Les Joueurs De Skat Ou Invalides Jouant Aux Cartes 1920 Otto Dix

COURANT ARTISTIQUE Présenter l’œuvre Les joueurs de Skat. Peinture dHYPERLINK "http://cdi.lavoisier.over-blog.fr/article-les-gueules-cassees-peinture-d-otto-dix-1920-72558846.html"'HYPERLINK "http://cdi.lavoisier.over-blog.fr/article-les-gueules-cassees-peinture-d-otto-dix-1920-72558846.html"Otto Dix (1920) Huile et collage sur toile 110×87 cm Conservée à la galerie Nationale de Berlin Art visuel Biographie de l'auteur Otto Dix (1891-1969) est un peintre allemand expressionniste

Titre de l’œuvre : TRYPTIQUE DE LA GUERRE (« Der Krieg ») Artiste : OTTO DIX Musée : « Galerie Neue Meister de Dresde » Une biographie du peintre : Otto Dix est né le 2 décembre 1891 à Gera, près de Dresde à l’est de l’Allemagne. Il meurt le 25 juillet 1969 à Singen, au sud de l’Allemagne (RFA). Son intérêt pour l’art vient de son cousin, Fritz Amann, un peintre régionaliste. Après des études d’arts décoratifs, il commence à dessiner des paysages de Thuringe. Puis grâce à une visite à une

Otto Dix, un regard sur le siècle Otto Dix [1891-1969] est un peintre peu connu en France, classé par les critiques d'art parmi les représentants de la Nouvelle Objectivité (Neue Sachlichkeit). Otto Dix a toujours dénoncé les horreurs de la Première Guerre mondiale. Dix est né le 2 décembre 1891 à Untermhaus, à proximité de Gera en Thuringe, d'un père ouvrier de fonderie. Un milieu modeste, ouvert cependant aux préoccupations de l'art; sa mère rédigeait des poèmes et c'est auprès de son cousin

Otto Dix, Der Krieg (La guerre), 1929-32, tempera sur bois Dimensions : 204 x 204 cm pour le panneau central 204 x 102 cm pour les panneaux latéraux 60 x 204 cm pour la prédelle. Galerie Neue Meister, Dresde. I / INTRODUCTION Otto DIX Otto DIX est un peintre allemand né en 2 décembre 1891 près de Gera et mort le 25 juillet 1969. Il est issu d’une famille d’ouvrier, mais reçoit une éducation artistique par sa mère, qui s’intéresse à la peinture et la musique. Il prend des cours de

FICHE HISTOIRE DES ARTS Domaine artistique : Les arts du visuel Période : XX° Thématique : Arts,États et pouvoir TITRE DE L'OEUVRE : La Guerre Auteur:Otto Dix (1891-1969) peintre allemand. L'image de l’œuvre INFORMATIONS Support : Panneaux de bois Dimensions : panneaux latéraux : 204x102cm, panneau central : 204-204cm, prédelle : 60x204cm Date de réalisation : 1929-1932 Lieu de conservation: Musée des Beaux-arts à Dresde ( Allemagne ) Sujet : Historique Pour qui : ? Problématique : Que nous apprend

dans un univers de violence, confrontés sans cesse à la mort, aux atrocités. Ils ressentent la peur mais se révèlent aussi agressifs et brutaux. quotidien dans les tranchées / expérience de la guerre / Expérience combattante (peintres...avec Otto dix, Beckman) / conditions (hygiène (tranchées) , nourriture / mort omniprésente...) (voir tableau (14) ) / souffrance moral /, mort omniprésente ( voir analyse (17) ), conditions...) et physique (blessures, forces qui se perdent …) (caractère éphémère

pendant dix ans à Jouy-en-Josas, dans les Yvelines, la fondation Cartier pour l'art contemporain s'installe dans le bâtiment construit en 1994 par Jean Nouvel au 261, boulevard Raspail.
 
« Il s'agit d'une architecture toute de légèreté, de vitrage et d'acier finement tramé. Une architecture dont le jeu consiste à estomper les limites tangibles du bâtiment et à rendre superflue la lecture d'un volume solide dans une poétique du flou et de l'évanescence ». Après avoir séjourné pendant dix ans à Jouy-en-Josas

susceptibles de survivre est rarement favorable aux blessés de l'abdomen. Les armes chimiques et le gaz moutarde provoquent de graves lésions pulmonaires mais aussi des brûlures de la peau et des yeux. 3 % des soldats touchés en mouraient, 2 % restaient invalides et 70 % pouvaient repartir au combat. Enfin la tête est la partie du corps la plus touchées durant cette guerre. En effet, elle dépasse des abris et des tranchées et est donc la plus exposée et donc la plus vulnérable. Les éclats d'obus font énormément

que mon père l’avait obtenue. […] Mon père, après la naissance de mon frère unique, partit pour Constantinople. […] Ma mère […] aimait tendrement son mari ; elle le pressa de revenir ; il quitta tout et revint. Je fus le triste fruit de ce retour. Dix mois après, je naquis infirme et malade ; je coûtai la vie à ma mère, et ma naissance fut le premier de mes malheurs. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1766 C)        Lorsque le grand-père et l’oncle Mickaïl étaient partis en visite, l’oncle