Les Lignes De Construction De Serment Des Horaces

pie, car l’une des taches est située entre les pattes antérieures. Sur la partie droite du tableau l’on remarque que la baie se referme et qu’elle est surmontée d’une éminence qui ressemble à une colline. Sur cette dernière se dresse une construction en ruine dont on distingue deux pans perpendiculaires. Derrière elle apparaît une jeune femme vêtue de blanc, à la peau plus grisée et à la tête ceinte d’une couronne de fleurs où l’on discerne des feuilles vertes. Elle tient dans ses mains un

brillantes · John Constable, La baie de Weymouth, 1819-1830. → Impression inséparable de la réaction affective. C’est avec ses émotions qu’il essaie de retranscrire sa peinture. Toile bcp plus émotive que la première. Présence (quand même) d’une construction géométrique : personnage au milieu de la toile, diagonale pour le ciel d’orage → Création d’un équilibre. Lumière blanche, unifiant les différents plans. · William Turner, Le naufrage, 1805. Toile peinte au début de sa carrière. Il s’intéresse

DAVID 1748- 1785 il est le plus important eleve de joesph maire vien,il est considere comme le file de chef de lecole francais neoclassique pour lui peinture doit sevir lidee « Le serment des Horaces »1784-1785, il reponds l’histoire romaine de charle rolin ou s’inspire par la tolie du peinture ‘le serment du brutus, on est purement dans le néoclassicisme, moralisateur. Cet artiste peintre engagé politiquement a participé à la révolution, il voulait une république comme pendant l’antiquité

parler de leurs armes; mais les Sabins, soupçonnant un piège, l'écrasèrent sous le prix même de sa trahison. [I, 12] (1) Quoi qu'il en soit, ils étaient maîtres de la citadelle. Le lendemain, l'armée romaine, rangée en bataille, couvrait de ses lignes l'espace compris entre le mont Palatin et le mont Capitolin. Les Sabins n'étaient point encore descendus à sa rencontre, que, déjà transportée par la colère et le désir de reprendre la place, elle s'élance sur la hauteur. (2) De part et d'autre les

rapport à sa performance communicative lors de l'entretien. Le déroulement de chaque séance et la justification des exercices sont explicités ci après, les cours, les exercices et les supports sont ensuite présentés. Ce projet donne un cadre, des lignes directrices, mais il est évident que je ne peux prévoir les interactions en classe et qu'il doit être modulé au mieux en fonction de l'avancement des élèves, de leur participation et leurs questionnements. Schéma général des cours: Début de séance:

l’Antiquité dans la seconde moitié du siècle et ils vont fonder le style Néoclassique, aux lignes plus sévère et dépouillée (style Louis XVI). • Le Néo-classicisme : Le Néoclassicisme apparaît vers la fin du XVIIIe siècle pour prendre fin vers 1830. Le néo-classicisme consiste à éduquer aux vertus morales et inspirer la grandeur et l’utilité. Ce mouvement marque la distance avec le rococo par une sévérité de lignes, de formes et de couleurs. Il représente des œuvres plus austères L’enlèvement des Sabines

le détail (ménageant ainsi l’attente du lecteur) comment le dernier Horace réussit à tuer les trois Curiaces (verbes d’action, présent de narration). Valère informe le père d’Horace de la stratégie employée par son fils (« il fuit pour mieux combattre, et cette prompte ruse ») et de sa victoire face à ses trois adversaires. Les réactions sont inattendues : aucune manifestation de joie à l’annonce de cette victoire, le vieil Horace écoute sans intervenir, seule se fait entendre la plainte de Camille

Lyse reste déterminée à se venger et de mener à bien son complot avec Adraste. Seul sur scène, Matamore, qui s’est caché par peur de la bastonnade, s'effraie du moindre bruit et s'écarte à l'arrivée d'Isabelle et Clindor. Ils renouvellent leur serments d'amour, mais Matamore, qui découvre avec stupeur leurs projets, elle étant résolue à désobéir à l'autorité paternelle,  les interrompt. Clindor le menace ; aussi s'adoucit-il et, bon prince, renonce à Isabelle. Coup de théâtre : Adraste et Géronte

Lyse reste déterminée à se venger et de mener à bien son complot avec Adraste. Seul sur scène, Matamore, qui s’est caché par peur de la bastonnade, s'effraie du moindre bruit et s'écarte à l'arrivée d'Isabelle et Clindor. Ils renouvellent leur serments d'amour, mais Matamore, qui découvre avec stupeur leurs projets, elle étant résolue à désobéir à l'autorité paternelle,  les interrompt. Clindor le menace ; aussi s'adoucit-il et, bon prince, renonce à Isabelle. Coup de théâtre : Adraste et Géronte

qui est la métropole de Rome, la ville mère. Pour mettre un terme à la guerre entre Rome et Albe, les 2 chefs décident qu’il y aura un combat entre 3 romains et 3 représentants d’Albe : 3 frères à chaque fois, les combats s’engagent et un seul des Horace se retrouve face aux 3 représentants de Albe, mais réussi à tuer les 3 autres. En rentrant sa sœur est en pleure car il a tué son futur époux et de rage d’être accueilli comme cela tue sa sœur. Ancus Marcius est un roi qui n’était pas belliqueux