Les Réveries Du Promeneur Solitaire 9ème Promenade

sentait obliger de rédiger pour son entourage, il entreprend Les Rêveries du Promeneur solitaire qu’il écrit pour lui personnellement. Malgré qu’il ne réussisse pas à terminer cet ultime ouvrage à cause de sa mort, il parvient à surprendre ses lecteurs car il utilise l’introspection pour pouvoir parler de soi comme bon lui semble ce qui ne se faisait pas durant son époque. Grâce à lui, l’individualisme naît petit à petit. Dans ses rêveries, il dénonce à de nombreuses reprises l’injustice des hommes

des Confessions (1766-1769), publiées à titre posthume entre 1782 et 1789. En 1772, l’auteur publie un nouvel ouvrage : Rousseau, juge de jean Jacques, Dialogues où il critique l’Emile. Entre 1776 et 1778,  il rédige Les Rêveries du promeneur solitaire où dans la 9ème promenade il revient sur l’abandon de ses enfants et les problèmes d’éducation. Il ne pourra achever cet ouvrage car il meurt le 2 Juillet 1778 à Ermenonville. Emile ou de l’éducation est un traité de 594 pages publié en 1762

siècle, je m’en garderais bien. Je ferai pourtant une distinction. Il n’est pas orgueilleux, c’est son défaut ; mais vain, c’est une qualité qui va chez lui jusqu’à l’excès. Cette division est capitale : car l’orgueil est un vice froid, un crime solitaire, sans cœur, formé de haine et de mépris, primitif, sauvage, insociable ; c’est l’égoïsme de l’intelligence et l’idolâtrie de l’égoïsme. La vanité, au contraire, est un vice aimable, rayonnant, un crime à deux, à mille, plein de cœur, avide de flatteries

chose bizarre, saint Augustin. Il affirmait avoir « un système ». Du reste fort escroc. Un filousophe 56. Cette nuance existe. On se souvient qu’il prétendait avoir servi ; il contait avec quelque luxe qu’à Waterloo, étant sergent dans un 6ème ou un 9ème léger quelconque, il avait, seul contre un escadron de hussards de la Mort, couvert de son corps et sauvé à travers la mitraille « un général dangereusement blessé ». De là, venait, pour son mur, sa flamboyante enseigne, et, pour son auberge, dans

philosophie se ramène à 4 questions : -que puis-je savoir ? -que dois-je faire ? -que m’est-il permis d’espérer ? -qu’est-ce que l’homme ? b)Faire la vérité : Veritem facere. Saint Augustin : « Les Confessions » : 16 livres et du 1er au 9ème livre, il se tourne vers son passé et il se remémore ces péchés. Dans le livre 10, il se porte sur le présent : il se joue l’expression : « faire la vérité sur sois même ». Deux citations du livre 10 ; « que je vous connaisse oh mon dieu, que je vous