Les Plaisirs et les Jours

sujet, qui portera sur les rapports entre le bonheur et la liberté, nous parlerons de divers aspects de ces deux derniers. Pour être heureux, il faut avoir la possibilité de rechercher le plaisir, c'est-à-dire de pouvoir vivre des instants de joies ou de bonheur. C'est pourquoi la recherche de plaisirs implique le droit d'agir; par exemple pratiquer un sport, jouer, aimer, ou même chez certains travailler. De plus comme l'affirme le philosophe Alain : C'est dans l'action libre qu'on est heureux

manque. C’est également l’expression d’une attirance beaucoup plus personnels que le besoin, il est lié à la pensée et est nourrit par l’imagination. Le désir est tantôt considéré positivement puisque l'on considère l'objet désiré comme source de plaisir ou de contentement, voire de bonheur, tantôt considéré négativement comme une source de souffrance, une forme d'insatisfaction. Il parait raisonnable qu’il faut libérer les désirs car ceux-ci peuvent être un obstacle au bonheur. Mais il faut savoir

généreuses». Il y a ainsi une confusion de l’idée et de sa valeur sentimentale. Les romantiques confondent l’ordre de la raison et celui du cœur. Ils imposent à l’idée qu’elle soit généreuse au lieu de chercher la justesse. Pour MURAY, le plaisir est une violence, un combat. L’acte obscur n’est pas généreux pour lui. 2) Méthode. Beaucoup d’erreurs dans le décompte. Il faut chiader la copie, faire en sorte qu’elle soit parfaite

le dialogue ou même par écrit. On les appelle de nos jours les philosophes; se sont des personnes cherchant à expliquer, entre autres, les fondements d’une science, la conception générale et même les liens entre certains sentiments, par exemple. Épicure et les stoïciens ont concentré leurs réflexions sur

L’Ecume des Jours Boris Vian Eléments biographiques : Boris Vian est né le 10 mars 1920 à Ville-d’Avray, près de Paris. Après avoir fait des études au lycée Condorcet et intégré l’école Centrale, il devient ingénieur. Mais atteint d’une maladie incurable du cœur, il multiplie ses activités et se tourne vers diverses expressions artistiques. Ce fut un trompettiste de talent et un passionné de jazz. Il écrivit notamment pour la revue Jazz Hot. Mais il collabora également dans la revue de Jean-Paul

veulent un plaisir ; mais celles-ci le plaisir des yeux, celles-là le plaisir du cœur ; les derniers le plaisir de l’esprit. » Expliquer ces propos en prenant vos exemples dans le drame de Ruy Blas. La préface d’un ouvrage est un texte placé au début du livre dans le but de présenter l’ouvrage. Ici, Victor Hugo présente dans la préface de Ruy Blas 3 genres de spectateurs distincts : la foule avec le plaisir des yeux, les femmes avec le plaisir du cœur et enfin les penseurs avec le plaisir de l’esprit

en lisant les classiques et les modernes. Il fonde avec ses amis une revue, Le Banquet, et il écrit articles d'art et littératures. Il dévient très introduit dans la mondanité de Paris et Venise; en 1896 Proust publie son premier livre, Les Plaisirs et les jours, qui tombe dans la plus parfaite indifférence. Après cet échec il commence a écrire un livre qui mélange les souvenirs d'enfance avec les observations sur la vie mondaine, Jean Santueil. Même s'il ne le terminera pas, il sera le prélude d'un

fondé sur l'imitation des anciens et des poètes de la Renaissance italienne avec des sonnets inspirés de Pétrarque. Ses poèmes ont souvent pour thème, le thème lyrique du temps qui passe. La fuite du temps invite à profiter de la jeunesse et des plaisir amoureux. En quoi ce poème est il représentatif de l’évolution des principes de la Pléiade? La place de l’héritage antique 1.La culture antique occupe une place fondamentale dans le poème. Le sonnet s’ouvre sur l’œuvre d’Homère, dont les références

La Parure, on trouve, au début de la nouvelle, une référence bien précise à une soupe des légumes, le plat préféré de Charles Loisel, le ''fameux'' pot-au-feu. Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: “Ah! le bon pot-au-feu! Je ne sais rien de meilleur que cela...” elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages

tiraillés entre autonomie et besoin de lien, entre devoir et plaisir, entre liberté et traditions. Les situations exposées, si diverses soient-elles, révèlent bien les transformations qui ont affecté le déroulement des repas dans la société contemporaine et notamment leur rôle fédérateur (réel ou supposé) dans la famille. Si subsiste toujours le vieux rêve d’une famille rieuse et unie, égrenant les aménités au-dessus de la nappe aux couleurs des jours heureux, que se passe-t-il en réalité dans l’univers