Les Fourmis Weber

le sentiment d'exil : « L'humanité, aujourd'hui, n'a besoin et ne se soucie que de techniques. Elle se révolte dans ses machines, elle tient l'art et ce qu'il suppose pour un obstacle et un signe de servitude [468]. » « Jour et nuit, un peuple de fourmis s'activent sur la carcasse fumante de la montagne. Pendus le long d'une même corde contre le flanc de la falaise, des dizaines d'hommes ... » [469]. La servitude de la réputation exile l'écrivain ou l'artiste, comme le Jonas de L'Exil et le Royaume

peuvent se retrouver dans cette catégorie. » [BERTRAND et GUILLEMET, 1991, p. 95]. 1.4.4.7 L’approche de Philippe D’IRIBARNE D'IRIBARNE a entrepris depuis 1982, des investigations, pour « reprendre une vieille question, marquée par l'héritage de Max Weber : quelle est l’influence de la culture sur le développement économique ?». [D'IRIBARNE, 1998, p 331]. L’auteur souligne : « l'appréhension progressive d'une culture est un processus peut rationalisable et sans doute indéfini. Mais il y a moyen, à la

le sentiment d'exil : « L'humanité, aujourd'hui, n'a besoin et ne se soucie que de techniques. Elle se révolte dans ses machines, elle tient l'art et ce qu'il suppose pour un obstacle et un signe de servitude 468 . » « Jour et nuit, un peuple de fourmis s'activent sur la carcasse fumante de la montagne. Pendus le long d'une même corde contre le flanc de la falaise, des dizaines d'hommes ... » 469 . La servitude de la réputation exile l'écrivain ou l'artiste, comme le Jonas de L'Exil et le Royaume

ma deuxième source d’inspiration me vient directement d’un ami, et également un homme qu’on ne présente plus tant ses ouvrages sont grandioses, sortis tout droit de son cerveau de génie, c’est Bernard WERBER. Auteur des plusieurs best-sellers (les fourmis, la thanatonautes, etc.), il a également produit « l’encyclopédie du savoir absolu et relatif », recueil d’un grand nombre d’anecdotes issues très certainement des notes qu’il emprunte au gré de ses conversations et recherches personnelles. Ma dernière

deux tombent amoureux de la jolie Rose-Anne. Et Julien connaît par cœur la pièce d’Edmond Rostand… Quand littérature classique et littérature de jeunesse se rejoignent… F. HUSTER, Cyrano, à la recherche du nez perdu, Ramsay/Archimbaud, 1997 et J. WEBER, À vue de nez, Éditions Menges, 1985. On lira avec un intérêt particulier ces témoignages de deux acteurs ayant brillamment interprété le rôle de Cyrano. Le site www.cyranodebergerac.fr contient un grand nombre d’informations et notamment une bibliographie

pour moi. À mes yeux, vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et – 127 – nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. – Ces musiciens, me répondit

pour moi. A mes yeux, vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. — Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un pianoorgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. — Ces musiciens, me répondit le capitaine Nemo

À mes yeux, vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. – Ces musiciens, me répondit le capitaine

moi. À mes yeux, vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. 141 – Ces musiciens, me répondit

moi. À mes yeux, vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. – Ces musiciens, me répondit le capitaine