Les Places Et Les Chances François Dubet

l’entretient de terrain, Nicole Berthier les techniques d’enquête en sciences sociales, méthodes et exercices corrigés, Alain blanchet et Anne Gotman l’enquête et ces méthodes, Olivier Martin l’enquête et ses méthodes l’analyse de données questionnaire, François de Singly l’enquête et ses méthodes le questionnaire. Bibliographie de l’identité : Claude Dubar : al crise des identités et l’interprétation d’une mutation, Catherine Halpern : éditions sciences humaines, Jean Claude Kaufmann : l’invention de

capital culturel, paradoxe d’Anderson Notions complémentaires : Position sociale / origine sociale, mobilité verticale / horizontale, mobilité ascendante / descendante, mobilité structurelle / mobilité nette, destinée / recrutement, égalité des chances, méritocratie, reproduction sociale, réussites paradoxales Sauf indication contraire, les documents utilisés sont tirés du manuel Magnard Plan : I/ Qu'est-ce que la mobilité sociale et comment la mesurer ? A/ Définitions B/ La mesure de la mobilité

partir des années 1950-1960. Il s'agissait principalement d'un mouvement non-violent qui réclamait l'égalité des droits civiques. Cela commence en 1955 avec le boycott des bus de Montgomery, en Alabama (ou les Noirs demandaient à avoir accès aux même places assises que les blancs), et cela se termine en 1964 avec la loi qui interdit toute forme de discrimination dans les lieux publics et en 1965 avec la loi sur le droit de vote qui supprime les examens et autres impôts pour devenir électeur aux États-Unis

beaucoup de choses, certes les IUFM sont pleins de défauts mais au moins ils postulent « qu’on peut au moins s’entraîner un peu » car auparavant, il fallait trouver « le mouvement en marchant », c'est-à-dire en apprenant directement sur le terrain. François VERMOREL, ancien élève en IUFM, précise que l’école pour tous passe par « un nivellement par le bas […] surtout par le développement d’une sorte de métalangage totalement absurde qui sert globalement à masquer un vide conceptuel complet » : ainsi

sociologique de l’expérience, François Dubet définie l’expérience comme une combinaison de logiques d’action qui lient l’acteur à chacune des dimensions du système. L’acteur est tenu d’articuler les logiques d’action différentes et c’est la dynamique engendrée par cette activité qui constitue la subjectivité de l’acteur et sa réflexibilité. Ainsi, la sociologie de l’expérience prend inévitablement en compte les significations des acteurs. L’expérience sociale, selon François Dubet à trois principales caractéristiques

de répondre à cette école qui le dévalorise par ce que François Dubet nomme « la désertion [8] ». Dans cette logique, le jeune refuserait, par ce comportement, d'être vu comme un vaincu, autre terme usité par cet auteur pour qui : Il est possible de distinguer les vainqueurs et les vaincus de ce système (scolaire). Cette distinction s'impose d'autant plus que la massification scolaire et la promotion théorique de l'égalité des chances « obligent » tous les élèves à entrer dans cette compétition

intergénérationnelle est moyenne mais est quand même relativement élevé cela veut dire que les enfants reproduisent très souvent la situation de leur origine sociale Plus il y a des inégalités dans un pays et plus elles sont forte et plus il y a des chances qu’il y est des inégalité intergénérationnelle. → plus l’élasticité est importante. Exemple du Pérou ou l’élasticité intergénérationnelle est forte. Les inégalités se reproduisent très fortement de générations en

les aliène. On retrouve la pensée de Marx, c’est les places dans les processus de production qui détermine l’idéologie des gens. On ne va pas se situer dans la société de la même façon. Une rupture fondamentale entre les capitalistes (patron, investisseur) dominant et les prolétaires (ouvriers) dominés. Ce sont les places dans les processus de classe qui détermine l’idéologie des personnes. On retrouve la pensée de Marx, c’est les places dans les processus de production qui détermine l’idéologie

marché de l’emploi est très exigeant ou hyper compétitif (Robertson et Collerette, 2005 ; Cook, 2008). Si le marché fait, en effet, si tant d’exigences aux diplômés (es), que dire alors de ces jeunes faiblement qualifiés? Ils sont susceptibles de se placer en marge de la société. Est-ce que la façon dont l’école s’organise n’en est pas responsable? Le décrochage scolaire arrive quand il y a l’absence d’interaction ou d’incompatibilité entre le jeune et l’institution scolaire fréquentée. C'est-à-dire

à leur place. En partant du principe que ce qui fait la matière première du social, c'est l'action des individus et on ne peut comprendre ces actions qu'en accédant au sens que les personnes donnent elles-mêmes à l'action. L'observateur doit se placer du point de vue de l'acteur pour comprendre le sens subjectif qu'il donne à l'action. On parle de trois principes au niveau de cette sociologie: * comprendre les motivations des acteurs individuels * situer ces acteurs par rapport aux relations