Les Risques Des Opcvm

secteur bancaire a-t’il été restructuré ? Les facteurs d’évolution : Les comportements des agents économiques : • La croissance économique et l’amélioration du pouvoir d’achat incite les ménages à placer leur épargne vers des placements plus risqués, et à plus long terme. • L’Etat finance son déficit budgétaire par l’émission de titres (bons du trésor) ou emprunts publics (sur les marchés financiers) qui sont souscrits par des agents à capacité de financement et qui permettent un financement

investissements directs mais aussi indirects par les OPCVM. Les épargnants sont les particuliers mais ne sont pas seuls ; il y a quatre autres intervenants : - les banques - les entreprises, les associations pour rémunérer leurs excédents - les ZINZINS (compagnie d’assurance, caisse de retraite, CDC) - les entreprises étrangères. Les supports financiers sont de manière directe les actions et obligations ; de manière indirecte des OPCVM (SICAV, FCP). C) Les organismes de tutelle et de contrôle

comptables sectorielles en cours d'élaboration et de finalisation au niveau des commissions techniques spécialisées et des groupes de travail concernés. Il s'agit du projet de règles comptables applicables aux organismes de placement en capital-risque, de la révision du Code général de la normalisation comptable (CGNC) et l'élaboration du projet d'amendement de la loi 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants et du projet de loi sur la consolidation des comptes. Il a également

La transformation par une banque d'une créance en monnaie. *Création de monnaie  : Augmentation de la quantité de monnaie en circulation (financement monétaires), il y a un risque c'est que la monnaie perd sa valeur. Un pays ne doit pas créer plus de monnaie que de richesse. (exemple  :Allemagne d'après guerre) → Risque inflationniste La monnaie scripturale est crée par les banques de second rang ou commerciales. Elle crée de la monnaie seulement si le financement est monétaires. *Destruction

ratio Cooke par référence au président du Comité au moment de la mise en place des recommandations, fut mis en place dans la plupart des pays de l'OCDE en 1992. Il fut aménagé au milieu des années 1990 afin d'y intégrer la gestion des risques hors-bilan, tel que les risques liés aux dérivés, mais il devint rapidement évident qu'une refonte de l'Accord était nécessaire, ce que le Comité a réalisé avec Bâle II qui est en cours d'implémentation en 2006. Historique et approche Le Comité de Bâle a été

|Les OPCVM à dominante obligataires | |+ Comptes à terme | |P3 | |+ Avoirs en devises | |Les actions | |+ Certificats de dépôts | |Les OPCVM à dominante actions

2011-2012 Question n° 1 : QRU Comment s’appelle le risque qu’encourt un investisseur de ne pas trouver de contrepartie lors de l’achat ou de la vente de titres financiers ? a Le risque de crédit. b Le risque de volatilité. c Le risque de liquidité. d Le risque de change. e ARNC. Question n° 2 : QRM3 Parmi les pouvoirs suivants, quels sont ceux dévolus à l’Autorité des marchés financiers (AMF) ? a Prononcer des sanctions administratives. b Organiser le fonctionnement des bourses

des droits d’attribution et de souscription 6 Évaluons nos acquis 13 GÉNÉRALITÉS SUR LES MARCHÉS DE CAPITAUX 1 Le marché monétaire 2 Le marché financier 3 Le marché hypothécaire 4 Évaluons nos acquis 12 485 Annexes A2 LES RISQUES DU MÉTIER DE BANQUIER 489 1 La responsabilité du banquier 2 Le secret bancaire en France 3 Le blanchiment des capitaux 4 Évaluons nos acquis A1 489 491 497 504 LA MONNAIE 507 1 Fonctions, fondement, formes 2 La masse monétaire

Le marché financier Il se compose de deux parties : * Le marché primaire : sur ce marché sont émis par des titres par les entreprises (actions, obligations) et par l’Etat (OAT) souscrits par les ménages, les investisseurs institutionnels (OPCVM et assurances), les banques et autres entreprises. Ces souscripteurs peuvent retrouver la liquidité de ces valeurs mobilières sur le marché secondaire. * Le marché secondaire : la bourse. 3) Le marché interbancaire Ce marché est réservé

préfèrent gardé l’or (+ de valeur) Monnaie scripturale : Au départ, les banques recevaient des dépôts avec échéances et accordaient des crédits à partir de ces dépôts pour généralement la même échéance. Dans cette pratique, il n’y avait ni risque d’illiquidité ni création de monnaie (les disponibilités des uns étaient prêtées aux autres). Par la suite on a assisté à l’apparition des banques de dépôts qui reçoivent essentiellement les dépôts à vue (dépôts que l’on peut retirer à tout moment)