Les Misérables Waterloo

difficultés de sa situation personnelle cette crise où l'empire semblait entrer. Lui, une fois encore, était par terre est−ce que cet empire, qui l'avait fait, allait comme lui culbuter, croulant tout d'un coup de la destinée la plus haute à la plus misérable ? Ah ! depuis douze ans, qu'il l'avait aimé et défendu, ce régime où il s'était senti vivre, pousser, se gorger de sève, ainsi que l'arbre dont les racines plongent dans le terreau qui lui convient. Mais, si son frère voulait l'en arracher, si on

précis (essor du banditisme) et fascine par son identité diabolique (capacité à changer d’identité, à s’échapper, à être partout, à faire le mal comme Satan). – explorer ce qui dépasse les seules dimensions sociale et historique Ex. : dans Les Misérables, Victor Hugo fait s’affronter les personnages Valjean et Javert dans une lutte qui est celle du Bien et du Mal. Le destin de Cosette enfant, qui tient du cauchemar, est écrit comme une descente aux Enfers. Les héros se définissent ainsi par leur

enferme. » De Gaulle ajouta : « La politique de la France ne se fait pas à la corbeille », et nationalisa les banques. Les deux hommes furent vaincus par l’Argent. Ils furent admirés au-delà de tout par les chefs des puissances qu’ils combattirent. Waterloo n’empêcha jamais Wellington de glorifier « le maître des batailles ». Dans l’avion qui le transportait à Paris le 11 novembre 1970, le président des États-Unis Richard Nixon confiait à quelques journalistes que de Gaulle était un des rares hommes

Voyez-le à la tête d'une à armée Champagne, à l'une des nombreuses peine égale de l'ennemi, divisions évitant, épiant, les Autrichiens, les Russes, surprenant les Prussiens, et les frappant de tous côtés à la fois, et avec tant de promptitude. à Waterloo, affrontant les Voyez-le balles et les boulets et vouennemis, lant perdre au champ d'honneur une vie qu'il ne devoir prévoyait plus être d'aucune utilité à la gloire et à la prosde la France. périté de enfin sur ce roc affreux Voyez-le comme Sainte-Hélène

leurs pieds, et leur jetait ce sarcasme : – Te voilà sur tes pattes. Puisses-tu marcher longtemps dans la vallée de larmes ! Quand il voyait un pauvre mourant de faim, il lui donnait tous les liards qu’il avait sur lui en grommelant : – Vis, misérable ! mange ! dure longtemps ! ce n’est pas moi qui abrègerai ton bagne. – Après quoi, il se frottait les mains, et disait : – Je fais aux hommes tout le mal que je peux. Les passants pouvaient, par le trou de la lucarne de l’arrière, lire au plafond

culs−de−jatte sur leurs pieds, et leur jetait ce sarcasme;Te voilà sur tes pattes. Puisses−tu marcher longtemps dans la vallée de larmes! Quand il voyait un pauvre mourant de faim, il lui donnait tous les liards qu'il avait sur lui en grommelant: Vis, misérable! mange! dure longtemps! ce n'est pas moi qui abrégerai ton bagne.Après quoi, il se frottait les mains, et disait:Je fais aux hommes tout le mal que je peux. Les passants pouvaient, par le trou de la lucarne de l'arrière, lire au plafond de la cahute

culs−de−jatte sur leurs pieds, et leur jetait ce sarcasme;Te voilà sur tes pattes. Puisses−tu marcher longtemps dans la vallée de larmes! Quand il voyait un pauvre mourant de faim, il lui donnait tous les liards qu'il avait sur lui en grommelant: Vis, misérable! mange! dure longtemps! ce n'est pas moi qui abrégerai ton bagne.Après quoi, il se frottait les mains, et disait:Je fais aux hommes tout le mal que je peux. Les passants pouvaient, par le trou de la lucarne de l'arrière, lire au plafond de la cahute

les membres des corporations d'artisans | |ou de marchands, riches parvenus, sont écartés des magistratures municipales, mais le temps comble souvent le fossé qui les | |sépare de la bourgeoisie. Enfin, la plèbe (petits artisans, souvent misérables) trouve dans la ville divers avantages: dons, | |spectacles, etc. | | 

Rangez dans le tableau auteurs et titres de romans selon leurs dates de publication. ¨ Victor Hugo ¨ Théophile Gautier ¨ Le Roman de la momie ¨ Stendhal ¨ Honoré de Balzac ¨ Les Trois Mousquetaires ¨ Le Rouge et le Noir ¨ Les Misérables ¨ Eugénie Grandet Dates de publication Auteurs Romans 1830 1833 1844 Alexandre Dumas 1858 1863 ᕩ Rangez dans le tableau les mouvements littéraires et les romans qui leur correspondent. ¨ Le naturalisme ¨ Les Lettres

force herculéenne, ses habits chamarrés, son courage et son panache (il a dû penser à lui en inventant le mousquetaire Porthos, et il lui consacra dix-neuf chapitres de « Mes Mémoires »). Il ne pardonna jamais à Napoléon (qu’il vit, à son retour de Waterloo, passer au relais de poste de Villers-Cotterêts, ce qui le marqua) d'avoir mis son père à la retraite et d'avoir refusé à sa mère la pension due à la veuve d'un héros des guerres de la Révolution. Il raconta pourquoi il avait décidé de s'appeler