Les Lieux Manon Lescaut

social » de Jean-Jacques Rousseau texte 5 :  « l'ile des esclaves » de Marivaux texte 6 : Article « traite de nègres » de Jaucourt texte 7 :  « les liaisons dangereuses » de Laclos texte 8 : « histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut » de l'abbé Prévost Billuart Marie 1ere STAV 1 Le XVIIIeme siècle La littérature française du XVIIIe siècle s'inscrit dans une période le plus souvent définie pas deux dates repères : 1715, date de la mort

comices agricoles montre que le romancier a saisi les comportements et attitudes d’individus qu’il a vus et qui l’ont marqué. Par ailleurs, la grande ville constitue fréquemment le cadre privilégié pour le romancier réaliste. En effet, la diversité des lieux, le vaste choix des monuments, le pittoresque de certains quartiers sont les éléments souvent présents dans ses descriptions. Ainsi, dans La Femme de trente ans, Honoré de Balzac nous donne une vision de Paris qui se déploie à la manière d’un tableau

réponse à la problématique2e § →ouverture → par comparaison/ analogieLe Théâtre :Marivaux : Les fausses confidencesparcours : théâtre et stratagèmeSéance 0 : « révisions »théâtre → notion de spectacle qui inclus de nombreuse règle :- lieux spécifique (permanent ou dédie)-professionnelle du théâtre (comédiens, metteur en scène, décorateurs, accessoires, costumiers, perruquiers, maquilleur, charpentier, peintre, styliste, l’ingénieur du son )-publicle texte → qui donne un grand nombres

; les lampes y sont différentes des autes lieux ; ses cabinets sont pleins de mille raretés qui font voir le jugement de celle qui les a choisies ; l'air toujours parfumé dans son palais ; diverses corbeilles magnifiques, pleines de fleurs, font un printemps continuel dans sa chambre, et le lieu où on la voit d'ordinaire est si agréable et si bien imaginé, qu'on croit être dans un enchantement lorsqu'on y est auprès d'elle. Texte n°3 : Manon Lescaut, abbé Prévost, 1731. J'avais marqué le

protagonistes par la focalisation interne. Ainsi, L’abbé Prévost dans son roman Manon Lescaut choisit comme narrateur le Chevalier des Grieux, jeune homme meurtri, qui fait le récit de ses amours tumultueuses et qui au fil de ce récit explore à nouveau ses sentiments et se découvre lui-même. A l’issue du roman, Prévost nous fait entendre la détresse du chevalier qui prend des accents lyriques pour raconter la mort de sa bien-aimée Manon, épuisée par sa longue marche, la nuit, dans le désert. La détresse de

construit par son grand-père, Claude d'Urfé. Aussi, et c’est en cela que le livre perdure à travers les âges depuis sa rédaction, le théâtre des actions racontées dans le livre est toujours présent dans le Forez, et, ayant conservé les mêmes noms, les lieux et les itinéraires sont particulièrement propices à l’évocation du roman. Influences: Cette œuvre a été lue par un nombre immense de personnes, et par là influença de nombreux auteurs comme Jean-Jacques Rousseau, Jean de la Fontaine ou Molière qui

toutes les formes narratives dans un jeu littéraire permanent Parmi les oeuvres les plus célèbres on retient : •Une fausse autobiographie, Manon Lescaut de l’Abbé Prévost •Un roman ironique construit sur des dialogues, Jacques le fataliste de Diderot •Un roman

refuse l’anecdotique. Le genre du roman est d’autant moins net que le théâtre est introduit, comme si le narrateur n’était capable que d’écouter les personnages sans entrer dans leur conscience. Mais là encore, déception : un discours banal, parsemé de lieux communs ; on a du mal à suivre comme quand Jacques s’écrit : « que le diable emporte le cabaretier et son cabaret » : mise en abyme ici : Jacques introduit un nouveau personnage dont on ne sait rien comme D a entamé JF par un étrange « ils ». Au

devaient être âgées entre 16 et 40 ans, et n'être «point folles» ni «estropiées». En principe, il fallait de «jeunes villageoises n'ayant rien de rebutant à l'extérieur et assez robustes pour résister au climat et à la culture de la terre». Diapo 5 à 8 Lieux : En fait, la moitié des filles du roy (327) vinrent de la région parisienne, dont 240 de la ville de Paris, principalement des Maisons de charité (Saint-Sulpice, Saint-Eustache, Saint-Benoît, Saint-Sauveur, Saint-Nicolas et Saint-Merri) et des Maisons

préfèrera aux registres de langage courants, des tournures de phrases plus complexes et élégantes. Nous pensons à La princesse de Clèves, paru en 1678, de Madame de Lafayette (1634-1693). Le XVIIIe siècle laisse apparaître le roman-mémoire avec Manon Lescaut, tiré de Mémoires et aventures d’un homme de qualité qui s’est retiré du monde, paru en 1753, de l’Abbé Prévost (1697-1763). Au XIXe siècle c’est l’apogée du roman. Il est enfin perçu comme un genre littéraire à part entière. C’est l’époque