Les Lilas

cocotte le caraco kaki avec le col de caracul ! Conclusion : Coco le concasseur de cacao fut cocu. Le geai gélatineux geignait dans le jasmin. Si je mouille mes coudes. Mes coudes se mouillent-ils? Oui, mes coudes se mouillent. Que lit Lili sous ces lilas-là ? Lili lit l'Iliade. La maman du manant manie nos manies maniaques sans manière. L'effroi du roi noir qui croit en toi s'accroît le soir sous la croix de bois. Je bois aux trois oies du bois du roi qui voit loi et droit chaque fois qu'il parloit

qui se voyait dans ses yeux. Quelquefois elle s'élançait pour attraper une bête volante, et s'écriait en la rapportant : «Regarde, mon oncle, comme elle est jolie ; j'ai envie de l'embrasser.» Et ce besoin «d'embrasser des mouches» ou des grains de lilas inquiétait, irritait, soulevait le prêtre, qui retrouvait encore là cette indéracinable tendresse qui germe toujours au coeur des femmes. Puis, voilà qu'un jour l'épouse du sacristain, qui faisait le ménage de l'abbé Marignan, lui apprit avec précaution

parlant d'amour, extase pure ! En l'enivrant avec le ciel et la nature, La mener, si le temps n'était pas trop mauvais, Manger de la galette aux buttes Saint-Gervais ! Rêve heureux ! je voyais, dans ma colère bleue, Tout cet Éden, congé, les lilas, la banlieue, Et j'entendais, parmi le thym et le muguet, Les vagues violons de la mère Saguet ! O douleur ! furieux, je montais à ma chambre, Fournaise au mois de juin, et glacière en décembre ; Et, là, je m'écriais : -- Horace ! ô bon

de la nature (l7) « quand tout le bois frissonnant saigne » (l9-10)  « De chaque branches, gouttes vertes, des  bourgeons clairs » (l-53)  « nos grands bois sentiraient la sève » (l-59) « un troupeau » (l-62) « pommiers » (l-75) « vache » (l-102) « lilas ». Dans Vénus Anadyomène la femme ressemble a une bête (l-5) « le col gras et gris ,les larges omoplates »(l-6) « les dos court »(l-9) « l’échine » (l-13) « sa large croupe ».

Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’œil fatigué de voir et le corps engourdi. Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Une vallée humide et de lilas couverte, Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, — Et la route et le bruit sont bien vite oubliés ! On se couche dans l’herbe et l’on s’écoute vivre, De l’odeur

être illustrée et présentait à une autre classe (CP par ex) Une mise en réseau littéraire autour du détournement d’œuvre classique : • les différentes adaptations de Blanche-neige (la malle aux contes de serge Boêche, Lilas, une enquête de John Chatterton d’Yvan Pommaux ; Un conte peut en cacher un autre de Roald Dahl, Les Contes à l'envers, Drôle de conte… travail de l’adaptation d’une œuvre littéraire dans un autre domaine notamment cinématographique l’adaptation

et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable, Qui a mis cette rose, Au jardin que voilà? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame, La rose de velours, Au jardin que voilà? Et ces prunes éclatées, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosselles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle, Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'éclat de ses vingt ans. Est-ce Dieu, Est-ce Diable, Ou les deux à la fois, Qui un jour, s'unissant, Ont fait

Quand l'été vint, à la tombée du jour, j'allais m'asseoir à côté de lui, devant la porte. On était à mi-côte ; on voyait de là toute la largueur de la vallée. Il était heureux de ce tapis immense de terres labourées, qui se perdait à l'horizon dans le lilas clair du crépuscule. Et le forgeron plaisantait souvent. Il disait que toutes ces terres lui appartenaient, que la forge, depuis plus de deux cents ans, fournissait des charrues à tout le pays. C'était son orgueil. Pas une moisson ne poussait sans

sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Guillaume Apollinaire Alcools Cycle 3 Littérature Les colchiques POÉSIE Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s’empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne Les enfants de l’école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l’harmonica Ils cueillent les colchiques

parlant d’amour, extase pure ! En l’enivrant avec le ciel et la nature, La mener, si le temps n’était pas trop mauvais, Manger de la galette aux buttes Saint-Gervais ! Rêve heureux ! je voyais, dans ma colère bleue, Tout cet Éden, congé, les lilas, la banlieue, Et j’entendais, parmi le thym et le muguet, Les vagues violons de la mère Saguet ! Ô douleur ! furieux, je montais à ma chambre, Fournaise au mois de juin, et glacière en décembre ; Et, là, je m’écriais : — Horace ! ô bon garçon