Les Jacobins

les plus modérés (les Monarchiens) dominent la Constituante (1789-1791); pendant la Législative (1791-1792), les Girondins sont majoritaires et penchent pour une République gouvernée par la bourgeoisie aisée; pendant la Convention (1793-1794), les Jacobins l’emportent; ils prônent une République démocratique dans la quelle les artisans et les commerçants auraient le pouvoir; mais ils sont eux – mêmes débordés par les sans–culottes, peu nombreux à l’assemblée mais puissants à la commune de Paris, qui

locales que dans leurs relations avec l’Etat. Les « Actes I et II» vont amorcer le processus de décentralisation et ainsi apporter de réelles avancées dans le développement de la vie publique locale, étouffée jusqu’alors par le centralisme jacobin. Mesure phare de l’ « Acte 1 » et emblématique d’une première rupture, la suppression de la tutelle préfectorale instaurée sous l’ère napoléonienne[1] permet aux collectivités territoriales de s’administrer librement par des assemblées élues et détentrices

nobles et bourgeois Les Jacobins = durs et modérés, nobles et bourgeois Les sans culottes = extrêmement dures, ils veulent tuer tout le monde pour recommencer, gens du peuple La prise de la tuilerie :1792 Ils forment la constituante = gens des 3 groupes qui décident de se rendre au palais pour enlever le Roi et Marie-Antoinette. Ils tuent les militaires et réussissent à faire un procès aux deux autres, ils sont condamnés à mort. Les 3 groupes, surtout les Jacobins, forment en 1791 La République

alors que le pantalon large et tombant jusqu’aux pieds est une tenue d’ouvrier ou d’artisan). Mais le plus important de ces clubs, rendez-vous des patriotes de toutes tendances qui y débattent avec passion devant un public nombreux, c’est le club des Jacobins. Il étend ses réseaux de sociétés affiliés dans toute la province. 3) De la fuite du roi à la chute de la monarchie (21 juin 1790-10 août 1792) Contraint de venir s’installer à Paris par la foule dès octobre 1789, le roi et son entourage vivent

s'essaye dans le rôle de conciliateur entre le Roi et les Révolutionnaires lors des journées d'Octobre puis à la fête de la Fédération le 14 juillet 1790 où La Fayette prête serment au nom de tous les fédérés.Il crée le Club des Feuillants, issu des jacobins modérés, le 14 juillet 1790. Bailly, Sieyes et Barnave en sont les principaux militants avec La Fayette.Son indice de popularité est en baisse, il devient l'infame Motier après la fusillade du Champ de Mars du 17 juillet 1791 et tombe en disgrâce

(1789-1799) République 1792 -1815. 1. Époque de la monarchie constitutionnelle : Période qui résulte du désordre et difficultés financière de Louis XVI conduit à la convocation des ÉG en 1789. Révolution relativement calme si on compare à la dictature jacobine. Imposée par députés du Tiers-État, Parisiens et révolte dans les campagne. = Création ou transformation du Tiers-État en AN (constituante) Nuit 4 août 1789 : Droits féodaux sont supprimés, suppression des droits seigneuriaux. Nuit 26 août 1789 :

peuple, pour sauver la monarchie constitutionnelle. Dans la deuxième Assemblée nationale, celle de 1791, les Feuillants, modérés, expriment leur méfiance à l’égard des masses, assimilées à des « anthropophages ». Ils dénoncent les manipulations des Jacobins, plus radicaux, qu’ils accusent de laisser libre cours « à la licence et à l’anarchie ». Le 10 août 1792, lorsque les sans-culottes prennent les Tuileries puis réclament la destitution du roi, les députés les plus conservateurs sont conspués et

l’assemblée législative est une assemblée divisée. On retrouve ainsi 3 tendances : 
  A droite : le "club des feuillants", monarchistes conservateurs qui soutiennent le roi et regrettent que ces pouvoirs ne soient pas plus forts. 
  A gauche : le "club des jacobins" qui regrettent que les pouvoirs du roi ne soient pas plus faibles. Ils sont prêts à franchir le cap de la monarchie à une république 
  Au centre : les "indépendants ou constitutionnels", monarchistes modérés satisfaits du régime établi par la constitution

se poursuivent jusqu’en 1795. Souvent initiées par les femmes du peuple, vite rejointes par les hommes, ces émeutes de la faim s’accompagnent d’objectifs politiques. Les « Sans-culotte », mouvement populaire parisien et radical, soutiennent les Jacobins et le régime de la Terreur. Ils portent le bonnet rouge. Estampe, Paris, vers 1789 (Coll. BNF). Le 5 octobre 1789, une émeute armée à prédominance féminine aboutit au retour du roi de Versailles à Paris. Cette journée inquiète et est l’objet de

en place d’une monarchie constitutionnelle. Avec cette monarchie constitutionnelle, en principe la révolution française devait être terminée. Elle ne va cependant pas bien fonctionner car LOUIS XVI ne joue pas le jeu et la gauche révolutionnaire, jacobins pr l’essentiel, souhaite aller plus loin dans les réformes et dans un contexte international dramatique ( la France est entrée en guerre contre toute l’Europe). La gauche révolutionnaire destitue le Roi le 10 août 1792, sorte de coup d’état. La république