Les Lumieres Contexte Religieux

Analyse d’une peinture 1. Décrire 2. Analyser le point de vue du tableau : Que cherche à dire l’auteur ? RELIGIONS ET ATHEISME Maniere dont les PRETRES CARIBES souflent le courage, Bernard Picart (gravure et dessin), 1721 Contexte : Pays chaud, parce que les hommes sont presque nus, paysages, cases Les prêtres soufflent le courage : rite en vue d’une guerre Lien avec le texte : Caribes, p.e. explorateurs français ->Martinique, Guadeloupe Quelle est l’intention de l’auteur

classe sociale la plus prospère qui inscrit sur un plan artistique la domination de trois villes : Haarlem, Amsterdam et Utrecht. Cet élan marque les débuts de l’apogée de l’âge d’or hollandais (1585-1670), car malgré les troubles politiques et religieux (guerre menée contre l’Espagne entre 1581-1609), la République connaît une prospérité économique due au commerce maritime colonial en terres indonésiennes, brésiliennes et africaines. L’iconographie de la peinture hollandaise du XVIIe siècle est

représentés à plat. Les artistes cubistes utilisent différentes techniques: peinture, sculpture, collage.) Il était connu avant Guernica pour avoir travailler sous forme de période, comme par exemple sa période bleue (1901-1904). Présentation du contexte En Espagne, en 1936, le général Franco, fasciste proche des nazis, soulève l’armée espagnole contre le gouvernement républicain de gauche, le Front populaire. C’est le début d’une guerre civile entre nationalistes et républicains. En avril 1937

Qu'est-ce que les Lumières ? Par Raymond Court www.contrepointphilosophique.ch Rubrique Philosophie 16 mars 2008 (Le débat sur les Lumière, souvent passionné, gagnerait sans doute en clarté et sérénité si l’on portait davantage attention aux contextes nationaux, bien différents en France, Angleterre, Amérique et Allemagne, dans lesquels est apparu puis s’est développé ce grand élan en faveur de la raison. Ainsi la conception de l’Aufklärung défendue par Kant peut être

des lumières reconnu notamment pour ses contes philosophiques. Dans ses oeuvres littéraires, il aborde des sujets comme La Raison : bon sens basé sur l'expérience et l'usage des sciences (empirisme), l'enthropocentrisme, ou encore l'obscurantisme religieux par exemple.Ecrivain engagé, il défent ses valeurs mais également dénonce et condame ce qu'il se passe à son époque à travers ses différents ouvrages. Ce positionnement lui vaudra un exil en Angleterre après avoir été emprisonné. c) Contexte - Les

une valeur expressive au dessin par la simplification et la stylisation. Il se charge d’ombres épaisses et sombres et révèle des couleurs brouillées et terreuses. La facture fait apparaître une pâte savoureuse et souvent épaisse. Peinture réaliste CONTEXTE : HISTORIQUE RÉFÉRENCES : - Gustave Courbet - Millet - Honoré Daumier ROMANTISME FIN DU XIXE SIÈCLE CARACTÉRISTIQUES DU SUJET : Le mouvement romantique se base sur le rejet du rationalisme et du classicisme, s'affranchissant de l'étroite réalité

Les lumières Le siècle des lumières ou communément appelé "l'âge des lumières" désigne le XVIIIème siècle, période de l’époque moderne caractérisée par un grand développement intellectuel et culturel en Europe. Ce mouvement intellectuel a pour principe de promouvoir les connaissances et est à l’origine d’un grand nombre de découvertes, inventions ainsi que révolutions. Il est notamment marqué par la rédaction de l'encyclopédie de Diderot et d'Alembert qui influença grandement les pensées. C’est

L’œuvre a été commandé par Napoléon. Changé de diapo Le peintre : Jacques-Louis David, peintre français né le 30 août 1748 à Paris et mort le 29 décembre 1825 à Bruxelles. Pour lui le « Sacre de Napoléon » est sa plus grande œuvre. Changé de diapo Contexte : -Le 9 Novembre 1799, Napoléon Bonaparte, a profité de la faiblesse du gouvernement de la République pour faire un coup d’état : il devient alors 1er consul. Pendant cette période il réorganise alors la France, fait cesser les violences, met un

les parfums tournent dans I'air du soir ;» Dans ‘’Le jeune enchanteur’’, cette nouvelle qu’on crut longtemps de Baudelaire et qui n’était que la traduction d’une nouvelle de George Croly, tirée du ‘’Forget me not’’ de 1836, on lisait : «Musique, lumière, étoiles, les sons répandus dans l’air du soir, le balancement d’une rose…» Ici, aux «parfums» libérés par la «fleur» et qui étaient les seuls à être suggérés au vers 2, se joignent des «sons», dont l’origine n’est pas spécifiée, et ces produits

style qui consiste à dire autre chose que l’on pense, et qui nécessite de ce fait une interprétation, n’est-elle pas susceptible d’induire le lecteur en erreur ? N’est-elle pas un procédé qui cache la réalité, et présente ainsi les faits dans un contexte ambigu ? Ou au contraire, est-elle une arme d’argumentation efficace qui éclaire des réalités, dénonce des tares, tout en amusant le lecteur ? On le voit, la question est bien moins simple qu’il n’y parait tout d’abord : elle ouvre un champ d’investigation