Les Limites Des Fmn

laisse place à une plus grande diversification. En ce qui concerne l’agribusiness, moins de 3 % de la population y active travaille directement dans les exploitations. Mais le secteur de l’agro-alimentaire, organisé autour de Firmes multinationales (FMN) (Pepsico, ConAgra), emploie près de 20 % des actifs et produit près de 18 % du PIB. Cette force permet d’exercer des pressions pour l’octroi de subventions publiques, ce qui est un atout pour conserver la première place au niveau mondial. Cependant

souvent utilisé pour évaluer la richesse d'un État est le PIB (ou le PNB) par habitant. Il donne une idée de la richesse moyenne d'une population. Il ne permet pas, cependant, de déterminer l'état de son développement. • En effet, le développement ne se limite pas à l'accroissement des revenus. Pour l'évaluer, on a mis au point un indicateur spécifique : l'indicateur de développement humain, l'IDH. C'est un indice regroupant ainsi plusieurs aspects : le niveau de vie mais aussi l'espérance de vie et le

progrès de la numérisation, qui permet d'être instantanément en contact avec n'importe quel point du globe, est un des vecteurs essentiels de l'explosion de la mobilité des informations (sons, images, données) : sa maîtrise (aux mains d’un nombre limité d’acteurs politiques et économiques) est un enjeu géopolitique, économique et culturel mondial. La révolution technologique, en permettant une accélération de la diffusion de l’information, a également eu des incidences sur les stratégies de localisation

(crise int, manque de moyens pour le réarmement, pacifisme dvpé après WW1) .L’autarcie d’expansion s’explique par une pénurie de devises (accords de clearing en All), la perspective d’expansion s’inscrit dans une logique géopolitique (pallier les limites internes en main d’œuvre ou en matières premières). .la situation géopolitique est enfin caractérisée par le retrait des puissances incarnant déjà les 2 grands modèles socio-économiques antagonistes. L’isolationnisme américain atteint son apogée

internationaux ou transnationaux (États, organisations internationales, multinationales), publics ou privés, légaux ou illégaux, dont les interventions se croisent, se combattent ou s’additionnent et forment des réseaux (leçon 3 et dossier sur les FMN). • Enfin, la mondialisation fait émerger des lieux qui captent de façon spécifique les activités, les emplois et les revenus : – à l’échelle mondiale, ces lieux dessinent une organisation de l’espace selon une logique centrepériphérie que synthétise

l’économiste ……………………………………………………………….., décrit la composition de ces différents groupes de perdants et gagnants. IV. Comment arbitrer entre libre-échange et protectionnisme ? 1. Les intérêts et les limites du libre-échange En théorie, le libre-échange est source d’avantages . Le libre-échange favorise la spécialisation des pays dans les activités où ils sont relativement le plus ……………………………………………………………. La productivité au

métropoles sont des nœuds stratégiques + rôle Etat nécessaire (décisions quant à l’aménagement du territoire) 2.2.2. Transports maritimes et aériens, vecteurs centraux de la mondialisation - Transports maritimes - plus les FMN mondialisent leurs activités, plus il y a de marchandises à transporter => transport maritime en est le plus grand bénéficiaire (90% transport transcontinental de marchandises) : grand gabarit, souplesse du système (peut desservir plusieurs ports),

Chine (réseau ferré 2 fois plus long en 52). Inde, Corée du Sud et Taïwan sont des exceptions en Asie en matière d’aménagement du territoire. (Indonésie et Philippines : grosses difficultés). En Am Latine, bon réseau ferré au Mexique et au Sud, mais limité au Brésil (Aussi routier). Des relations inégales entre le tiers-monde et le monde 1. Des pays dépendants A. Des dépendances politiques Tiers-monde : manque de structures administratives et de cadres. Diversité de situation : pays issus

avantages comparatifs ont également leurs limites car certains secteurs, sont abandonnés (chômage) aux profits d’autres où les entreprises nationales sont plus concurrentielles. Ainsi les secteurs employant une haute technicité souffrent moins que les secteurs de la construction immobilière ou l’employabilité se réduit considérablement en Europe. A cause de la non-flexibilité des salaires Français, de nombreuses délocalisations sont également effectuées par les FMN, détruisant ainsi de nombreux emplois

international, et chaque organisation, quelque qu’elle soit, se conçoit et se développe à un niveau qui dépasse le cadre national. La PME française s’inscrit dans le cadre de l’Union Européenne et doit s’adapter au marché européen au même titre qu’une FMN doit s’ajuster aux situations locales. Ce phénomène, que l’on appelle la globalisation, amène les entreprises à prendre en compte la différenciation culturelle, non seulement dans le cadre de leurs échanges avec le reste du monde, mais également dans