Les Sens Sont Ils Trompeurs

Introduction à l’observation Pour observer, il faut prendre conscience de la place que l’on occupe. On voit toujours les choses sous un certain « angle ». Importance de relativiser ce qui nous vient de nos sens. Sens limités, trompeurs. L’observation dépend de comment nos sens sont mis en alerte pour recevoir le monde. Observer c’est déjà faire un choix sur ce que j’observe , mettre hors champs ce que je ne juge pas important. Parfois on observe au travers de l’absence (on remarque quelque chose

c’est le renard qui joue le rôle du trompeur. Il laisse le bouc au fond d’un puits, il vole le fromage au corbeau. Tous ces actes sont commis en toute impunité. Le lion use de sa force pour que l’on s’allie à lui et qu’il triomphe. La fable « le Loup et l’Agneau » commence bien par « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cette citation représente bien les idées de La Fontaine. Ce dernier dans ses fables, nous donne à imaginer des récit où les trompeurs et les puissants sont toujours dans

raisonnable de croire qu’une vérité est possible au-delà des opinions, parce que la raison dépasse nos sens et nous permettent d’aller voir plus loin. En jaune : on ne disait pas que la vérité était éphémère, mais les opinions (croyances) sont éternelle. Les deux trucs en jaunes se contredisent ARGUMENT #1 Tout d’abord, selon les sophistes, essayer de trouver la vérité est un projet trompeur. Dans le sens que, selon eux, la vérité absolue du monde est inaccessible. Donc, on peut s’induire en erreur en

autrui ne garantit pas la certitude d’exister. Les sens ne nous donnent qu’une image des choses matérielles  Tromperie. Plus aucun doute n’est possible : Les sens peuvent nous tromper toujours. Il nous arrive de nous tromper en raisonnant (paralogisme). Exemple : Les mathématiques. L’erreur prend alors une apparence de vérité. C’est le principe même de l’erreur. Douter des raisonnements revient à douter de la raison. C’est alors le concept de Dieu trompeur, car Dieu peut tout, donc nous induire en erreur

rien. → Le bonheur va se définir par un bien vivre. Je suis heureux quand je réalise ma nature propre, ma nature d'homme. Pour bien vivre, la vertu est nécessaire. C'est à dire une certaine maitrise de soi. Cette maitrise de soi passe par un sens de la juste mesure, et une maitrise des désirs. b) Épicure : Les différents désirs. Laisse une quinzaine de ligne pour un schéma :) Le bonheur pour Epicure : c'est l'aponie : état d'absence de souffrance. C'est l'ataraxie : l'absence

signifié, le lien n’est pas arbitraire, il est necessaire. » cad que par exemple, le concepte, le signifier « maison » est forcement identique dans ma conscience au signifiant phonique c) La parole pour Merleau-Ponty, n’est pas simplement un bruit, mais sens egalement. Une pensee est necessairement paroles, tout comme la pensee est necessairement parler. d) Si nous pensons grace au langage, est a travers le langage, il est evident, que la langue que nous parlons vas structuree notre pensee. En effet,

dernières illusions. Mensonge = • Action de déguiser, d'altérer la vérité • Assertion contraire à la vérité. • Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur La fiction est bien du domaine de l'imaginaire et, à ce titre, peut se révéler un mensonge dans son acception littéraire, mais on ne peut en induire qu'elle est un mensonge au sens moral, c'est-à-dire, la volonté de déguiser ou d'altérer la vérité. La fiction permet-elle ou non l'expression d'une pensée sérieuse ? 1. La fiction

intentionnelle et n’a pas d’interlocuteur. Cependant, elle pose tout de même le problème du mensonge car elle vient du latin « Illudere » ce qui signifie : tromper, abuser. Dire que l’art est illusoire reviendrait donc à insister sur le caractère trompeur de l’art, et son rapport d’imitation. L’art ne permettrait donc pas d’accéder à la réalité. Or, une œuvre n’est pas seulement le produit d’une imagination sans rapports avec le réel mais les œuvres peuvent aussi manifester un rapport à la réalité

longtemps que désormais je croirais commettre une faute, si j'employais encore à délibérer le temps qui me reste pour agir. Aujourd'hui donc que, fort à propos pour ce dessein, j'ai délivré mon esprit de toutes sortes de soins, que par bonheur je ne me sens agité d'aucunes passions, et que je me suis procuré un repos assuré dans une paisible solitude, je m'appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions.» Comprendre que l’on se trompe pas seulement sur les

grace est à l'égard du chrétien. La grace détermine le chrétien à agir; la raison détermine le philosophe. Le philosophe comprend le sentiment qu'il rejette, avec la même étendue et la même netteté qu'il entend celui qu'il adopte. Intro : «Le bon sens est la chose au monde la mieux partagée» écrit Descartes dans le Discours de la méthode. La spécificité de l'homme semble être la raison. Tout homme doit penser par lui-même, développer sa raison, pensaient les philosophes du siècle des Lumières