Les Frontières De La Personnalité Juridique Des Etres Humains

minimum de règles stables et une autorité habilitée à en forcer le respect, ce que traduit la maxime ubi societas, ibi jus (sans droit pas de société). Le monde d’aujourd’hui a, plus que jamais, besoin du droit. Les êtres humains naissent, vivent et meurent dans un environnement juridique toujours plus complexe. Leurs relations avec d’autres sujets de droit ou avec l’Etat sont encadrées par le droit, tout comme le sont les relations entre les Etats. Autant dire que nombreuses sont les occasions d’exercer

I- Le juge international promoteur consacré de l’ordre juridique international L’idée d’un juge est aussi vieille que la pensée sur la justice. Elle est souvent l’image même de la justice. Lorsque l’on chemine quelque peu dans le passé à la recherche des symboles anciens, on découvre avec curiosité que la justice fut représentée en son temps d’une double façon : soit de la façon la plus connue, comme une femme aux yeux bandés, inflexible et tenant les deux plateaux équilibrés de la balance, soit

des lois d’ordre public, ce sont des lois auxquelles on ne peut pas déroger. Ex. L’interdiction de la polygamie. On ne peut pas y déroger par une autre loi. Les lois supplétives, sous entendu supplétives de volonté. Cela signifie qu’elles peuvent êtres écartées par une volonté contraire à condition d’être clairement prononcé. ( Ex : mariage, différents contrats). Article 220-1 : dispose chacun des époux à pouvoir passer seul les contrats ayant pour objet l’entretien du ménage, l’éducation des

constitution proprement dites se rattachent un certain nb qui concerne le droit privé. Bloc de constitutionnalité=l’ensemble des normes de valeur constitutionnelle 16 juillet 1971 : Le conseil constitutionnel a jugé pouvoir reconnaître une valeur juridique particulière, constitutionnelle aux articles de la constitution de la Vème République mais aussi au préambule de cette constitution, par la même aux différents textes auxquels ce préambule se rattache, renvoie : préambule de la constitution de 1946

Institutions européennes Introduction: I. Remarques terminologiques sur la notion d’institutions européennes A. Les différentes acceptions du terme « institution » Le terme institution désigne traditionnellement une réalité établie par la volonté humaine par opposition à un phénomène d’ordre naturel, et qui non seulement est doté de finalités et de moyens propres mais qui possède aussi une certaine permanence, par opposition à une réalité éphémère. Ex: L’année civile relève de l’institution tandis

chaque génération s’appelle « degré ». Cette suite de degré forme « la ligne ». (Art 735c.civ et 736c.civ)1 D’un point de vue juridique, le droit organise le lien entre la famille ‘notion de parenté’ et ‘notion d’alliance’. 1. La notion de parenté La parenté est une relation de consanguinité ou d’alliance qui unit des personnes entre elles. En droit, c’est un lien juridique qui unit des personnes qui descendent l’une de l’autre (= parenté directe ou en ligne directe) ou qui descendent d’un ancêtre

édition 13 ) -> Introduction au droit de Buflan Lanore édition 16 chez Sirrey -> Milena DUchi chez Dalloz édition 2009 -> Philippe Malanvo chez lexis nexis édition 2011 -> Introduction général en droit François Perrey édtion 2009 -> Vocabulaire juridique de Gérard Cornu INTRODUCTION : Qu'est ce que le droit ? Comment fabrique t-on le droit ( les sources du droit ) ? La preuve des droits ( se fait en justice ) . Partie 1 - Qu'est ce que le droit ? Il y'a un facteur interne et un facteur

déterminer la loi nationale qu'il convient d'appliquer en cas de litiges entre des personnes privées. Mais il faut également que ce litige contienne un élément d'extranéité, c'est à dire un élément étranger qui met le litige en contact avec un système juridique étranger. Par exemple on imagine l'exemple d'un couple de nationalités différentes voulant divorcer, l'élément d'extranéité est les deux nationalités des conjoints. -Le droit interne est aujourd'hui directement influencé par d'un côté le droit

de trouver un compromis entre la reconnaissance de l’individu comme sujet des droits garantis et la sanction de la méconnaissance. A. La querelle théorique : L’individu sujet du droit international L’individu entendu au sens de la personne humaine, n’est pas un sujet direct du droit international. Par définition le droit international est un droit qui régit les rapports entre les Etats et les organisations internationales. Une telle conception s’expliquait par la nature du droit international

que la déclaration en elle-même ne les garantisse pas. La valeur de la déclaration a été sujette à débats notamment parce qu’elle établit des principes relativement vagues. On s’est demandé si elle avait valeur supra-constitutionnelle et valeur juridique, ou encore simple valeur philosophique. Finalement, le Conseil Constitutionnel donne valeur constitutionnelle au Préambule et place donc les libertés fondamentales à un niveau important dans la hiérarchie des normes. Préambule de la Constitution