Les Soldats Francais Sont Des Heros

Rosenthal RAISING THE FLAG ON IWO JIMA Date : 23 février 1945 Lieu : Iwo Jima, Pacifique Sud Photographe : Joe Rosenthal le photographe obtint le prix Pulitzer pour ce cliché en 1945 Introduction : « Raising the flag on Iwo Jima», en français « Planter le drapeau sur Iwo Jima », est une photographie de Joe Rosenthal prise le 23 février 1945. La photographie appartient au domaine de l’art du visuel. Je vais parler de la guerre sino-japonaise qui a eu lieu de février à mars 1945, faire

mais d’une succession de reprise et d’ajouts. Ces chants, qui glorifient les Dieux et les Héros, s’inspirent des chants religieux et appartiennent plutôt au registre de la poésie épique. 1ère partie : La poésie lyrique « classique » : la Renaissance Le terme de « poésie lyrique » apparait en XVe siècle en opposition avec la « poésie épique » de l’Antiquité, qui chantait les exploits des Dieux et des Héros. La poésie lyrique est une poésie qui se caractérise par l’utilisation de tous les éléments

jeunesse en 1937 Contexte : ce document se situe au moment où la jeunesses hitlerienne (HitlerJunged) est bien ancrée dans le IIIème Reich. En effet, en 1937, l'Allemagne se prépare à la guerre, et prépare en plus de ses soldats actuels, des milliers de jeunes futurs soldats dans des camps de jeunesse. Ils apprendront la bas a se battre, à detester les juifs et étrangers, et surtout à placer Hitler, leur Führer sur un piedestal. Depuis 1936, les jeunesses Hitleriennes dépassaient déjà les 5 millions

écrasante, un démentellement du territoire français et la naissance d'un nouveau régime: le régime de vichy qui fera disparaître toutes les bases qu'a donné la 3éme république pour en faire un régime qui est contrôle par un seul homme, le maréchal Pétain, grand héros de la bataille de Verdun en 1916 pendant la 1ere guerre mondial. Dans cette synthèse on va montré les grandes étapes de l'année 1940 à partir du choc de la défaite, le choix qui s'ouvre aux français face à l'Allemagne victorieuse et la nature

révolutionnaire "la liberté ou la mort" : on voit un amas de cadavres (soldats de la garde nationale) et un mourant aux couleurs de Paris, qui expire son dernier espoir vers la liberté.  A gauche et à droite de la Liberté se trouvent les représentants du peuple : un enfant du peuple, le gamin de Paris :il est le symbole de la jeunesse révoltée par l'injustice. Le bras levé, armé de pistolets de cavalerie ; il porte en bandoulière le sac d'un soldat. Son béret de velours noir évoque les étudiants de Paris

1) Titre du livre et date de parution : Capitaine Conan (1934) Auteur : Roger Vercel (8 janvier 1894- 26 février 1957) 2) Résumé : L’histoire commence dans les Balkans, au bord du Danube. L’armistice vient d’être déclaré, permettant aux soldats français de rentrer dans les villes roumaines pour fêter leur victoire. Mais à peine la guerre finie officiellement, les ennuis commencent… les exactions, telles le vol ou les désertions temporaires, tolérées pendant le conflit, sont à présent punies et

que la guerre au front était une affaire d’homme. Le lieu de l’action L’action se passe principalement dans les tranchées, pas loin de la ville de Lens, dans le nord de la France. D’un coté, on trouve les forces françaises et un bataillon de soldats écossais. De l’autre, les troupes prussiennes, chargés de capturer Paris. On voit aussi des fragments de la vie « normale » loin du carnage du front, avec des scènes qui se passe dans les lieux tels que l’Opéra de Berlin, le Quartier General prussien

Bac de Français ! Théâtre : Cyrano de Bergerac. 1/ Edmond Rostand est un auteur dramatique Français. Il écrit des poésies, des essais... 2/ Edmond Rostand a écrit Cyrano de Bergerac, L'Aiglon, Chantecler... 3/ Edmond Rostand appartient au mouvement littéraire du romantisme. 4/ Le romantisme : Mouvement littéraire et culturel du 19eme siècle qui cherche à mettre en avant l'expression de soi, le gout de la nature... Victore Hugo, Stendall, Hoffman sont des écrivains romantiques. 5/ C.B est un

sont un corps de militaires appartenant à l'Armée coloniale constitué au sein de l'Empire colonial français en 1857, principal élément de la « Force noire »1 et supprimé au début des années 1960. En 1914-1918, ce sont environ 200 000 « Sénégalais » de l'AOF qui se battent dans les rangs français, dont plus de 135 000 en Europe. 30 000 d'entre eux y ont trouvé la mort sur les 1 397 800 soldats français morts durant le conflit (soit moins de 2,3%), et nombreux sont ceux qui sont revenus blessés ou

difficile, voire impossible. Plusieurs évènements annonçaient une fin proche de la guerre, tels que la révolution russe, l’entrée en guerre des Etats-Unis ou encore la proposition de paix de l’Allemagne en 1916. Et pourtant, les combats continuent. Les soldats, découragés, se rebellent et n’obéissent plus aux ordres. On entre dans la période dite de « mutineries » ; les hommes ne veulent plus combattre. A l’arrière, c’est le même refrain, la population est découragée, et très affaiblie par la guerre. Elle