Les Inégalités Face Au Logement

prestations "pauvreté exclusion", avec la création du revenu minimum d’insertion (RMI) en 1988 ; La poursuite de la baisse des prestations "famille maternité" (9 % des prestations sociales et 2,6 % du PIB en 2005), malgré la progression des aides au logement et la multiplication des objectifs poursuivis ; Une augmentation des prestations "emploi" avec l’apparition d’un "chômage de masse". Leur part dans les prestations sociales tend toutefois à se stabiliser et leur évolution reste fortement liée à

Chapitre3 La répartition des revenus et le problème des inégalités Fondements conceptuels Valeur ajoutée Elle est généralement définie comme le supplément de valeur (marchande) que l'activité d'une entreprise donnée apporte à une marchandise qu'elle transforme. Si, à titre illustratif, le coiffeur, à partir d'une paire de ciseaux, d'un sèche-cheveux, de quelques lotions et de son savoir-faire, peut faire payer 300 dh à un client une prestation de service qui a nécessité pour 20 dh d'achats

Elle est complétée par une quarantaine de fiches qui commentent les chiffres essentiels et intègrent des comparaisons européennes. Les trois dossiers de cette édition apportent un éclairage particulier sur l'évolution du nombre d'élèves en difficulté face à l'écrit, les politiques d'accès à l'emploi en faveur des jeunes et les conditions d'habitat des enfants. Sommaire - France, portrait social - Édition 2010 Résumé « France, portrait social » s’adresse à tous ceux qui souhaitent mieux

sociale L’exode rural entraîne de graves conséquences car les villes sont mal préparées à cette arrivée massive de personnes. On observe alors le manque de logement, les populations ouvrières sont contraintes de s'entasser dans des logements misérables. Les conditions d'hygiène et de confort sont effrayantes. Compte tenu des revenus, les logements sont souvent insalubres et exigus. Les ouvriers sont les plus défavorisés, leurs conditions de travail sont peu enviables : ils font de longues journées

A-Les différents acteurs de l'éco -Les MENAGES: 1- définition: Ensemble des habitants d'un même logement (!! à distinguer de la famille + un ménage peut= plx familles) , on distingue 2 types de ménages: -Ordinaire et - Collectif ( maison de retraite ,etc...) 2-Ressources: . Revenus(somme consommé sans entamer le patrimoine): -Primaire= salaire, prime , et avantages en nature (logement fonctions par ex) + revenues du capital+ revenues des entrepreneurs individuels - Revenues de transferts

entend principalement, assurance chômage, retraite et maladie mais finalement tout un système de redistribution de la richesse nationale en faveur d’une meilleure cohésion sociale. Cela permet aussi de réguler les tensions sociales qui résultent des inégalités au sein de la population. DEUX MODELES DE L’ETAT PROVIDENCE LE MODELE BISMARCKIEN Il date de la fin du XIX°, c’est un modèle allemand. Il s’inscrit dans une logique assurantielle qui se base sur le travail. On cotise par le biais de son travail

dans la région de Dunkerque. La géothermie pourra être utilisée en France. L’Outre-Mer possède des grandes ressources minérales notamment le nickel en Nouvelle-Calédonie, et peut-être des gisements de pétrole en Guyane. C) La société française, face aux risques. 1. Un territoire exposé à des risques naturels ? Le climat méditerranéen est chaud et caractérisé par une sécheresse d’été. La France n’est pas un territoire particulièrement exposé à des risques naturels, à l’exception des territoires

Les incitations à investir 21 Chapitre 8, 9 et 10: Les inégalités entre agents économiques et redistribution des revenus 22 I. la répartition primaire des revenus 22 A. Les revenus primaires des ménages 22 B. De la valeur ajouté à l’excédent brut d’exploitation 22 II. Les inégalités de la répartition primaire 22 A. Les inégalités en terme de salaire 22 B. La notion de patrimoine 23 C. les inégalités de patrimoine 23 D. Les inégalités au niveau mondial 24 III. La notion de redistribution

sont beaucoup plus nombreux qu'auparavant, la rareté ne diminue pas car de nombreux besoins apparaissent. Confrontés à cette rareté, les individus, les entreprises et les Etats doivent s'organiser et faire des choix. Ainsi, une famille doit faire face à de nombreuses décisions compte tenu des ressources dont elle dispose (revenu, temps, aptitudes). Exemple : choisir entre faire réparer la voiture ou acheter un ordinateur. De même pour une entreprise, qui va devoir choisir entre deux modes de production

triomphe au XIXe s. car c’est celle des élites qui sont au sommet de la hiérarchie sociale. Cependant certains rejette cette société moderne. Ils reprochent à la société capitaliste d’avoir détruit des éléments fondamentaux et de développer les inégalités. Ces traditionalistes rejettent l’héritage de la révolution française et la société industrielle, source de désordres sociaux et moraux, et veulent restaurer l’harmonie sociale. Une partie des classes dirigeante reste influencée par le traditionalisme