Les Martyres Hugo

du réel. Langue absolue suprême capable de dire l'infinie. Hugo dit que : j'ai jeté le vers noble au chien noir de la prose. La poésie est entrée dans une ère où elle fait les preuves de sa ruines. C'est tout et plus rien à la fois, elle se confond avec la prose. Poème: Suite et Quelques mots à un autre . La poésie cesse de s'identifier au poème quand elle devient vie politique, lorsqu'elle se fait éloquence avec Lamartine et Hugo, lorsque les écrivains se mettent à évoque le charme d'un visage

je voudrais,Je voudrais n'être pas Français pour pouvoir dire Que je te choisis, France, et que, dans ton martyre, Je te proclame, toi que ronge le vautour, Ma patrie et ma gloire et mon unique amour  Victor Hugo, A La France J'ai choisi ce poème car je trouvais qu'il introduisait bien ma partie sur la France, d'autant plus qu'il a été écrit par un très grand auteur français, Victor Hugo. Ce poème est compliqué à comprendre mais aussi à lire car il n'a aucune structure, aucune organisation

situation lamentable du pays colonisé et le réveil plein de bonheur qui suivrait la réhabilitation des valeurs traditionnelles.  I. La nature corrompue par le colonisateur Aimé Césaire se présente dans ce texte comme un poète engagé à la manière de Victor Hugo. 1) Comme le prophète, il rappelle à temps et à contretemps la valeur du mode de vie traditionnel des antillais, peuple sensible à la poésie (d'une pensée jamais lasse). Le paradis perdu et ses images d'une vie idyllique (le fleuve des tourterelles

notre littérature oscille entre le lyrisme personnel illustré par du Bellay, Baudelaire, Rimbaud, et l’engagement dans les préoccupations de l’époque comme avec Agrippa d’Aubigné, Boileau, Chénier, les poètes de la Résistance. D’autres comme Ronsard ou Hugo ont trouvé tour à tour leur inspiration dans ces deux pôles opposés. Pour ce dernier cependant, le rôle éminent et ultime de l’écrivain est de « réveiller le peuple ». C’est ainsi qu’il s’exprime dans une lettre à son éditeur Hetzel. Joachim du

Agrippa d’Aubigné est éduqué dans les idées humanistes et dans la religion protestante par son père. En effet, sa mère meurt durant l’accouchement. (Agrippa du latin aegre partus = accouchement difficile). Agrippa n’a que 8 ans quand il est témoin du martyre de la conjuration d’Amboise (1560). Son père lui aurait alors fait jurer de combattre les catholiques par les armes afin de venger la mort de ses compagnons. Comme relevé plus tôt, Agrippa est éduqué dans la religion protestante. Il reçoit également

recueil Les Fleurs du mal, il a renouvelé en profondeur les motifs poétiques. Dans ses poèmes il a tenté de tisser et de démontrer les liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la

longue et lourde tâche Dans la voie où le sort a voulu t’appeler, Puis après, comme moi souffre et meurs sans parler. Victor Hugo (1802-1885) Le chef Il est présenté comme « le possédé du langage poétique » par Paul Valérie Jamais dans notre langue, le pouvoir de tout dire en vers exacts n'a été possédé et exercé à ce degré. Jusqu'à l’abus peut-être, Hugo est en quelque sorte trop fort pour ne pas abuser du pouvoir. Il transforme tout ce qu’il veut en poésie. Le monstre sacré se présente

pacifiques et plus constructives. Pourtant, les bouleversements politiques que 1789 inaugure, réhabilitent un héroïsme politique et militaire qui cherche à concilier les nouvelles valeurs méritocratiques, démocratiques et laïques avec les traditions du martyre et l’héritage littéraire des humanités.  Dès les premiers succès de Bonaparte dans les plaines d’Italie, David est fasciné par ce jeune général qui lui rappelle les héros antiques et qui associe ses combats à des chants de l’Iliade. Il devient

recueil Les Fleurs du mal, il a renouvelé en profondeur les motifs poétiques. Dans ses poèmes il a tenté de tisser et de démontrer les liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares2). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé

sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du XIXe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand, et Stendhal. Le romantisme en Allemagne Le romantisme émerge en Allemagne à la fin du xviiie siècle. Novalis en définit le programme dès 1798 : « Le monde doit être romantisé. Ainsi on retrouvera le sens originel. […] Quand