Les Instruments Directs Et Indirects De La Politique Monétaire

GESTION (UFR/SEG) ************** NOUVEAU PROGRAMME DE TROISIEME CYCLE INTERUNIVERSITAIRE (NPTCI) Mémoire Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA)/Master de recherche Pour l’obtention du Option : Macroéconomie Appliquée THEME Règles de politique monétaire : essai de modélisation pour la BCEAO Présenté et soutenu par : Teega-Wendé Hervé ZEIDA Etudiant de la 3ème promotion NPTCI 2009-2011 Sous la direction du : Pr. Kako Kossivi NUBUKPO Agrégé des Facultés des Sciences Economiques Juillet

toux de maladie, pouvant être pris en charge par la collectivité. Tout ça constitue un coût très important. Le coût privé est une compensation monétaire attribué par l’agent qui est à l’origine de ce coût. On peut ensuite prendre en compte le coût externe (c’est la différence entre le coût social et le coût privé). On peut en faire une appréciation monétaire qui entraine une internalisation du coût externe. Si le coût externe peut être identifié par les composantes définissant le coût social, lorsque

14 1.1.1.2. Les modèles avec bulle rationnelle de BERNANKE et GERTLER……..page 17 1.2.2. Stabilité des prix………………………………………………………....page 21 1.1.2.1. Les instruments de la politique monétaire (instruments traditionnels)....page 22 1.1.2.2. Le canal du taux d’intérêt……………………………………………....page 23 1.1.2.3. L’action directe sur le crédit………………………………………….. .page 24 1.1.2.4. Le canal du prix des actifs………………………………………………page 25 1.2. Le modèle de SCHWARTZ : stabilité des prix et stabilité

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 2.4. L’innovation inancière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 3. Pourquoi étudier la monnaie et la politique monétaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 3.1. Monnaie et luctuations économiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 3.2. Monnaie et inlation . . . . . .

marché, lieu physique ou virtuel, et sont indissociables de la spécialisation des individus. Il en découle des interrelations multiples. À partir de quelques exemples, on montrera les interrelations (flux monétaires, flux réels) qui existent entre les agents économiques. La monnaie constitue un instrument essentiel de l’activité économique. Elle permet de se procurer tout bien ou service vendu sur un marché et sert à la fois d’intermédiaire des échanges, de réserve de valeur et d’unité de compte. Par rapport

Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis.  INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS Cours d’économie monétaire Deuxième année de la licence fondamentale en sciences de Gestion Mongi SMAILI 2009 1 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis.  Table des matières Chapitre premier :Genèse, formes et définitions de la 1 monnaie I- Définitions de la monnaie 1 I-1 Définition fonctionnelle 1 I-1-1 La monnaie, unité de compte 1 I-1-2 La

Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis.  INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS Cours d’économie monétaire Deuxième année de la licence fondamentale en sciences de Gestion Mongi SMAILI 2009 1 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis.  Table des matières Chapitre premier :Genèse, formes et définitions de la 1 monnaie I- Définitions de la monnaie 1 I-1 Définition fonctionnelle 1 I-1-1 La monnaie, unité de compte 1 I-1-2 La

développement d’une économie de production (agriculture, élevage). Le principe de la monnaie-marchandise a consisté à prendre un bien parmi les biens éligibles à l’échange comme instrument de paiement ou intermédiaire des échanges. Le fait de prendre un bien comme intermédiaire des échanges permet de dépasser le problème majeur du troc direct qui est le problème de la double coïncidence des désirs et qui se traduit par le fait que l’individu est à la fois acheteur et vendeur. Lorsqu’on prend un bien parmi ceux

d’une industrie donnée exige que les industries amont et apparentées le soient aussi. La fiscalité pourrait être utilisée comme un instrument favorisant cette structuration en filière. L’octroi des avantages fiscaux à une industrie isolée reste sans résultat sinon une perte. D’où la nécessité d’envisager toute une filière de production pour élaborer une politique fiscale efficace. Les avantages compétitifs paraissent dépendre clairement de l’impact sur les capacités de coordination et de

|éléments | |progrès technique sur le marché du | | | |I – direct |travail ? | |Quelles sont les |Pour étudier les causes ou les |II – indirect | | |conséquences ? |conséquences d’un phénomène : | |L’intervention