Les Femmes Savantes Acte V Scène Iv

Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon, Un sombre mendiant, l'œil fier comme Antisthène, D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. 3 Sganarelle en riant lui réclamait ses gages, Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant Montrait à tous les

renom, Rosemonde Gérard. Ils allaient avoir deux fils, Maurice Rostand, en 1891 et Jean Rostand, en 1894. ____________________________________________________________ _____________________________ ‘’Les deux Pierrots’’ (1892) Pièce en un acte Un Pierrot triste et un Pierrot gai sont amoureux de la même Colombine. Commentaire La pièce n'était pas assez originale pour être retenue par la Comédie-Française. Rostand, vexé par ce refus, se promit de revenir à la charge. __________

Depuis longtemps, je rêvais de produire à la scène une comédie qui emprunterait le style, les ressorts, les modes, la combustion de notre grand classique comique, tout de même qu'elle serait en prise directe sur notre époque. Non point en recourant au pastiche – c'eût été gratuit et vite fastidieux – mais en m'essayant à une véritable re-création. Et si les Bons Bourgeois s'ouvrent à la manière des Femmes savantes (naturellement, Armande-Philomène

1. INTRODUCTION Le terme « théâtre » désigne à la fois le genre littéraire et l’édifice où se joue une pièce de théâtre. Il s’agit donc de la rencontre de deux espaces : - le texte à code unique (la langue écrite) ; - la scène à codes multiples (les voix, gestes et costumes des acteurs ; le lieu de la représentation y compris les éclairages et les décors). Le théâtre est donc un espace de convergence entre l’auteur, l’acteur et le spectateur et son origine remonte à l’Antiquité

L’École des femmes 1662 Les passages que Molière supprima lors de la représentation sont colorés en gris. PERSONNAGES Arnolphe, autrement M. de la Souche. Agnès, jeune fille innocente, élevée par Arnolphe. Horace, amant d’Agnès. Alain, paysan, valet d’Arnolphe. Georgette, paysanne, servante d’Arnolphe. Chrysalde, ami d’Arnolphe. Enrique, beau-frère de Chrysalde. Oronte, père d’Horace et grand ami d’Arnolphe. | La scène est dans une place de ville. [modifier] Table des matières Acte I

de sa puissance (Spinoza) 16 2. Le désir n’est pas souffrance plaisir (Spinoza) 16 3. Le désir est créateur 17 4. Le désir produit son objet : la cristallisation (Stendhal) 17 Conclusion : la marionnette et le volcan 18 IV. Comment atteindre le bonheur ? 18 A. Satisfaire nos désirs : l’hédonisme 18 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 19 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 20

Philosophes des Lumières ont subi la censure et d'autres emprisonnés comme Voltaire : il s'installe dans le Jura. * Absence de liberté de culte → une religion officielle : le catholicisme , autres religions → malles vues. * Henri IV écrit l'Edit de Nantes, Louis XIV le supprime et l'interdit. Voltaire va se battre pour la tolérance religieuse avec →''Traité sur la tolérance'' → Le fils de la famille de Jean Cals a été tué et celle-ci a été recontacté car il a été injustement

Toutes les affinités amoureuses s’expliqueraient par la nécessité de la survie de l’espèce : les petits aiment les grandes, etc., afin de produire des individus équilibrés. Schopenhauer évoque même une « illusion voluptueuse » : ce n’est pas avec les femmes qui lui semblent les plus belles que l’homme aura le maximum de plaisir sexuel ; la femme qui l’attire le plus ne lui donnera pas un plaisir maximal mais la descendance la plus viable : nos attirances (donc nos désirs) ne sont pas au service de notre

.....4 ACTE PREMIER .......................................................................5 SCÈNE I ........................................................................................6 SCÈNE II.....................................................................................18 SCÈNE III ...................................................................................26 SCÈNE IV....................................................................................28 SCÈNE V ........

Toutes les affinités amoureuses s’expliqueraient par la nécessité de la survie de l’espèce : les petits aiment les grandes, etc., afin de produire des individus équilibrés. Schopenhauer évoque même une « illusion voluptueuse » : ce n’est pas avec les femmes qui lui semblent les plus belles que l’homme aura le maximum de plaisir sexuel ; la femme qui l’attire le plus ne lui donnera pas un plaisir maximal mais la descendance la plus viable : nos attirances (donc nos désirs) ne sont pas au service de notre