Les Fées

Exposé sur les contes de Perrault Lorsque Charles Perrault écrit au XVIIème siècle, les contes de fées sont très à la mode dans les salons mondains. Pendant les veillées populaires les amateurs des contes lisent et s'enrichissent de ce qu'ils écoutent. Son recueil s'appelle «  Contes de ma mère l'Oye », la « Mère l'Oye » signifie la nourrice qui racontait des histoires aux enfants pour les tenir sages. Perrault décide d'utiliser ce genre du conte pour donner une sorte d'enseignement aux jeunes

Il était une fois, une jeune fée des dents qui se nommait Ella s’est levée un beau soir pour complète sa mission de la nuits: prendre la dents de Timothe et la ramener à l’académie, avant le lendemain midi ou elle serais déshonorée par toute les fées. Elle parti chez le petit garçon et prit la dent. Mais, cette nuit là, elle devait faire très attention car s’est aujourd’hui le vendredi 13 que les mangeurs de dents et les sorciers se réunissent pour attraper les dents afin de se nourrir et de

transmigration des âmes dans la pensée grecque, présente dans l’hindouisme et le bouddhisme. Temps cyclique          Forte présence de nombre 3 : Trinité (le Père, le Fils, le Saint-Esprit) 3 épreuves, 3 fées, 3 trônes (Royaume sous-terrain), 3 jours pour compléter les épreuves (avant la pleine lune), 3 femmes importantes dans le récit (Ophélia, Mercedes et Carmen), 3 portes (pour trouver le poignard de l’homme pâle)          Le Royaume sous-terrain =

rouge, noir, bleu nuit. 2. Les fées et les lutins Généralités : Gentils, intelligents, espiègles, farceurs, parfois cruels. Pouvoirs magiques. Proches de la nature. Copains avec les oiseaux (et les autres animaux) qui leurs servent parfois de montures. Visuellement : Petits (10 à 20cm), oreilles pointues, nez en trompette. Les fées ont des ailes de papillon. Les lutins portent souvent un chapeau. Les fées sont plus gracieuses. Couleurs : Lutin : vert, brun, orange. Fées : bleu, rose, vert, souvent

l'inquiétant. Le poète découvre l'ivresse du fleuve lui-même, le chant du batelier est associé un thème de mort 4. l'éclatement inattendu du verre : « Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire » (v. 13), comme sous l'effet des sorts jetés par les « fées aux cheveux verts » § L’animation de la nature : le fleuve est « ivre », les vignes s'y « mirent » (s'y regardent comme dans un miroir) et « l'or des nuits [les étoiles] tombe en tremblant s'y refléter ». Deux images se dégagent : celle du regard

personnages du conte (bon ou mauvais), est généralement proche de la réalité et permet à l’enfant de trouver facilement ses repères. « dans les contes de fées » il y a des princesses jolies et heureuse et de pauvres filles qui rencontrent des princes charmants. L’enfant aime longtemps tout ce qui fait rêver ! » La beauté et le rêve Le conte de fées est parmi tous les contes, celui qui a le plus de succès, car il développe le sens du merveilleux, de l’irrationnel dont l’enfant a besoin. L’enfant constate

 Il était une fois, une jeune fille qui s'appelait Ofelia, c'était une enfant rêveuse qui aimait beaucoup les contes de fées. Un jour elle partie en voyage avec sa mère Carmen, enceinte , qui était partie rejoindre son nouveau mari, le capitaine Vidal. La nuit de son arrivée, Ofelia fût guidée par un étrange insecte qu'elle prit pour une fée,cette fée la guida et lui enseigna le début du labyrinthe. C'est alors qu'elle découvrit au cœur de ce labyrinthe, un faune inquiétant. Il lui révéla qu'elle

réellement une mode, Sade ne fait pas que des grands romans ou des textes dialogués. Croisé avec la nouvelle, il y a le genre du conte qui suppose toujours une oralité. [Contes de fées : 1690/1720]. Sur ces contes, en frontispice, il y avait des illustrations qui représentent la conteuse. Superposition des conteuses et des fées : elles n’étaient pas simplement des lectrices du texte, mais qu’elles pouvaient aussi les créer : parallélisme entre la baguette magique de la fée et la plume de la conteuse.

délicieux et déchirant. Et la voix chante celles qui sont bien désignées comme des «fées aux cheveux verts». Elles «incantent l’été», c’est-à-dire l’enchantent. Dans le dernier vers, le «verre s’est brisé comme un éclat de rire». Est-ce par respect de la coutume qui veut qu’en signe de contentement, on brise un verre vidé? Non, c’est plutôt que, sous le coup de la colère, du dépit, de la douleur du souvenir des fées séduisantes mais dangereuses, il a été serrré trop fort, accident qui vient rompre

les plus gentils méritent le plus d'être évité : « [...] qui ne sait que ces loups doucereux, De tous les loups sont les plus dangereux ». ➢Enfin, un autre personnage récurrent, les fées. Une morale est ici donnée sur la gentillesse mais aussi sur les apparences, comme pour le loup du petit chaperon rouge. Les fées sont toujours des créatures pouvant revêtir différentes apparences : « Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire [..