Les Fenêtres Charles Baudelaire

porte-parole de Conrad, marin et voyageur comme lui. Il est lui aussi assez ambigu, dans son propos sur les Noirs, sauvages mais "pas inhumains ". 4) La poésie a) « A une passante », Charles Baudelaire, 1857 Ce poème est tiré de la deuxième section des Fleurs du Mal appelée « Tableaux parisiens ». Baudelaire est un adorateur de Paris ( c'est un lieu de rencontres, un lieu d'anonymat, de méditation poétique, c'est un lieu où l'on peut rencontrer celui qu'on aurait pas rencontré à la campagne

lecture. Lisons un passage qui montre un dialogue entre Charles et sa mère : « - Sais-tu ce qu’il faudrait à ta femme, reprenait la mère Bovary. Ce seraient des occupations forcées, des ouvrages manuels! Si elle était comme tant d’autres, contrainte à gagner son pain, elle n’aurait pas ses vapeurs-là, qui lui viennent d’un tas d’idées qu’elle se fourre dans la tête, et du désœuvrement où elle vit. - Pourtant elle s’occupe, disait Charles. - Ah ! Elle s’occupe ! A quoi donc ? A lire des romans

monde ? Lectures analytiques : Rimbaud, Poésies, « La bateau ivre », 1871. Mallarmé, Poésies, « Brise marine », 1887. Apollinaire, Alcools, « Zone », 1913. Documents complémentaires : 1. Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Parfum exotique », 1857. 2. Baudelaire, Le spleen de Paris, « Les fenêtres », 1869. 3. Rimbaud, Illuminations, « Ville », 1873-1875. 4. Rimbaud, Lettre à Paul Démeny dite « du Voyant ». OBJET D’ETUDE I : LA POESIE Séquence 2 : la poétique de Ponge, à la recherche

par l’effet de surprises et les incohérences verbales. Ainsi les phrases sont décontextualisées, et formées d’éléments composites dénotant d’un effort de rupture. - Cette recherche de l’étrangeté se retrouve aussi au niveau des images: Dans « Les Fenêtres » « les tours sont des rues », ce qui permet au poète d’inverser les perspectives. - Des dates et des noms propres sont insérés dans les poèmes: Il cherche à communiquer un message. Cf « La petite auto » qui commence par :  « Le 31 du mois

se moque de ses premiers vers. En 1925, il suit les cours de L'école de Commerce de Marseille, qui ne l'intéressent pas davantage. Il lit Plutarque, François Villion, Racine, les romantiques allemands, Alfred de Vigny, Gérard de Nerval et Charles Baudelaire mais aussi, vraisemblablement, Rimbaud,Mallarmé et Lautréamont, peut-être des poèmes d'Eluard. Il effectue en 1927 son service militaire dans l'artillerie à Nimes, affecté à la bibliothèque des officiers. Il écrit alors une première critique

Paul VERLAINE - 1844 – 1896 - Soleils couchants : Poèmes Saturniens : 1866 Charles BAUDELAIRE - 1821 – 1867 - Harmonie du soir : Les Fleurs du mal : 1861 Arthur Rimbaud - 1854 – 1891

et disparaît. Le grand bois jaunissant dore seul la colline. On dirait qu'en ces jours où l'automne décline, Le soleil et la pluie ont rouillé la forêt. Oh ! qui fera surgir soudain, qui fera naître, Là-bas, - tandis que seul je rêve à la fenêtre Et que l'ombre s'amasse au fond du corridor, - Quelque ville mauresque, éclatante, inouïe, Qui, comme la fusée en gerbe épanouie, Déchire ce brouillard avec ses flèches d'or ! Qu'elle vienne inspirer, ranimer, ô génies, Mes chansons, comme

gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide,Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,Où l'auguste Vertu, ton épouse encore vierge,Où le Repentir même ( oh! la dernière auberge! ),Où tout te dira : Meurs vieux lâche! il est trop tard! Charles Baudelaire La Montre Deux fois je regarde ma montre,Et deux fois à mes yeux distraitsL’aiguille au même endroit se montre ;Il est une heure… une heure après. La figure de la penduleEn rit dans le salon voisin,Et le timbre d’argent moduleDeux

Courbe de tes yeux… Capitale de la douleur, 1926). », La complexité du sentiment « Je vis, je meurs ; je me amoureux : Louise Labé brûle et me noie » (1555), Pierre de Marbeuf « Sonnet la mer et l’amour ont l’amer » (« Et pour partage », 1628), Baudelaire [Il vaudra mieux développe (« Le Galant Tireur »). r un seul thème ; privilégiez Des corrigés rédigés avec des aides à la rédaction. et évitez le catalogue de références.] II-2 Le poète exprime notre la cohérence de votre analyse aspiration

bastingage Rêve à Paris en contemplant les phares qui dessinent la côte de France Rêve à Paris qu’elle ne connaît qu’à peine et qu’elle regrette déjà Ces feux tournants fixes doubles colorés à éclipses lui rappellent ceux qu’elle voyait de sa fenêtre d’hôtel sur les Boulevards et lui promettent un prompt retour Elle rêve de revenir bientôt en France et d’habiter Paris Le bruit de ma machine à écrire l’empêche de mener son rêve jusqu’au bout. Ma belle machine à écrire qui sonne au bout de