Les Séparés Marceline

troublé mon courage timide. Ciel ! On peut donc mourir à l'aspect d'un perfide, Si son ombre fait tant de peur ! Comme ces feux errants dont le reflet égare, La flamme de ses yeux a passé devant moi ; Je rougis d'oublier qu'enfin tout nous sépare ; Mais je n'en rougis que pour toi. Que mes froids sentiments s'expriment avec peine ! Amour... que je te hais de m'apprendre la haine ! Eloigne-toi, reprends ces trompeuses couleurs, Ces lettres, qui font mon supplice, Ce portrait, qui

l'ampleur d'un bienfait qui tient du miracle et que seul une puissance supérieure peut apporter. La structure syntaxique de la phrase rend compte de cette mâne céleste : "je quittais le monde; et vingt brasses d'eau [20*1,60m = 320metres] m'en allaient séparer". Indépendante et principale à l'imparfait dont les 2 emplois traduisent ici l'imminence d'un danger presque là, "lorqu'un dieu bienfaisant m'appela...": subordonnée circonstancielle de temps en corrélation avec la principale précédente, - à la manière

pour lui-même, en a une relative au Comte, que le moraliste aperçoit, mais qui n'a pas encore frappé le grand commun de nos jugeurs. Ainsi, dans cet ouvrage, chaque rôle important a quelque but moral. Le seul qui semble y déroger est le rôle de Marceline. Coupable d'un ancien égarement dont son Figaro fut le fruit, elle devrait, dit-on, se voir au moins punie par la confusion de sa faute, lorsqu'elle reconnaît son fils. L'auteur eût pu en tirer une moralité plus profonde : dans les mœurs qu'il

d’identification :Marceline reconnut tout de suite la silhouette du type : c’était le soi-disant Pédro-surplus. Mais lorsqu’il eut allumé dans la pièce où elle se trouvait, Marceline crut s’être trompée car le personnage présent ne portait ni bacchantes ni verres fumés. [...]Et tandis que, s’étant assis, il remettait en silence ses tatanes, elle constata qu’elle n’avait pas commis d’erreur dans sa première identification. C’était bien le type que Gabriel avait jeté dans l’escalier 15. Ici, Marceline donne trop

l’accent sera mis sur un type particulier : la femme douce et aimante. Venez donc découvrir des poèmes du XVIIème, du XIXème, du XXème et du XXIème siècle avec Paul Scarron, Alfred de Musset, Gérard de Nerval, Louise Ackermann, Paul Verlaine, Marceline Desborde Valmore, François Coppée, Bernard Lorraine et Michel Lautru. J’espère que vous les lirez avec plaisir : mon objectif sera atteint ! Bonne lecture ! Table des matières Femmes dévalorisées « Vous faites voir des os » , Paul Scarron

rêvant sous son voile argenté ; A l’appel du plaisir lorsque ton sein palpite, Aux doux songes du soir lorsque l’ombre t’invite, Ecoute au fond des bois Murmurer une voix : Rappelle-toi. Rappelle-toi, lorsque les destinées M’auront de toi pour jamais séparé, Quand le chagrin, l’exil et les années Auront flétri ce coeur désespéré ; Songe à mon triste amour, songe à l’adieu suprême ! L’absence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon coeur battra, Toujours il te dira Rappelle-toi. Rappelle-toi

la notion d’infini et de la beauté de l’univers. Pour finir, c’est la célébration de la femme. La femme est a l’image de la nature et la nature L’entrevue au Ruisseau de Marceline L’entrevue au ruisseau est un poème d’amour. Il est construit sous la forme d’une comptine, avec un refrain qui revient qui « L’eau nous sépare… rien». Cela donne plus de rythme et d’émotion au poème. Mais, c’est d’une séparation que nous conte l’auteur. On ne sais pas ce qu’il s’est passé exactement , mais on ressent

Petite anthologie poétique Thème choisi : L’ Emotion amoureuse [pic] Les Amoureux au Poireau, Doisneau Table des matières : Page 3 et 4 : Préface. Page 5 : Plaintes d’amoureux – Deschamps Page 6 : Les Séparés – Desbordes-Valmore Page 7 : Le Léthé – Baudelaire Page 8 : Colloque Sentimental – Verlaine Page 9 : Première Soirée – Rimbaud Page 10 : Absence – Géraldy Page 11 : J’ai tant rêvé de toi – Desnos Page 12 : Il n’y a pas d’amour heureux – Aragon Page

Alphonse de Lamartine : progressiste. 1e poète romantique français : Méditations poétiques. Son christianisme est social. Dans Le lac il exprime une nostalgie en accord avec une nature compatissante. * Marceline Desbordes : progressiste. Elle perd tout ceux qui lui sont cherspoèmes poignants. Les séparés * Alfred de Musset : progressiste. Son œuvre exprime un douloureux décalage entre une jeunesse bercée de récit historiques et qui ne voit qu’une vie bourgeoise terne. Tristesse Trois auteurs annoncent

impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes → un relief proéminent L’accumulation (énumération) Elle propose une série de mots (de même nature) séparés par des virgules. Exemple : Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières On s’écrasait aux ponts pour passer les rivières. (Hugo) La gradation Succession de mots organisée pour montrer une progression (croissante ou décroissante)