Les Méfaits De La Science

le travail peut aussi être considéré comme une valeur morale et sociale. II ) 1) A l'état de nature, l'homme vit en harmonie avec la nature et ne transforme rien puisque tout est fourni par la nature. Avec le développement des techniques et des sciences, l'homme est parvenu peu à peu à maîtriser la nature. Le travail rend libre et autonome car il permet de se détacher de la tutelle domination naturelle. L'homme devient ainsi son propre maître. Grâce aux serres agricoles, l'homme peut obtenir de

Genres de texte Roman : autobiographie, journal, mémoires, conte, science-fiction... Théâtre : tragédire, comédie, drame...

Bradbury | Genre | Science-fiction | | | Version originale | Titre original | Fahrenheit 451 | Éditeur original | Ballantine Books | Langue originale | Anglais | Pays d'origine |  États-Unis | Date de parution originale | 1953 | | | Version française | Traducteur | Henri Robillot | Lieu de parution |  France | Éditeur | Denoël | Collection | Présence du futur | Date de parution | 1955 | Nombre de pages | 240 | Fahrenheit 451 est un roman de Science-fiction de Ray Bradbury

l’époque très appréciée du public, véhiculent l’image idyllique du «  bon sauvage » et leur bonheur semble incontestable : vigoureux, obéissant à la nature, généreux, libres de toute contrainte sociale ou politique, ignorants de la corruption, des sciences et des civilisations, ils respectent une morale naturelle qui leur dicte le respect d’autrui.En aucun cas, leur morale n’est subordonnée à l’idée de religion, ils croient en une volonté suprême qui dirige l’univers et la nature.

merveilleux qui caractérise les contes de fées avec des personnages surnaturels évoluant dans un univers coupé du réel et admis comme tel : la sorcière et son pouvoir malfaiteur dans Blanche neige, la baguette magique… Il est également différent de la science-fiction qui, par ses projections d’anticipation, suppose l’adhésion du lecteur à des conventions qu’il accepte comme autant de représentations homogènes dont la vraisemblance n’a pas à être discutée, puisqu’elles sont d’emblée posée comme fictives

de la foi dans la science et le progrès ⇨ Bouillonnement des idées s’impose à tous Disparition des traditions rurales, nouvelle culture populaire apparait (alphabétisation) ⇨ Les élites préservent leurs valeurs ⇨ Apparition de la « masse » I. Du culte de la science à la fin des tranquilles certitudes A. Le moment positiviste et scientiste 1. Définition et diffusion du positivisme et du scientisme ( Auguste Comte, entre 1830 et 1857 : La science est la religion de

tout potentiel criminel de s’abstenir de commettre un acte répréhensible, proscrit par le droit positif. L’exercice du pouvoir politique s’exprimait directement sur le corps, on s’expiait de ses crimes par la souffrance physique, par la honte de ses méfaits . Le jugement pénal et la condamnation émanait d’une autorité étatique - sinon non-sécularisé – et la férocité des supplices et la souffrance physique, exprimait dans son plus simple appareil face à un public conférait aux plus hautes autorités un

statut = totalitaire ! → Endoctrinement culturel (= endoctriner le citoyen avant de lui donner le droit de vote) TOCQUEVILLE : CHARLES ALEXIS CREVEL : Envoyé en Amérique pour regarder comment marche les institutions américaines et constate méfait de la démocratie. - Conséquences de la méthode du contrat - Estime que la démocratie c’est la mort de l’individu, de la liberté - Trop d’égalité n0est guère mieux que pas assez → dans ses excès ou dans ses manques la démocratie ouvre la vie au

de milieux très différents de celui auquel il appartient. Il peut ainsi échapper à la réalité du quotidien. Diderot nous expose ici le fonctionnement si idyllique d’une petite ile face aux sociétés occidentales, elles défaillantes. Les romans de science-fiction, tout en distrayant, mettent en garde contre un progrès trop rapide. Harry Potter apprend à l’enfant que la vie est faite de choix. Le plaisir peut naître de l’intérêt suscité, la littérature qui éduque, qui enrichit la connaissance, qui

un fruit…de ses courtisans"  Voltaire, Traité sur la tolérance, Chapitre XXIII, « Prière à Dieu » Nathan p52-53 " Ce n’est plus à toi… nous a donné cet instant "» Rousseau, Discours sur l'origine de l'inégalité, II, "Les méfaits de la propriété" polycopié "Le premier qui ayant enclos…de la loi naturelle" Rousseau, Du contrat social, I,6, "Chacun se donnant à tous ne se donne à personne" polycopié Documents complémentaires: