Les Fleurs Brulées

hippies se dénudent et sont fiers de leurs corps. Actions : • Ils multiplient les manifestations contre la guerre du Vietnam et ne jurent que par la non-violence. • L’ère du « Flower power » est ouverte, les armes doivent céder la place aux fleurs, dans un monde redevenu pacifique. • Dès 1965, aux Pays-Bas, les Provos d' Amsterdam prônent la circulation en vélo. Ce mouvement de gauche invite chaque personne à peindre son vélo en blanc et à le laisser à la libre disposition des habitants ou

les effets de l’amour dans les 2 quatrins et les porcedes dans les tercets. - Champs lexical de la possesisivite autour de l’antithese « plaisir / souffrance » « je vis/ je meurs » «  brule /noie » « chaud/froidure » « molle/dur »… louise labe empreinte a la forme lyrique traditionnelle des metaphore naturelle « je brule » « je me noie » « je seche » « je verdoie ». B) UN SONNET ORIGINALE - La dimension enigmatique du sonnet jusqu’au vers 9, on ne sait pas si c’est un homme ou une femme : aucun adj

intellectuels) ; Monsieur Prudhomme, personnage parangon de la classe bourgeoise, leitmotiv de la gérontocratie pantouflarde... *Références à une nature stéréotypée, outrancièrement poétisée (clichés, poncifs, « l'astre d'or », « le printemps en fleurs » ; les hypallages facétieuses « gazons silencieux », « mesquines pelouses ») ; implicitement ou symboliquement, cela laisse entendre que les bourgeois vivent dans l'illusion d'une forme de bonheur totalement artificielle... *Stéréotypie des personnages

Baudelaire intitulé l'Albatros extraite de la deuxième partie des Fleurs du mal, 1859 qui nous permettra d'étudier la condition du poète à travers l'Albatros. Nous poursuivrons notre étude avec Le Chat qui reflète, de part son regard, l'image de la femme selon Baudelaire. C'est un poème extrait du recueil intitulé les Fleurs du mal en date de 1847. Les chats est un sonnet de Baudelaire écrit en 1847 (publié en 1857 dans Les Fleurs du mal). Ce sonnet a été l'objet d'études linguistiques modernes

donc porteur de vie, de diversité et d’animation. II) Un chant d’amour déçu La tristesse -Tristesse est accentuée par la musique mécanique, grinçante et lancinante des orgues de Barbarie qui «sanglotent» - Avec «Les fleurs.. penchent» on peut voir que même les fleurs sont atteintes de la tristesse comme le poète . - Ch lexical de la tristesse et de la douleur : «Triste» «sanglotent» «endoloris» B) Le lyrisme amoureux - On a énonciation personnelle « moi » = évocation de sentiment intime

su symbolisme. Nous étudierons par la suite le poème de Baudelaire intitulé « l'Albatros » extraite de la deuxième partie des Fleurs du mal en 1859 qui nous permettra d'étudier la condition du poète à travers l'Albatros. Charles Baudelaire est un grand poète et critique d’art du XIXème siècle qui a su marquer sa génération notamment avec des œuvres telles que « Les Fleurs du Mal ». La dernière étude est un choix plus personnel, en effet, ayant vécu en Bretagne et notamment près de Belle-Ile, j’ai

Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Ce poème intitulé L'albatros à été écrit par C. Baudelaire en 1859 et publié dans le recueil de poème les fleurs du mal. Dans ce poème , le personnage principale est un oiseau (catégorie

clair. Le passant chagrin que tu frôles Est ébloui par la santé Qui jaillit comme une clarté De tes bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t'aime ! Quelquefois dans un beau jardin Où je traînais mon atonie, J'ai senti, comme une ironie, Le soleil déchirer mon sein

comparé - l'outil de comparaison - le comparant « Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir », Baudelaire, Les fleurs du Mal Permet de construire une image (ici, la femme devient un objet religieux, l'ostensoir, ce qui la sacralise) métaphore Comparaison implicite (sans outil de comparaison). « Le soleil s'est noyé dans son sang qui se noie », Baudelaire, Les Fleurs du Mal Permet souvent des images surprenantes, et l'expression d'un sentiment (ici, le coucher de soleil est un spectacle

soupirer, Je crois t'entendre murmurer Des mots sacrés à mon oreille.Si j'admire ces feux épars Qui des nuits parsèment le voile, Je crois te voir dans chaque étoile Qui plaît le plus à mes regards.Et si le souffle du zéphyr M'enivre du parfum des fleurs. Dans ses plus suaves odeurs C'est ton souffle que je respire.C'est ta main qui sèche mes pleurs, Quand je vais, triste et solitaire, Répandre en secret ma prière Près des autels consolateurs.Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ; Tes ailes reposent