Les Mémoires Françaises De La Seconde Guerre Mondiale

une "guerre improbable" de 1947 aux années 1970. Comment évolue la guerre froide dans les années 1975-1985 (S - Am du Nord, juin 2005, docs) Le rôle des États-unis dans le monde depuis les années 1970. (L, ES, S) L’Europe, enjeu de la rivalité Est/Ouest (1947-1991), France métropolitaine, juin 2005 (composition) L’Allemagne au cœur de l’affrontement des grandes puissances (1945-1990), Nlle-Calédonie, déc 2004 (C) Extrait des Mémoires de Harry Truman (doc) Affiche de le guerre froide

protestantisme luthérien, anciennes traces du judaïsme · Vignobles, brasseries, moutarde, cumin, « bifteck », choucroute· Les origines de ces particularités sont liées à l’histoire dynamique de l’Alsace 2. LA MÉMOIRE HISTORIQUE · La cathédrale de Strasbourg : souvenir de passions religieuses et nationales au fil de l’histoire alsacienne construite par les Romains, perte d’affectation religieuse pendant l’annexion nazie, haut lieu

1) Les mémoires françaises de la Seconde Guerre mondiale et leur évolution. --> http://www.annabac.com/content/les-memoires-francaises-de-la-seconde-guerre-mondiale-et-leur-evolution-0 2) Le génocide des Juifs et des Tziganes : de la mémoire occultée aux mémoires plurielles ? --> http://www.annabac.com/content/le-genocide-des-juifs-et-des-tziganes-de-la-memoire-occultee-aux-memoires-plurielles 3) La puissance américaine dans les années 1970. --> http://www.annabac.com/content/la-p

Mémoire de la résistance . Sujet . Corrigé . Pour approfondir le sujet... Fleche sous titre EditoSujet La mémoire de la Résistance vue par le général de Gaulle Nous sommes ici, d'abord, pour commémorer le fait d'armes(1) qui, le 27 février 1942, porta pour la première fois sur le sol envahi de la France l'action d'une force alliée, combinée avec celle d'éléments de nos réseaux. [...] Dès lors, chez nos participants et avec l'aide croissante de nos alliés, c'est avec une ardeur décuplée

Le procès Papon et la mémoire de la collaboration En 1945, la France est victorieuse in extremis de la seconde guerre mondiale grâce aux combats des résistants. Apres cette sortie de la guerre difficile, le pays est meurtri et pour la majorité des français la période entre 1940 et 1945 a constitué les « années noires ». Ils sont appauvris après ces années de guerre intense, choqués par la défaite de 1940 et troublés par la politique du régime de Vichy. Les mémoires au sujet de la collaboration

2004, Penser la Grande Guerre : un essai d’historiographie, Paris, Points Seuil, 345 p. Auteurs Penser la Grande Guerre est un ouvrage rédigé par deux auteurs : Antoine Prost et Jay Winter. Antoine Prost est un historien spécialiste de la France du XXème siècle (société, mentalité et éducation). Il est né en 1933, ancien élève de l’Ecole normale supérieure, agrégé d’histoire il soutint sa thèse en 1973 sur Les anciens combattants et la société française (1973, Presses de la FNSP)

pour sujet la mémoire de la déportation des juifs pendant la seconde guerre mondiale. Le premier est prononcé par Serge Klarsfeld, et le deuxieme par Jacques Chirac. Le premier est un historien, écrivain, et spécialiste de la déportation ainsi que avocat ; le deuxieme est le Président de la République française a l’époque. Le theme commun des deux discours est les mémoires qui correspondent a la Shoa. Il est possible de déterminer une évolution des mémoires de la seconde guerre mondiale, et il est

Les mémoires de la Seconde guerre mondiale et leur évolution Au départ on est entre mémoire et oubli, le GPRF a fait de la période de Vichy une parenthèse, on oublie « les années noires », (il s’agit de restaurer l’unité nationale nécessaire à la reconstruction du pays), il y a donc refoulement d’une partie du passé pendant une vingtaine d’années (le 8 mai n’est jour férié qu’en 1953) II.1 Les mémoires officielles de l’immédiat après guerre aux années 60 Le mythe résistancialiste, d’une

Chapitre 2 Les mémoires : lecture historique Le mot « mémoire » est polysémique. C’est d’abord la faculté pour un individu de conserver et de se remémorer des connaissances (« avoir de la mémoire », « faire appel à sa mémoire »). Elle est alors forcément subjective. C’est aussi un patrimoine immatériel d’un groupe ou d’une société, dont elle assure la cohésion (« mémoire collective »). La pratique des commémorations permet d’entretenir cette mémoire, ce souvenir. Cependant les mémoires d’un même événement

quatre grands thèmes : le rapport des sociétés à leur passé ; idéologies et opinions en Europe de la fin du XIXe siècle à nos jours ; puissances et tensions dans le monde de la fin de la Première Guerre mondiale à nos jours et les échelles de gouvernement dans le monde de la fin de la Seconde Guerre mondiale à nos jours. Plusieurs questions sont proposées pour chacun de ces thèmes. Elles permettent de solliciter les acquis des années précédentes pour mieux questionner l’histoire et comprendre le temps