Les Nuits blanches

le ciel de ta crinière, Couvrant d'écume les roseaux! Tout l'amour tient dans ton poitrail: De la dame blanche d'Afrique A la Madeleine au miroir, L'idole qui combat, la grâce qui mérite. René CHAR (la parole en Archipel) La jument familière A Maurice GENEVOIX Une grande jument morte Qui galope dans mes nuits. Ce n'est pas un cauchemar Mais un soupir de l'enfance. Une grande jument blanche, Grave, douce et débonnaire, Dans un silence de tonnerre Passe entre les haies en fleurs. Mon grand-père

LE MARIAGE A ROME L'âge légal est de douze ans pour les filles, quatorze ans pour les garçons. Mais ceux-ci se marient en général vers la trentaine. A l'époque républicaine,on ne se marie pas par amour (Aulu-Gelle, Nuits Attiques) mais pour avoir des enfants (Aulu-Gelle, Nuits Attiques) et accomplir ainsi un devoir religieux (continuation du culte des ancêtres) et civique. (Lucain, Pharsale) Les Romains de cette époque condamnent toute manifestation publique de tendresse entre époux. (Plutarque

monde : Romanée-Conti, La romanée, La Tâche, La Grande Rue, Romanée-Saint-Vivant etc. Le vignoble bourguignon est composé du Macônnais, de la Côte Chalonnaise, de la Côte de Beaune et des Hautes Côtes de Beaune, des Hautes Côtes de Nuits et de la Côte de Nuits et du Chablis. • Le climat en Bourgogne Les vignobles bourguignons bénéficient d’un climat de type océanique à semi-continental. En effet, on parle de type « océanique » car il y a des pluies fréquentes en toute

au domaine abstrait. Quelles associations opposées ou surprenantes apparaissent ? Concret : cahier, pupitre, pages, images (de livres), sable, neige, désert, étang… Abstrait : échos, merveille des nuits, saisons, absence, solitude… On suggère par exemple : pages lues et pages blanches ; des nuits et des journées. 7. Quel est l’effet produit par la chute du poème ? Possibilité d’un échange oral avec la classe (prise en compte des perceptions des élèves, discussion et échanges).

[Couplet 1] A l'école ils ont coupé l'arbre, comment choisir ma branche ? A trop haïr les noirs, Le Pen fait des nuits blanches Combien de portes j'ai ouvert ? Combien de bouches j'ai fermé ? Combien de daronnes sous terre ? Combien de pères enfermés ? Tu ressens ce vide souvent quand les huissiers partent J'ai mangé des pierres mais j'ai jamais chié d'appart' La rue c'est la jungle et j'me tape la part du lion J'ai fais le tour de l'Afrique, j'ai le flow Western Union Frère j'suis pas

beauté : « bien que les champs, les fleuves et les lieux/ les monts, les bois, que j’ai laissés derrière/ me tiennent loin de ma douce guerrière/ […] Toutes les nuits, impatient de hâte/ entre mes bras je rembrasse et retâte/ son vain portrait en cent formes trompeur ». Ainsi le poète est impatient de revoir son amoureuse et passe des nuits entières à penser à elle et à son beau portrait en se rappelant de sa beauté. De même, l’idéalisation de la femme est montrée

signifier donner la vie ? « Un enfant qui voit le jour », même pendant la nuit, commence la vie et ce sera sa date de naissance. Et à chaque moment de sa vie, quand on veut calculer son âge, on dira le nombre de jours qu’il a vécus sans citer les nuits. Quand un couple s’unit, il donne la vie, il enfante. Cet enfant, commence la vie, mais aussi, il commence irrémédiablement la Mort, du fait même, que sa vie ne sera qu’un compte à rebours, vers la fin. Ne dit- on pas que le cri que le nouveau-né

OPHELIE I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux ; Les saules

[pic] Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... -- On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir; Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir. Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux; Les saules frissonnants

Ophélie I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles… - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir; Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir. Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux; Les saules