Les Quatre Cents Coups

et rencontre le critique de cinéma André Bazin. Encouragé par celui-ci, il ouvre un ciné-club en 1948. En 1957 François Truffaut se lance dans la réalisation et fonde une société de production, Les Films du Carrosse. En 1959, il tourne Les Quatre Cents Coups, où il transpose plus ou moins des épisodes de sa vie, le film devient un succès, ouvrant la porte au mouvement de la Nouvelle Vague ainsi qu’à sa carrière mondiale. Par la suite il tourne plusieurs autres films mettent en scène le personnage

Jean-Pierre Cargol, François Truffaut, Jean DastéDurée : 01h30minAnnée de production : 1969Catégorie(s) : Drame Résumé du film: En l’été 1798, des paysans capturent, dans une forêt de l’Aveyron, un enfant sourd et muet, hirsute et nu, marchant à quatre pattes, et qui se nourrit de glands et de racines. Cet « enfant sauvage » est emmené à Paris, à l'institut des sourds-muets où il devient un objet de curiosité pour les visiteurs. Le professeur Pinel, le considérant comme un idiot irrécupérable veut

débuts dans le métier en tant que critique de cinéma à Travail et Culture. Il commence à écrire des articles en 1950 et en publie pour les Cahiers du cinéma dès 1953. Peu après, il réalise son premier court-métrage, Les mistons en 1957, Les Quatre Cents Coups en 1958. Il joue aussi dans plusieurs films comme Rencontres du troisième type de Steven Spielberg, la Chambre verte, L'enfant sauvage et La Nuit américaine. François Truffaut s'est illustré comme l'un des chantres de la Nouvelle Vague avec

tant que critique de cinéma au magazine Travail et Culture. Il commence à écrire des articles en 1950 et en publie pour les Cahiers du cinéma dès 1953. Peu après, il réalise son premier court-métrage, « Les mistons » en 1957 puis le film « Les Quatre Cents Coups » en 1958 qui s’inspire de son adolescence. Il joue aussi dans plusieurs films comme « Rencontres du troisième type » de Steven Spielberg. François Truffaut est l’un des créateurs de la Nouvelle Vague* avec Eric Rohmer, Claude Chabrol ou encore

d'ailleurs André Bazin comme son père spirituel. Le cinéma devient vite aussi important que la lecture, « une évasion encore plus forte » disait-il. Dès son plus jeune âge, il a fréquenté les salles de cinéma, parfois même en cachette. Les Quatre Cents Coups donne une certaine idée sur son enfance. Il deviendra très vite cinéphile. Il fondera lui-même un ciné-club dans des conditions pittoresques, il y rencontrera André Bazin, qui le sortira de sa « petite délinquance » en le sortant d’une prison

Histoire des arts Arts, ruptures et continuités Arts du visuel Les Quatre Cents Coups, François Truffaut (1959) 1) Le contexte C’est l’époque de la Guerre d’Algérie, de la crise du logement (dont le film se fait l’écho), du retour du général de Gaulle au pouvoir (on aperçoit dans les rues des affiches des élections législatives de l’automne 58). C’est aussi le début d’un climat de contestation, en particulier dans le domaine artistique. Au cinéma, c’est la Nouvelle Vague. Ce film est

minute par minute, de Meursault. Il y a donc une identification sutil entre l’histoire et la lecteur. En lisant l’étranger nous devenons tous un peu Meursault. 1. Relevez les lieux où se déroule le film et décrivez-les. Le film « Les Quatre Cent Coups » se déroule à Paris après la deuxième guerre mondiale. Pendant cette époque, Paris est une ville négligée qui a été profondément affectée par la guerre. En général cette époque est marquée par le manque de nourriture, de produits de tout genre

de l’époque, que les scènes sont très proches du réel avec quelques improvisations et que le film se déroule en décors réels, que nous pouvons dire qu’Adieu Philippines est un film caractéristique de la nouvelle vague, au même titre que les Quatre cents coups de François Truffaut ou A bout de souffle de Jean-Luc Godard.

revendique l’expression d’un univers personnel, le réalisateur utilise ce qu’il connaît : ce qui se reflète à travers des intrigues minces avec des personnages communs. Beaucoup de films auront ainsi une forte dimension autobiographique tel que : Les 400 coups  dans lequel Truffaut s’inspire de son enfance. Ce voyage dans la vie de celui qui dirige va amener des déconstructions spatiales ( ellipse ou brouillage temporel ) et de longs plans avec de longues conversations. La parole est de plus en plus envahissante

etes tous témoins, le cinéma français crève sous les fausses légendes » → article de Jean Luc Godard, Arts, 1959 : « les 400 coups » 1959 de Truffaut « Cléo de 5 à 7 » 1962 de A. Varda (photographe / réalisatrice) « Charlotte et Véronique »-tous les garçons s'appellent Patrick 1956 JL Godard « Le signe de Lion » 1960 d'Eric Rohmer « Les 400 coups » 1959 – film autobiographique de Truffaut → Jean Pierre Léaud – personnage principal Truffaut en a fait une saga : Antoine