Les Fourberies De Scapin Registre

| Retour à la beauté antique, avec les codes : tels que les règles des cinq actes et les trois unités (unité de lieu, d’intrigue et de jour) | « Andromaque » de Racine (1667)« L’Avare » (1669) ; « Le Bourgeois Gentilhomme » (1670) ; « Les Fourberies de Scapin » (1671) ; « Les Femmes Savantes » (1672) etc. de Molière | Env. 1715- 1789 | Les Lumières | Des renouvellements apparaissent on introduit des sujets modernes en gardant la structure classique et l’alexandrin  | « L’Île des Esclaves » (1725) ;

pièce = « Fourberies » = stratagèmes / manipulations / ruses / pièges / Fourberies = « s » = un certain nombre / milieu de la pièce Géronte = caché dans un sac pendant la majorité de la scène ( spectateur au courant ) ( au niveau du sol ) Scapin = debout / actif / en mouvement / parle / serviteur Personnage incarné par Scapin = « spadassin » qui parle d’une drôle de façon = stratagème mis en place = piéger / se venger / ridiculiser = UNE des Fourberies Scapin et personnage incarné par Scapin = double

contraintes aux auteurs que ça soit dans l’écriture de romans comme La Princesse de Clèves (Mme De Lafayette), dans la composition de poésies ou de fables comme Le Chêne et le Roseau (La Fontaine), ou bien l’écriture de pièces de théâtres tel que Les fourberies de Scapin (Molière) ou Cinna (Corneille). Les contraintes alors imposées aux auteurs permettent au personnage principal de devenir un être exceptionnel pour son temps. Pour commencer nous pouvons illustrer cette thèse avec l’exemple de Cinna, qui est

censée plaire mais aussi instruire le spectateur. Dans cette perspective, on a affaire bien souvent à un comique empreint d’ironie. Il s’agit de se moquer de quelque chose ou de quelqu’un en disant le contraire de ce que l’on pense. Bien que les deux registres soient différents, ils peuvent parfois se compléter. Le comique dans ce cas précis véhicule des messages que le lecteur plutôt vif d’esprit sera amené à comprendre. MOLIERE a dans ces pièces un grand nombre de cibles parmi lesquels les hypocrites

CLEANTE Comment ! mon père c'est vous qui vous portez à ces honteuses actions! ». Dans le registre de la comédie nous pouvons aussi noter le comique de geste, par exemple dans Les Fourberies de Scapin à la Scène 2 de l'Acte III on rit des coups de bâton que Scapin donne à son maître, Géronte . On a aussi le comique de mots, lui aussi très bien illustré dans le genre de la farce, avec dans Les Fourberies de Scapin, a la Scène 7 de l'Acte II, le comique apparaît au travers de la phrase « Que diable allait-il

Premièrement, la convention maître-valet : un duo dénonciateur. Il est vrai, depuis l’antiquité et le début de la relation maître-valet, que cette dualité permet de dénoncer certaines mœurs, valeurs, codes…etc. de la société derrière différents registres. Effectivement, c’est par divers manière que cette convention parvient à faire réfléchir le spectateur et lui faire prendre conscience de certains fais de société juger anormaux pour l’auteur d’une pièce. Tout d’abord, nous savons qu’au

époque, dénouement et les thèmes - Comparaison personnages d’ « Andromaque », de Racine, et de « Les fourberies de Scapin », de Molière. - La séduction dans « Don Juan » de Molière en opposition avec l’amour dans « Horace » de Corneille. 3. Une visée opposée : Entre le rire et les pleurs (farces, vaudeville, commedia dell’arte…) II / De la tragédie à la comédie, il n’y a qu’un changement de registre 1. La tragédie et la comédie répondent tous deux de la catharsis, « castigat ridendo mores » :

censée plaire mais aussi instruire le spectateur. Dans cette perspective, on a affaire bien souvent à un comique empreint d’ironie. Il s’agit de se moquer de quelque chose ou de quelqu’un en disant le contraire de ce que l’on pense. Bien que les deux registres soient différents, ils peuvent parfois se compléter. Le comique dans ce cas précis véhicule des messages que le lecteur plutôt vif d’esprit sera amené à comprendre. MOLIERE a dans ces pièces un grand nombre de cibles parmi lesquels les hypocrites

dévots, retire sa pièce après quinze représentations. Louis XIV donne à la troupe de Molière le titre de « troupe du Roi » avec une pension de 6 000 livres (somme assez faible, puisqu'une bonne représentation au Palais-Royal rapporte, d'après le registre de La Grange, couramment I 500 livres et que la première du Tartuffe, en 1669, rapportera, 2860 livres). L'Amour médecin (15 septembre). Brouille avec Racine, qui retire à Molière son Alexandre pour le donner à l'Hôtel de Bourgogne. 1666 — Molière

ou plusieurs personnages comme dans Les fourberies de Scapin. Dans l'une des scènes de cette histoire, Scapin qui a auparavant roué son maître Géronte de coups est proche de la mort, il va vouloir tout avouer a son maître. Mais celui-ci ne voulant pas que cela se sache va être tourné en dérision par le comique de situation. Par ces quelques stichomythies de plus en plus fortes et la persistance de Scapin envers lui donne un extrait amusant, de même que Scapin joue un comique de répétition en ressassent