Les Raboteurs De Parquet

représente presque grandeur nature toutes les personnes rassemblées à l’occasion de cet enterrement. Par la suite, d’autres tableaux donneront à voir de petits métiers jusqu’alors laissés dans l’ombre, comme Les Repasseuses de Degas, ou Les Raboteurs de parquet de Caillebotte. D. Le roman moderne, du XXe siècle à nos jours 1. Une œuvre de transition : À la recherche du temps perdu, de Marcel Proust Au tournant du XXe siècle, le roman s’achemine vers la modernité avec l’œuvre magistrale de Marcel

représente presque grandeur nature toutes les personnes rassemblées à l’occasion de cet enterrement. Par la suite, d’autres tableaux donneront à voir de petits métiers jusqu’alors laissés dans l’ombre, comme Les Repasseuses de Degas, ou Les Raboteurs de parquet de Caillebotte. 11 D. Le roman moderne, du XXe siècle à nos jours 1. Une œuvre de transition : À la recherche du temps perdu, de Marcel Proust Au tournant du XXe siècle, le roman s’achemine vers la modernité avec l’œuvre magistrale

trajectoire ratée d'un jeune homme monté à Paris. Le même phénomène se produit dans la peinture avec Courbet Un Enterrement à Ornans où se rassemblent tous les habitants d'un village notables comme paysans. Ou les Repasseuses de Degas, les Raboteurs de parquet de Caillebotte. En mettant en scène des hommes ordinaires comparables aux lecteurs, le roman réaliste favorise l'identification du lecteur au personnage. Illusion référentielle lui fait oublier qu'il s'agit d'une fiction et il adhère totalement

car elle est un espace créateur de fantasmes et elle continue de nourrir l'art (poémes en prose, en vers libre, calligrammes, peinture, cinéma) ne - Caillebotte, Les poétique. A ces spectacles nouveaux correspondent des formes : ee : ; : Raboteurs de Parquet, (1875). neuves : la poésie intégre des sujets urbains (vocabulaire de la Millet. L'Ancél modemité) et sa forme se modernise avec l'invention du pocme ie illet, L Angelus, en prose ou du rythme impair de Verlaine. (1857). - XXéme siécle: |

réalité du monde industriel. Zola célèbre Manet et les audaces de l’impressionnisme dans sa représentation du monde moderne, notamment la ville, aussi bien à travers ses gares et ses ponts (Monet) que ses buveurs d’absinthe (Degas), ses raboteurs de parquet (Caillebotte) ou les ouvrières d’une filature de lin (Max Liebermann). Curieux impitoyable qui voudrait démonter la machine humaine rouage par rouage, Zola adosse la littérature à la science, remplissant ses carnets de notes, à l’image d’un

centaines de morts. MOTS CLEFS : OUVRIER-REVOLTE- ETAT-ASSOCIATIONS. Caillebotte Les Raboteurs de parquet (1874) Ici, le travail n’est plus vu comme une valeur positive : Caillebotte montre ici les hommes au travail et la réalité du travail soit sa pénibilité et sa difficulté. L’ouvrier devient tend donc sujet de peinture. Caillebotte tend à montrer le vrai et non pas le Beau : modernité. Les deux raboteurs sont accroupis, à noter une animalisation du corps, ils sont torses nus. Ils travaillent

Claude Monet : Femmes au jardin, 1866 • Claude Monet : Grosse mer à Etretat, 1868 • Claude Monet : Les Coquelicots, 1873 • Claude Monet : La rue Montorgueil, 1878 • Auguste Renoir : Torse, effet de soleil, 1875 • Gustave Caillebotte : Les Raboteurs de parquet, 1875 • Edgar Degas : Les Repasseuses, 1884 • Paul Cézanne : Baigneurs, 1890-92 • Maurice Denis : Taches de soleil sur la terrasse, 1895 • Jules Bastien-Lepage : Les Foins, 1877 • Léon Bonnat : Madame Pasca, 1874 • Alfred Stevens :

 la construction est nécessaire : il appartient à l’auteur de montrer au lecteur la logique du  monde. Ainsi s’éclaire l’apparente contradiction entre  les termes associés de « réalistes » et d’« illusionnistes ». L’œuvre de Gustave Caillebotte, Les Raboteurs de parquet, fait l’objet d’une analyse animée, utilisable pour l’Histoire des arts, dans la version numérique du manuel. développées  dans  le  dossier  «  Histoire  des  arts  »  (p. 32-33 du manuel).  Avant la lecture… Cette activité a pour inté

devait y avoir des crevettes partout, il finissait par se trouver considérablement en arrière. La mer baissait toujours, se reculait à plus d’un kilomètre des côtes. Le fond de galets et de roches se vidait, étalant à perte de vue un désert mouillé, raboteux, d’une grandeur triste, pareil à un large pays plat qu’un orage aurait dévasté. On ne voyait, au loin, que la ligne verte de la mer, s’abaissant encore, comme si la terre l’avait bue ; tandis que des rochers noirs, en longues bandes étroites, surgissaient

docts Lettre à Anthony Vallabrègue 18 Août 1864 : La théorie de l’écran ; définie l’œuvre d’art CO «un coin de nature vu à travers un tempérament », Z refuse l’idée d’une plate reproduction du réel : le tableau de Caillebotte les raboteurs de parquet Zola n’aime pas cette «peinture anti artistique () bourgeoise à force d’exactitude () la photographie de la réalité lorsqu’elle n’est pas rehaussée par l’emprunte originale du talent artistique est une chose pitoyable. »