Les Fondements De La Guerre Froide Un Monde Bipolaire

concept II. Des enjeux différents entre pays du Nord et pays du Sud III. Quelques risques environnementaux IV. Comment préserver l’environnement ? 80 86 88 90 79 Chapitre 9 - Puissance et pouvoir I. Comment définir la puissance ? II. Les fondements de la puissance III. Cadres et manifestations de la puissance 93 97 100 93 Chapitre 10 - Métropolisation et urbanisation I. L’explosion urbaine II. Le phénomène de métropolisation III. Les politiques de réhabilitation urbaine IV. Les inégalités

papauté) ; et son indépendance. La souveraineté est un instrument politique, juridique au service du renforcement du pouvoir royal. Deux faces de la souveraineté ; interne et externe (internationale). Pour passer de la suzeraineté à la souveraineté (du monde féodal au système étatique). C’est un pouvoir suprême de domination de l’état sur ses sujets (citoyens). Elle se matérialise via la loi, il a le pouvoir de faire et de casser la loi, c’est la norme emblématique de la souveraineté. Le pape et l’empereur

célèbre triptyque du professeur Parquet, rendu public dans un rapport cosigné par Michel Reynaud3, résume à la fois les enjeux et les limites de ce « pacte addictologique » passé entre l’État et le système de soin. Cela ne va pas faire plaisir à tout le monde, mais Michel Reynaud n’est pas loin de représenter l’équivalent contemporain de ce que fut le Dr Olievenstein dans les années 70 (tiens, le temps se gâte du côté de Toulouse4). Olive était le pape de la toxicomanie, Michel Reynaud est un peu le pape

sérénité intellectuelle au milieu d’un océan de technique juridique. Cette matière n’est ni l’un ni l’autre. Notre monde moderne est issu de la pensée grecque et du droit romain. Comme l’écrit Pétrarque dans son Invectiva contra eum qui maledixit Italie, « Quid enim alius omnis historia, quam romana laus ? ». Notre modèle politique reste celui de la démocratie athénienne et pour notre monde occidental un modèle absolu, indépassable. Ainsi, dans Démocratie ancienne et moderne, M.I. Finley écrit : « ce

typologie de Rousseau. Rousseau, auteur du 18ème siècle : 1712 – 1778. Sa pensée politique est fondée sur le concept de volonté générale et estime que les fondements du droit et de la société politique reposent sur l’ensemble des citoyens qui agissent comme un tout et qui adoptent des lois appliquées à chaque individu. Rousseau réfute les fondements de l’Ancien Régime ; pour lui, les citoyens sont le seul souverain légitime de la communauté politique. Il distingue bien le peuple souverain et le gouvernement

totalement la pensée symbolique, le raisonnement par similitude. Les formes et les lois de l’imaginaire Parallèlement à cette consolidation d’une « pensée sans images » et à la domination technique et matérielle de l’Occident, les autres cultures du monde sont considérées comme « prélogiques », « primitives », « archaïques ». La « part maudite » est abandonnée au « sauvage », au poète, au mystique ou au fou. Pourtant, il y a bien eu en Occident des moments forts de résistance de l’imaginaire : l’art

quelque sorte à celle des « vieux pays industrialisés » d’Europe et d’Amérique du Nord qui ont connu leur démarrage lors de la révolution industrielle et une période de croissance accélérée, par l’application massive du fordisme, après la Deuxième Guerre mondiale. Par Nouvelles Économies Industrialisées (NEI) nous entendons la Corée du Sud, Taiwan, Hong Kong et Singapour aussi connus en tant que les Quatre Dragons. A ceux-ci, sont sur le point de se joindre les « petits dragons » que sont la Thaïlande

auteurs du XXe s. au courant réaliste : 1. Le roman au XXe s. se veut un roman documentaire qui cherche a présenter la société en s’appuyant sur une investigation minutieuse de la réalité sociale (ex. des documents détaillés, la présence des 2 guerres dans les romans etc.) 2. Il y a une image détaillé et plus globale de la réalité qui embrasse souvent plusieurs pays et non seulement la France. 3. Une interprétation sociale et individuelle de l’histoire- le roman réaliste au XXe s. est plus

les Etats qui conduit à des périodes de guerre. Le système Européen classique apparaît multipolaire. Au delà de cette multipolarité on peut apercevoir une certaine homogénéité qui apparaît à travers les échanges culturel et économique entre les Etats, les villes et les individus. La succession de conflit va faire prendre conscience de la nécessité de se doter d’instrument permettant d’assurer la paix sur le continent Européen. Et on va après les guerres Napoléoniennes essayer de mettre en place

l'Europe, l'Europe des lumières est en opposition avec l'Europe chrétienne du MA. Le mot Europe va se substituer au 18eme au terme Christianitas. Cet ensemble de chrétienté va devenir l'Europe sous l'appellation des lumières. Chiisme protestant, guerres de religions, contestation de cette chrétienté. Europe: ce qui n'est plus que chrétien et ce qui est géographiquement l'étendu du territoire. Développement des échanges intellectuels, Europe des idées, échanges entre académies, une Europe des élites