Les Généreux Zadig

refuse à l’athéisme : il affirme simplement qu’il croit en un dieu, grand créateur et ordonnateur de l’univers – d’où le terme déisme). 2) Genèse (création) de Micromégas (1752) Sous-titre « histoire philosophique » = conte philosophique comme Zadig (1748), Candide (1759), Jeannot et Colin (1764) et L’Ingénu (1767) : instruire en amusant (cf Montesquieu, « Les caprices de la mode »). Publié en 1752 mais date sans doute de 1739, bcp + tôt (indices : expédition polaire datant de 1737) = bilan de

il affirme simplement qu’il croit en un dieu, grand créateur et ordonnateur de l’univers – d’où le terme déisme). 2) Genèse (création) de Micromégas (1752) ❖ Sous-titre « histoire philosophique » = conte philosophique comme Zadig (1748), Candide (1759), Jeannot et Colin (1764) et L’Ingénu (1767) : instruire en amusant (cf Montesquieu, « Les caprices de la mode »). ❖ Publié en 1752 mais date sans doute de 1739, bcp + tôt (indices : expédition polaire datant de 1737) = bilan

“Aventures de Télémaque” de Fénelon où le fils d’Ulysse avait fait son éducation par le voyage ; Candide, nouveau Télémaque, au fil des aventure, suit lui aussi un parcours spirituel et moral et secoue la tutelle de son Mentor, Pangloss. Antérieurement, Zadig, Babouc, Memnon, avaient fait preuve d’esprit critique dans leurs propres aventures. C’est enfin un roman d’amour qui ne déroge pas à la tradition inusable qui veut que l’amour soit contrarié, que les amants soient séparés, que l’amant parte à la

suppose un éveil préalable. Victor Hugo laisse entendre, dans sa formule, qu'il existerait une conscience populaire parfois assoupie. Dans La Légende des siècles, il a explicité cette intuition : les « pauvres gens » sont tout à la fois courageux, généreux, solidaires. De même, dans Les Misérables, il nous expose les trésors de bonté, de conscience et d'altruisme dans l'âme populaire lorsque la pression sociale et l'injustice ne désespèrent pas les pauvres et les simples. Le rôle du poète ou de l'écrivain

XVIe siècle à • confronter les notions d’altérité et de modernité ; nos jours • approfondir l’analyse du texte arguTextes et œuvres mentatif ; • s’entraîner à répondre aux questions • Deux groupements de texte sur corpus ; • Une lecture cursive : Zadig • revoir la méthodologie de la lecture de Voltaire analytique. Introduction A. Deux notions clés : altérité et modernité B. Un parcours de la Renaissance au XXe siècle C. Méthode Chapitre 1 Découverte d’un continent et découverte de l’Autre A

Auteurs Voltaire : François marie arouet 1694 1778 auteur et philosophe du siècle des lumières il se bat contre l’intolérance, l’injustice, les inégalités. Oeuvres : Candide, Zadig, la Henriade, Zaire, pucelle, Irène, Dico philosophique .. Hugo : " Ce siècle avait deux ans " lorsque Victor vit le jour à Besançon. Par réaction contre son père et en accord avec l'air du temps, il fonde avec ses deux frères une revue monarchiste, et épouse à vingt ans Adèle Foucher, qui lui donnera quatre enfants mais

peinture de l’homme. • Enthousiasme et raison : le stoïcisme se fait moins impulsif, plus réfléchi. Descartes affirme la primauté de la raison, la grandeur de l’homme sera désormais fondée sur d’autres bases. L’idéal de cette génération sera le généreux de Descartes le héros cornélien, seigneur chevaleresque. Les passions sont dominées par la raison. • Une lucidité sans désespoir : La Fontaine et Molière ne croient plus au stoïcisme sans tomber sans le pessimisme. Ils ne pensent pas qu’on puisse

chaque fois, Rhetulus se justifie de manière spécieuse de ce qu’il ne fait pas, en évoquant les raisons qu’il a de ne pas l’accomplir. S’il ne résout pas les problèmes de pauvreté, c’est parce que les pauvres sont nécessaires à ceux qui veulent être généreux. L’ignorance est nécessaire aux gens dont le métier est d’enquêter. Il n’admet pas que la pierre philosophale est hors de sa portée, il se borne à prétendre la nécessité des maux qu’elle pourrait résoudre. Ses arguments sont à l’évidence de mauvaise

dont tous les membres s’entraident. D’ailleurs, il est important que les chevaliers puissent se faire confiance, puisqu’ils vont combattre ensemble : ils doivent être assurés que leurs camarades ne les laisseront pas tomber. • La largesse : être généreux est qualité du chevalier modèle. Il s’agit du mépris du profit, voire de la prodigalité. Un chevalier ne devait pas s’attacher aux richesses, mais les distribuer autour de lui dans la joie. Le chevalier se rend au service des communautés. Il tue

raconte que le célèbre Chevalier Bayard « sans peur et sans reproche », qui fut l’un des principaux soldats qui combattit lors des campagnes en Italie, fit François Ier chevalier. Considéré comme le plus vaillant mais aussi le plus sage et le plus généreux des chevaliers de l’armée française, il est largement respecté par le roi de France et il se couvre de gloire lors de la bataille de Marignan. Cependant, malgré cette belle victoire, les Français sont sous la menace du puissant Charles Quint