Les Personnages Dans Une Si Longue Lettre

I- Paroles Monsieur le Président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir Monsieur le Président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher Il faut que je vous dise Ma décision est prise Je m'en vais déserter Depuis que je suis né J'ai vu mourir mon père J'ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants

Italien appellé la Comedia dell'Arte met en evidence la necessité du canevas, c'est à dire le condensé de texte autour duquel la pièce est improvisée. C'est pourquoi la lecture est naturellement associée à l'écriture et de ce fait, on peut se demander si le théâtre est fait pour être lu ou représenté. Tout d'abord nous étudirons que d'après les orgines de ce genre, il tend à la representation, en suite, nous verrons en quoi la lecture peut s'averer indispensable. Depuis toujours la representation

encore à Robinson Crusoé, que seuls quelques spécialistes ont lu dans leur intégralité. • 1. L’École des loisirs, « Classiques abrégés », 1999. L’ É c o l e d e s l e t t r e s d e s c o l l è g e s 2 0 0 2 - 2 0 0 3 , n ° 1 ©L ’École des lettres. www.ecoledeslettres.fr. Reproduction et diffusion interdites 51 LES OBJECTIFS La séquence s’articulera autour de deux objectifs : – accompagner la lecture ; – faciliter l’analyse des caractéristiques d’un genre et de sa spécificité. Il s’agit

Le Personnage de BENVOLIO dans le ‘Roméo et Juliette de SHAKESPEARE : Personnage du clan des Montaigu : neveu des Montaigu (comme Tybalt l’est des Capulet) , ami et comparse de Roméo et de Mercutio en compagnie desquels on le voit sans cesse Personnage mineur (c’est le plus terne et ‘fade’ des jeunes gens des deux clans (si l’on excepte Pâris) PRESENCE SCENIQUE Personnage dont la présence scénique est (comme celle de Mercutio) limitée aux 2 premiers actes et à la scène initiale du 3ème

l'auteur : Moliere est sans doute la plus grande figure du theatre francais du XVIIe S : Comedien, ecrivain, directeur de troupe, il commence par des tragedies sans grand succés puis se tourne resolumment vers la comedie a laquel il vas donné ses lettres de noblesse. Elements sur l'oeuvre : L'ecole des femmes fait partie de ce qu'on a appelé les comedies serieuse qui denonce des vises ou de mœurs contanable. Sujet : Arnolphe a pris sous sa protection une jeune fille qui la «  eduqué » en la

passer inaperçues au bon lecteur qui tantôt apprécie sa connivence avec l’auteur, tantôt vit un désaccord ou une disharmonie qui, dans le pire des cas, le poussent à rejeter le texte. « La lecture, note Chapsal (1993), est un acte d'identification: si nous comprenons ce que nous lisons, c'est que les sentiments exprimés, les pensées, les valeurs sont déjà en nous [au moins potentiellement]. Autrement, le livre nous tombe des mains ». • Entre ces deux extrêmes se déploient de nombreux niveaux de

même époque de sa rédaction c'est à dire au début du 18e siècle. Les dates exactes ne nous sont pas communiquées dans le récit cependant, on peut établir l'histoire sur environ un petit trimestre pour l'action principale et l'étendre à un ans et demi si l'on considère le tout début du stratagème de M. de Franlo jusqu'à la mort de Goé. 9- Les passages qui m'ont personnellement marqués sont sans le moindre doute ceux ou le perfide M. de Franlo exprime sa philosophie ou sa notion de “prendre soin”

dmission. En 1904, aprs son service militaire quil effectua Chartres, jeune rvolt qui avait soif de libert et daventures, il partit Londres. Il crivit son pre Mon cher papa, tu me souhaites dans ta lettre un tas dhorribles vnements comme de changer de caractre, ou de mrir ou de me transformer moralement. Si le progrs moral que tu me souhaites et dont tu crois avoir remarqu les dbuts, illusion, tas donn la douce esprance de voir clore en moi le jeune homme rang, pondr et tranquille propre devenir avec

Lecture analytique n°1 : « Le paresseux de Saint-Amans » Introduction : « Le paresseux » est un poème écrit en 1631 par Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amans. L’auteur est un personnage aux multiples facettes. C’est un écrivain original, fantasque, longtemps critiqué par Boileau, notamment dans son « Art poétique ». Il est par ailleurs celui qui a lancé le style burlesque. Le titre du poème nous indique déjà un éloge paradoxal du poète en paresseux. Saint-Amans, en écrivant ce sonnet français

Arsinoé arrive à convaincre Alceste de la suivre pour lui donner une preuve (lettre) de l’infidélité de Célimène. Acte IV : Quand Alceste confronte Célimène avec la lettre, Célimène renverse la situation, en disant que la lettre était adressée à une femme, et reproche Alceste d’être un jaloux excessif, qui ne mérite pas son amour. Acte V : Célimène semble incapable de choisir entre ses prétendants, et quand il apparaît une lettre dans laquelle elle se moque de ses amants, tout le monde se détourne d’elle