Les Misérables Germinal L étranger

: – 1873 : Émile Zola, Thérèse Raquin ; – 1877 : Émile Zola, L’Assommoir ; – 1883 : Guy de Maupassant, Une vie ; – 1894 : Jules Renard, Poil de Carotte. L’orientalisme et les récits de voyage Le XIXe siècle est habité par l’attrait des pays étrangers, et de l’Orient notamment. En témoignent les périples effectués par de nombreux écrivains et la floraison d’une littérature du voyage. Flaubert n’échappe pas à cette fascination et effectue lui aussi un périple en Orient, en compagnie de Maxime Du

oeuvre irréalisée." Dans une lettre à Céard, il confesse : "c'est un roman où mes souvenirs et mon coeur ont débordé." DATE : 1886 L'Oeuvre est le quatorzième volume de la série des Rougon-Macquart qui en comporte vingt. Sa parution suit celle de Germinal. Zola a 46 ans. TITRE Le mot a une connotation plus noble qu'ouvrage ou travail. N'oublions pas que la devise de Zola, inscrite dans son bureau, était :"nulla dies sine linea" (aucun jour sans une ligne).Cette vertu affirmée du travail est présente

la petite cour ; et le zingueur qui l'avait suivie, lui expliqua comment ça marchait, indiquant du doigt les différentes pièces de l'appareil, montrant l'énorme cornue d'où tombait un filet limpide d'alcool. L'alambic, avec ses récipients de forme étrange, ses enroulements sans fin de tuyaux, gardait une mine sombre ; pas une fumée ne s'échappait ; à peine entendait-on un souffle intérieur, un ronflement souterrain ; c'était comme une besogne de nuit faite en plein jour, par un travailleur morne, puissant

chaque doc (->tableau) + proposition de plan détaillé + synthèse entièrement rédigée. Ducasse contre Vaubyessard - Fichier envoyé le 18-12-2006 par Bruno Février Zola - Bovary, où s'amuse-t-on le mieux ? La fête de la Ducasse avec les mineurs de Germinal confrontée à l'extrait du bal de Vaubyessard où Emma Bovary découvre "le faste des grands". Deux extraits qui peuvent servir à la préparation de l'écriture personnelle sur la fête. L'échange festif, synthèse de documents - Fichier envoyé le 14-12-2006

horrible ». Les condamnés déshabillés sous la pluie sont à la fois ridicules puis surtout pathétiques : les profils sont « sinistres », le silence est « morne ». Le narrateur est d’autant plus horrifié que pour les autres prisonniers cette scène misérable et terrible est considérée comme un spectacle. En effet, le chapitre file la métaphore du théâtre et du spectacle : le condamné est placé dans une « loge comme le roi », les autres sont les « spectateurs de la cérémonie ». « Midi sonna », comme les

Émile ZOLA “Germinal” Roman de 500 pages Résumé Première partie Chapitre I : Un lundi de février 1865, vers trois heures du matin, un homme arrivait à Montsou, l’une des mines du nord de la France et, dans la nuit, découvrait une fosse. Il conversait avec un charretier de cinquante-huit ans à qui il confiait qu’il s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux

établissements charitables, laissé tombé les écoles, dispersé les séminaires. Autour de nous les lumières se sont éteintes, le recrutement des hommes de religion et des hommes de loi a cessé ; c’est-à-dire que nous avons rendu la société musulmane plus misérable, plus désordonnée, plus ignorante et plus barbare qu’elle n’était avant de nous connaître ». Alexis De TOCQUEVILLE, Rapport sur l’Algérie, 1847. Cité par B. STORA, Histoire de l’Algérie coloniale. P.28. Après l’invasion militaire, vint la colonisation

nourrit de glands, de tubercules et de châtaignes crues […]. L’attention, dispersée, vacillant, anxieux, promène le regard sur tout et rien. […] L’odorat se satisfait à humer ce qui se rencontre, branches et feuilles, pierres, terre et chair. Plus misérable qu’un chimpanzé l’enfant ne sait pas ouvrir les portes […]. Aussi démuni que l’animal pour le langage, sa gorge n’émet qu’un son unique et dépoli » ( ibid.). En somme, le petit d’homme ne devient que ce que le milieu dans

romantique L'amour L'amour romantique ne se réduit pas au cliché habituel. Il existe incontestablement une idéalisation de l'amour : « La réduction de l'univers à un seul être, la dilatation d'un seul être jusqu'à Dieu, voilà l'amour » (Hugo, Les Misérables). Cet amour passionnel s'oppose au mariage qui n'est qu'un arrangement froid et réfléchi excluant d'emblée l'exaltation des sentiments. Néanmoins, l'amour romantique est loin d'être idyllique : la violence de la passion est aussi la violence

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