Les Phéaciens Une Civilisation Idéale

Formule assertive; ton affirmatif de ces valeurs anti-racistes. Fin du texte ressemble à un texte de loi. Le pronom indéfini « on » renvoie à l’ensemble des humains : il a une valeur de généralité. Important car l’auteur montre qu’il défend un idéal qui concerne tous les humains et pas seulement son cas personnel : fraternité est dans l’énonciation. 2 A qui ? Destinataire : sa propre fille d’après le paratexte. Tutoiement marque la proximité avec l’interlocuteur « toi » tu » « regarde » impératif

poème, en errant de ville en ville. Homère est donc un aède, son activité consiste à chanter des poèmes épiques en s’accompagnant de la cithare ou de la lyre ; il compose et récite les vers directement devant son auditoire. Démodocos (chez les Phéaciens) et Phémios (à Ithaque) sont les deux aèdes principaux chez Homère : ils chantent des épisodes déjà connus mais ajoutent parfois une marque personnelle. B / des traits caractéristiques Malgré le peu de réponse concrète qu’on peu avoir

moyen de conserver dans l'homme les qualités de l'homme primitif. Il assure le passage de l'ère de pierre écoulée à l'ère de pierre future, de la préhistoire à la posthistoire. Il se pourra, grâce à lui, qu'il n'y ait aucune trace des méfaits de la civilisation. Car le sport consiste à déléguer au corps quelques-unes des vertus les plus fortes de l'âme : l'énergie, l'audace, la patience. » Cette définition, proposée par un écrivain qui savait ce que l'effort physique signifiait, va nous aider à jalonner

μυθολογία, de μῦθος mythe et λόγος discours) un ensemble de mythes liés à une civilisation, une religion ou un thème particulier. Les chercheurs qui étudient la mythologie, quel qu’elle soit, sont appelés « mythologues ». Comprise comme l'étude des mythes, la mythologie remonte à l'Antiquité. Les grecs, les romains, égyptiens... ont tous des dieux et déesses qui ont des rôles dans leur mythologie. Toutes les civilisations on des histoires mythiques. Ces mythes, étaient transmis de génération en génération

de travail et des rayons odorants sort un parfum de thym. » Enéide, I, 420-440 On remarquera que l’utopie de la Schérie fait place ici à la cité idéale selon Auguste et que les travaux décrits renvoient plutôt aux grands efforts d’embellissements de Rome qu’il avait entrepris. Mais il s’agit bien, comme dans l’Odyssée, d’un retour à la civilisation, dans une ville active et ordonnée, même si celle-ci est dans l’Enéide, une ville en construction. Les compagnons d’Enée abordent aussi aux rivages

premiers sont les achéens ) se sont mêlés aux autochtones  contribuent à modeler la civilisation du BRONZE de la période ( 1400 1200 avt JC) = civilisation mycénienne car principaux centres dans le Péloponnèse à Mycènes, Pylos, Argos… forme primitive de grec parlé, écriture syllabique ( linéaire B )  liens établis avec la civilisation établie depuis 2500 en grèce.  cette civilisation prend brusquement fin avec l’arrivé des Doriens qui maîtrisent le fer => avantage au combat

jugent peu prudent de laisser le peuple gouverner, en raison principalement de son ignorance de la chose politique. Xénophon, dans la République des Lacédémoniens incline à l’aristocratie, quand Platon, dans le Politique, souhaite un gouvernement idéal confié aux sages, la sophocratie. Toutefois, l’un comme l’autre condamnent fermement la tyrannie, et son exercice solitaire du pouvoir dans l’oubli total du peuple. ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

Egyptiens et les Hébreux de la Bible. Ces 3 civilisations ignorent le politique et les Grecs ont inventé la politique. Les Hébreux ont inventé la théologie, les Egyptiens également, les Romains ont inventé le Droit, les Sumériens ont inventé l’astronomie et la géométrie. La civilisation mésopotamienne (entre les 2 fleuves) a connu l’écriture cunéiforme (stylet sur argile) et parle l’akkadien (description du déluge dans le poème d’Atrahasis). Cette civilisation ne nous a pas influencé et a disparu. Au

(1854) Avant-Propos de la deuxième édition LIVRE PREMIER : Considérations préliminaires; définitions, recherche et exposition des lois naturelles qui régissent le monde social. Chapitre I. La condition mortelle des civilisations et des sociétés résulte d'une cause générale et commune Chapitre II. Le fanatisme, le luxe, les mauvaises mœurs et l'irréligion n'amènent pas nécessairement la chute des sociétés Chapitre III. Le mérite relatif des gouvernements

construisent la société, mais comme ils sont totalement antagonistes, il faut qu'intervienne un troisième instinct, exerçant un rôle médiateur. Ce sera l'instinct de jeu qui se donne la beauté et la liberté comme objectifs ultimes. « Dans une civilisation vraiment humaine, l'existence humaine sera jeu plutôt que labeur, et l'homme vivra dans l'apparence plutôt que dans le besoin. » 3 Cette conception renverse radicalement l'édifice classique du primat de la Raison (Aufklärung) et établit celui