables Introduction :Souvent critique à l'égard du pouvoir Royal, La Fontaine ne s'interdit pas pour autant de soutenir la politique extérieure menée par Louis XIV ; plus particulièrement dans le 2nd recueil des fables. 4e fable du livre 8 « le pouvoir des fables » et justement dédié à un ambassadeur, monsieur de Barillon qui s'apprête à jouer un rôle de toute importance auprès des Anglais : les convaincre de ne pas rompre leur alliance avec la France par rapport

Introduction : Chaque poète a sa propre définition de la poésie. Paul Valéry à dit « La poésie est une hésitation prolongée entre le son et le sens » (au XXème siècle). Alain Bousquet a écrit un recueil nommé « sonnet pour une fin de siècle » en 1980, où se trouve notamment le poème « défense du poète ». Dans ce poème il exprime ses sentiments, ses inquiétudes envers la définition exacte de la poésie, à quoi sert-elle ? Nous pouvons le comprendre grâce à cette question, qu’il pose dans le poème :

Pensez-vous que cette critique s’applique à Candide ? Vous expliquerez ce jugement en vous appuyant sur votre lecture de l’œuvre. Voltaire, né en 1694 à Paris et mort en 1778, est connut comme l’un des philosophes les plus marquant des Lumières. Il prône une monarchie modéré et libérale et défend la vérité, la justice et la liberté de penser. Il est surtout reconnu pour son œuvre Lettres philosophiques dans laquelle on trouve l’ironie qui a fait sa renommée. Son œuvre Candide est publiée

engagé ou non. Comme par exemple dans les fables de Jean De La Fontaine où il y a à chaque fois derrière un texte poétique une morale qui fait bien réfléchir plus particulièrement dans La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf où l'on a pour morale « Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs, tout prince a des ambassadeurs, tout marquis veut avoir des pages. » ce qui veut dire que à l’époque, il y avait une pratique qui consistait à vouloir paraître d’un rang plus élevé que

majeurs de l’humanité qui est sa crédulité et sa facilité à croire toutes sortes de superstitions et autres fables, c’est qu’Erasme critique ici, mais cette critique se veut plus profonde et nous verrons ensuite qu’il s’agit surtout de mettre en cause la religion qui se sert de cette faiblesse humaine « pour son plaisir ou son profit ». 1. Se placer du point de vue de la folie Dans l’Eloge de la folie, Erasme choisit de donner la parole à celle-ci, et s’efface derrière elle. C’est le cas ici : «

message à la société de leur époque. L’apologue est un court récit ayant pour but de transmettre une idée, une morale, à travers une histoire fictive, la plupart du temps. Dans Micromégas, conte philosophique publié par Voltaire en 1752, le géant Sirius déclare «  Je ne veux pas qu’on me plaise […], je veux qu’on m’instruise. ». Cette phrase, explicite d’une idée du philosophe, nous montre bien que pour lui l’apologue est un genre visant à convaincre son lecteur, et n’ayant aucunement recours à de la

lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine, dans ses Fables, y voit le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui ». Son mot d’ordre, plusieurs fois affirmé, est en effet de « plaire tout en instruisant ». Comment peut-on penser l’articulation entre ces termes qui semblent a priori relevés de deux visées contradictoires ? C’est surtout parce qu’il joint l’utile à l’agréable que l’apologue