Les Jacobins

également des jacobins et des sans-culottes. Alors que la misère reste extrême, et que l’approvisionnement des villes se faire ressentir au sein des tensions sociales et politiques, l’ostentatoire des élites se fait une richesse. Ce régime, survit grâce à de nombreuses annulations des élections quand elles sont favorables aux royalistes en 1797, puis des jacobins en 1798, et par la répression d’un côté des royalistes qui souhaitent le retour de la monarchie, et de l’autre des montagnards-jacobins qui veulent

la fin de son étude sur l’épisode de la Note secrète dans Le Rouge et le Noir, Kosei Kurisu écrit: « Dans la société du Rouge, il y a une opposition constante entre deux idéologies: révolution et contre–révolution.[...] Stendhal, dont le sentiment jacobin est indéniable, rédigea son roman dans l’atmosphère tumultueuse qui annonçait la prochaine fluctuation politique. [...] On se demande sans cesse dans Le Rouge et le Noir: « Y a–t–il révolution ? » [...] La prise de position de Stendhal ne pourrait

prônait pas tellement la règle de la majorité, ce que font les révolutionnaires ; l'idée de représentation devait être prohibée, car elle trahissait la volonté générale. Cependant, les révolutionnaires vont se rallier à l'idée de représentation (Jacobins). La morale de Rousseau, du citoyen simple qui se sacrifie pour la volonté générale n'aura d'influence que plus tard avec la Terreur. B) Les lumières contre la révolution. La plupart des grands penseurs sont mort lors de la révolution, ils ne

de la justice en France, a relancé la question de savoir s'il faut une justice indépendante. Les progrès de la démocratie et la consécration de l'État de droit plaident en faveur d'une indépendance de la justice tandis que la tradition politique jacobine et le souvenir des errances de l'histoire en la matière ont longtemps portée la suspicion sur les juges, accusée de vouloir gouverner -la spécificité française est ici particulièrement remarquable. L'indépendance de la justice est aujourd'hui largement

fomenter une insurrection à Paris. Barras et deux généraux jacobins, Brune et Bonaparte, écrasent les insurgés le 13 vendémiaire (5 octobre 1795). Les gouvernants de l’an III ont un programme ambitieux : réprimer les factions sans retomber dans la Terreur, restaurer l’économie, ramener la paix. Mais ils vont se trouver ballotés entre deux oppositions. L’une de droite, majoritaire en raison notamment du réveil religieux. L’autre néo-jacobine de plus en plus active et empêtrés dans des difficultés insurmontables

voix les législateurs assemblés ". Dans la mentalité populaire, ces tribunes ont une fonction politique capitale et y prendre place signifie exercer une part de souveraineté. A partir de 1792, l'activité des clubs se radicalise, et aux côtés de Jacobins ces clubs prennent part à la vie politique de leur région. P.Léon le 6 mars 1792, lisait une pétition signée par 319 femmes à l’assemblée législative : elles réclamenent le droit de s’organisées en garde nationale féminines au nom du droit naturel

l’hôtel de ville pour proclamer une République sauf qu’ils ont été devancés par des groupes de Républicains extrémistes. Notamment les Jacobins (club des Jacobins où on allait parler de politique a été ouvert en 1789. De 1792 à 1794 les Jacobins vont gouverner la France en cherchant l’appui du petit peuple de Paris : « les sans-culottes ». Les Montagnards sont les Jacobins qui s’appuient sur les sans culotte avec leurs têtes Robespierre. Ils ont des préoccupations sociales : aider les pauvres, légitimer

l'histoire du directoire se résume à des coups d'états qui interviennent chaque année, car le directoire qui est globalement le gouvernement des thermidoriens qui entendent se perpétuer, et il va se retrouver face à plusieurs périls: venant de la gauche jacobine, de la droit royaliste mais également des militaires. Ainsi, dans le cadre de l'étude de cette instabilité politique qui caractérise le directoire on peut se demander quel était l'origine et les conséquences de cette instabilité politique. Afin

conventionnel, mais qui est un militaire chevronné et un homme qui n’a pas peur de faire couler le sang des français. Barras qui connaissait énormément d’ex jacobin, fit appel à tous les extrémistes de gauche, les anciens membres des quartiers populaires de paris à réagir. Le 12 vendémiaire, barras décide d’agir. Pour prendre la tête de tous les jacobins il fait appel à 2 généraux qu’il connaissait : Brune Bonaparte Brune avait été l’ami de Danton et avait suivi Robespierre ensuite. Bonaparte lui

Révolution et Terreur, celle-ci devenant l'œuvre d'une bande de « buveurs de sang » suivie par une populace ignorante et violente. L'alliance entre République et démocratie se fragilise. La Convention est désormais déterminée à en finir avec les Jacobins et le mouvement populaire. Elle assimile, après les journées parisiennes du printemps, la démocratie à l'anarchie. Pendant quinze mois, elle va s'efforcer de réaliser son idéal : le gouvernement des notables. La bourgeoisie a pour objectifs la