Les Firmes Multinationales Vecteurs De La Puissance Américaine

nouveau concept II. Des enjeux différents entre pays du Nord et pays du Sud III. Quelques risques environnementaux IV. Comment préserver l’environnement ? 80 86 88 90 79 Chapitre 9 - Puissance et pouvoir I. Comment définir la puissance ? II. Les fondements de la puissance III. Cadres et manifestations de la puissance 93 97 100 93 Chapitre 10 - Métropolisation et urbanisation I. L’explosion urbaine II. Le phénomène de métropolisation III. Les politiques de réhabilitation urbaine IV. Les inégalités

106 Tableau 3.3 : Évolution du salaire minimum dans l'industrie du vêtement (2004-2009) ..... 108 LISTE DES ABRÉVIATIüNS AMF Accord multifibre ALÉNA Accord de libre-échange entre le Canada, les États-Unis et le Mexique ANA CT Accord Nord Américain de Coopération dans le domaine du Travail ATV Accord sur le textile et le vêtement BIT Bureau International du Travail CSD Centrale des syndicats démocratiques CNT Commission des Normes du Travail CPQ Conseil du Patronat du Québec DIPP

Introduction .......................................................................................... 7 2. Mesurer l’activité des entreprises multinationales ............................ 11 2.1. L’entreprise et sa réalité statistique ........................................... 11 2.2. L’investissement direct, trace statistique de l’activité des entreprises multinationales .................................................. 12 2.3. L’investissement direct, reflet de l’activité financière intra-groupe ....

tandis qu'une partie des flux nationaux sont le produit de l'activité de filiales appartenant à des groupes étrangers qui ont décidé de passer de l'exportation à la production sur le marché local. Cela relève bien de l'activité internationale des firmes, mais n'apparaît pas dans les flux internationaux. D'autre part, l'objectivité oblige à relativiser le degré d'intégration de l'économie mondiale. Comme le rappellent Matthieu Crozet et Lionel Fontagné dans Économie et statistiques, publié par l'INSEE

tandis qu'une partie des flux nationaux sont le produit de l'activité de filiales appartenant à des groupes étrangers qui ont décidé de passer de l'exportation à la production sur le marché local. Cela relève bien de l'activité internationale des firmes, mais n'apparaît pas dans les flux internationaux. D'autre part, l'objectivité oblige à relativiser le degré d'intégration de l'économie mondiale. Comme le rappellent Matthieu Crozet et Lionel Fontagné dans Économie et statistiques, publié par l'INSEE

grandes puissances, ainsi que des organisations internationales, afin d’offrir une vision aussi précise que possible du sujet. * * * SOMMAIRE TITRE I : LES ORIGINES D'UNE STRATEGIE MARITIME POUR L'UNION EUROPEENNE INTRODUCTION Section 1 : De nouveaux enjeux liés à la mondialisation 1.1 La nécessaire protection des territoires d'Outre mer européens 1.2 La dépendance européenne aux routes maritimes mondiales 1.3 L'émergence de nouvelles puissances maritimes

et près de 10 % aujourd’hui. De même, la multiplication des fusions et acquisitions 3 Approche internationale et flux d’échanges Cours M. Sané 2011 transfrontalières traduit un mouvement de restructuration à l’échelle mondiale des grandes firmes industrielles, financières et de services. Ce mouvement n’aurait pas pris une telle ampleur sans un contexte politique favorable au libre-échange et à la déréglementation. Ainsi, la multiplication des fusions dans le domaine des services de réseaux

véritable impératif pour l’entreprise contemporaine (1.1). Dans un monde où celle-ci prend une place centrale, où l’Etat semble de plus en plus en retrait dans un nombre croissant de domaines, l’attention se focalise en effet sur les acteurs privés. La puissance des entreprises implique en effet le développement de leur responsabilité et, de plus en plus, la société civile attend des entreprises qu’elles agissent de façon responsable. Par ailleurs, les entreprises semblent, dans une certaine mesure, prendre

des nouvelles formes d’organisation d’une société internationale de plus en plus fragmentée et hétérogène ; en science politique, il visera à théoriser le mouvement de repli d’un État devenu « creux » (Hollow State) 9 et confronté à la montée en puissance d’autres acteurs, publics et privés, internes et externes, qui entendent peser sur les choix collectifs et avec lesquels il est devenu nécessaire de composer ; en science administrative, par « gouvernance urbaine » (Urban Governance), on s’attachera

juridique que sur un pouvoir coercitif dont le monopole revient aux autorités publiques , le contrat international est imparfait car la société internationale est sans maître. Les Etats demeurent souverains et , lorsque la souveraineté se conjugue à la puissance , ils font le droit beaucoup plus que le droit ne s'impose à eux. Cette imperfection est au cœur de toute analyse des RI. L'Histoire des RI Avant notre ère, il existait deux types de sociétés politiques : les Empires continentaux qui s'étendaient