Les Larmes du Soleil

Texte 3 : Extrait du chapitre 6 (fin de la 1ère partie) “Le meurtre de l’Arabe” : le soleil comme destin tragique. Au bout d’un moment, je suis retourné vers la plage et je me suis mis à marcher. C’était le même éclatement rouge. Sur le sable, la mer haletait de toute la respiration rapide et étouffée de ses petites vagues. Je marchais lentement vers les rochers et je sentais mon front se gonfler sous le soleil. Toute cette chaleur s’appuyait sur moi et s’opposait à mon avance. Et chaque fois que

l'aile Et le soleil est un obus Qui fait sauter les citadelles Et les lilas sur les talus Le ciel de France est noirci d'aigles De lémures et de corbeaux Ses soldats couchés dans les seigles Ignorent qu'ils sont des héros Ni Chartres, ni Rouen, ni Bruges N'ont assez d'anges dans leurs tours Pour lutter contre le déluge Et les escadres de vautours Taureau chassé des pâturages Et du silence paternel Devant la pourpre de l'outrage Perd tout son sang au grand soleil Il perd son

il ne trouva aucun mot pour exprimer sa gratitude, mais son corps commença à suer. Et voilà que l'univers fut créé à partir de la sueur de ce paon paradisiaque: De la sueur de son nez, Dieu créa les anges. De la sueur de son visage, Dieu créa le soleil, la lune et les étoiles. De la sueur de sa poitrine, Dieux créa les prophètes et les saints. De la sueur de son dos, Dieu créa Jérusalem, la Kaaba*, les mosquées et tous les lieux saints. De la sueur de ses sourcils, il créa les musulmans. De

132 = 66 x 2 : nombre doublement diabolique) organisés en 6 parties : « Spleen et Idéal » : 85 poèmes (moins 3 des 6 poèmes supprimés, moins des poèmes déplacés, comme « Le Soleil », plus de nouveaux poèmes, comme « Duellum »)« Tableaux parisiens » : 18 poèmes (dont 8 figuraient en 1857 dans « Spleen et Idéal » : « Le Soleil », « Le Jeu », « Brumes et pluies », « Le Crépuscule du matin », « La Servante au grand cœur dont vous étiez jalouse », « Je n’ai pas oublié, voisine de la ville », « Le Revenant »

planète - Coucher de soleil multicolore - Les délices du Paradis - Multitude de couleurs - Mille couleurs divines - Arc-en-cieldu jardin - Menuet de saveurs princières - Butinage gourmand des papillons Melon à l'Italienne : - Naf-Naf dans le verger - Jolies rondeurs rouges et oranges - Jolies rondeurs au soleil couchant - Sucré salé à la mode italienne - Sucré salé d'Italie - demi-lune et sa surprise - demi-lune de cavaillon et sa surprise - jolies rondeurs au soleil couchant - rouge

ce trouve trop petit pour son âge, accompagné par le p’pa, la m’man et ses petites sœurs Maryse et Martine. Farouk le vieil arabe passe à tabac Daniel Picouly, le voyant manger du porc il le prend pour un musulman, il est 5h22 l’heure du dernier soleil, c’est là que commence le récit, s’entrechoquent des souvenirs, des paroles dans la tête de notre héros, s’en suit ensuite le récit de cet été à Fort-de-L’eau. La chambre chez les Cléments, mademoiselle Valnay la prof de natation, la belle Marilyne

miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre dans le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul Eluard, >, Capitale de la douleur,1926 Ed. Gallimard. Colloque sentimental Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux

m'embrassa tendrement et amoureusement. Un coup de vent repassa au-dessus de nos têtes au son d'une guitare, Il me demanda de s'asseoir, moi en-lassé dans c'est bras. Nous sommes restées sur la plage jusqu'au petit matin, jusqu'à temps que le soleil vienne nous éblouir de bonheur. ------------------------------------------------- Lui et elle ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Dans le font de ses yeux, -------------------------------------------------

ma mère me l'avait 15 dit et, m'appuyant négligemment contre les bûches, je levai les yeux vers la lumière pour la subjuguer2. Mais Valentine n'était pas femme à se laisser impressionner. Je restai là, les yeux levés vers le soleil, jusqu'à ce que mon visage ruisselât de larmes, mais la cruelle, pendant tout ce temps-là, continua à jouer avec sa balle, sans paraître le moins du monde intéressée. 20 Les yeux me sortaient de la tête, tout devenait feu et flamme autour de moi, mais Valentine ne m'accordait

bâties, des forteresses commencées, des défrichements couverts de nègres, des groupes de blancs et d'Indiens, présentaient, dans ce petit espace, le contraste des moeurs sociales et des moeurs sauvages. Vers l'orient, au fond de la perspective, le soleil commençait à paraître entre les sommets brisés des Appalaches, qui se dessinaient comme des caractères d'azur dans les hauteurs dorées du ciel ; à l'occident, le Meschacebé roulait ses ondes dans un silence magnifique et formait la bordure du tableau