Les Fleurs Du Mal Le Rêve D Un Curieux

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les fleurs bleues’’ (1965) roman de Raymond QUENEAU (270 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 13) l’intérêt documentaire (page 41) l’intérêt psychologique (page 51) l’intérêt philosophique (page 63) la destinée de l’œuvre (page 65) Bonne lecture ! Résumé Chapitre I «Le vingt-cinq septembre douze cent soixante-quatre, au petit jour

Mais parce que la poésie est le moyen le plus adéquat d'exprimer le lyrisme, le « moi » aux prises avec la tentation séductrice, puis le désarroi de l'insatisfaction ! La magie subtile de l'expression poétique permet d'épouser toutes les nuances du rêve à la déception car le « moi » ne peux trouver à étancher sa soif d'absolu dans la possession avide des biens terrestres. Un thème indémodable, et une source d’inspiration inépuisable particulièrement appréciée des artistes, quels qu’ils soient : à

d’appliquer à la description de la vie moderne, ou plutôt d’une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu’il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pit- toresque. Quel est celui de nous qui n’a pas, dans ses jours d’ambition, rêvé le miracle d’une prose poétique, musicale sans rythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s’adapter auxmouvements lyriques de l’âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience ? C’est surtout de la fréquentation des

disjonction des ordres » de la chair et de l’esprit. Peut-être s’agit-il moins de disjonction que de « dialectique d’agonie », selon la très heureuse expression de Georges Blin. Deux seules fois ouverts et fermés dans la totalité du recueil Les Fleurs du Mal, les guillemets n’apparaissent plus. Ils donnent pourtant leur place à un soliloque très vif qui s’adresse souvent à un Autre (chaque fois que Baudelaire s’adresse à la deuxième personne, on peut parler d’une dialectique de l’imaginaire) ou qui

l’œuvre de V. Margueritte est ancrée dans sa société et dans les problèmes qui la traversent, mais elle n’a plus de rapport direct avec les nouveaux problèmes. Pourtant, elle reste encore aujourd’hui un des témoignages les plus intéressants et les plus curieux des différents mouvements qui agitèrent l’époque de l’entre deux guerres. • La Garçonne, le contexte, et l’accueil de l’œuvre. C’est le 12 juillet 1922, le jour où le Sénat refuse aux françaises le droit de vote, que le roman de Victor Margueritte

pays lointains en vue de conquérir à son pays de nouvelles colonies ou de créer à son négoce de nouveaux comptoirs, nombreux ont été ceux qui voyageaient comme M™® E. de Girardin, « pour Ainsî, la littérature, LES ORIGINES 15 promener leur rêve », ou bien comme Taine « pour changer non de lieu^ mais d'idées » (1). Puis, parmi les sédentaires que le mirage des rives lointaines sollicitait, il rèrent dans leur œuvre de siècle « en fut qui incorpogens assis les ma>> tériaux

d'appliquer à la description de la vie moderne, ou plutôt d' une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pittoresque. Quel est celui de nous qui n'a pas, dans ses jours d'ambition, rêvé le miracle d'une prose poétique, musicale sans rythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience? C'est surtout de la fréquentation

d'appliquer à la description de la vie moderne, ou plutôt d'une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pittoresque. Quel est celui de nous qui n'a pas, dans ses jours d'ambition, rêvé le miracle d'une prose poëtique, musicale sans rhythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience? C’est surtout de la fréquentation

à la description de la vie moderne, ou plutôt d'une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pittoresque. Quel est celui de nous qui n'a pas, dans ses jours d'ambition, rêvé le miracle d'une prose poëtique, musicale sans rhythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience? C’est surtout de la fréquentation

Si tu veux savoir si ça va... ben non. Je pense que ça n'ira plus jamais maintenant. Ton absence me tue, mon amour pour toi me torture. » ~ « Je devrais te haïr tu sais... Oui, je devrais. Mais moi, je préfère t'aimer. » ~ « Du rêve, tu me vendais du rêve. Je ne sais plus comment définir le plaisir que tu me procurais. J'y ai réfléchis tu sais, et si j'avais dû te donner un nom pour te qualifier ou un deuxième prénom, je t'aurais appelé Bonheur. Parce que c'est ce que tu étais, le bonheur