Les Tambours De La Nuit

Spleen LXXXVIII (78)Analyse linéaireIntroduction : Charles BAUDELAIRE est un auteur majeur du XIXe siècle. Il se situe à la charnière du Romantisme récent et du Symbolisme naissant, mouvement dont il sera d’ailleurs l’inspirateur. Il marque la littérature du XIXe siècle par son recueil de poèmes Les Fleurs du Mal, publié en 1857. Le poème Spleen est extrait de la première section intitulée Spleen

fiancée Marisa Mallo qui était considerée comme la plus belle femme du monde. Une fois en prison, Marisa vint toujours le voir et lui portait de la nourriture et en fraude lui faisait passer un revolver aux morceaux le premier jour lui a donné le tambour le deuxième le pistolet et le troisième les balles, Herbal laissait passé mais il savait qu'il portait l'arme et le troisième jour il changea les balles pour quelles soient incompatibles. Ainsi le docteur da barca n'a pa spu s'en servir pour se sauver

domaines que ses détracteurs disent que ce n’est pas lui qui a écrit ses pièces, voir qu’il n’a pas existé. En effet, un homme si brillant, ça peut vite énerver : dans les pièces historiques, Richard III, c’est lui, dans les comédies, le songe d’une nuit d’été, c’est encore lui, enfin, les tragédies, Roméo et Juliette, Shakespeare, toujours. Sans oublier Macbeth, bien sûr, et toutes les autres que je ne citerais pas. Aujourd’hui, on parle de Macbeth façon Eric Massé, le metteur en scène.

galops ronds, Tournez, tournez, sans espoir de foin Et dépêchez, chevaux de leur âme: Déjà voici que la nuit qui tombe Va réunir pigeon et colombe Loin de la foire et loin de madame. Tournez, tournez! le ciel en velours D’astres en or se vêt lentement. Voici partir l’amante et l’amant. Tournez au son joyeux des tambours! Champ de foire de Saint-Gilles, août 72. Aquarelles GREEN

tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. L'albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux

(celle du carnaval orthodoxe) où règne la joie et l'amusement. L'orchestration et les rythmes aux changements rapides illustrent parfaitement la hâte et les mouvements de la fête. Un joueur d'orgue de Barbarie et une danseuse amusent la foule. Les tambours annoncent l'arrivée d'un vieux mage, qui capte l'attention de tout le monde. Le rideau s'ouvre alors pour laisser apparaître la curiosité, accompagnée de trois poupées : Petrouchka, la ballerine et le Maure. Le vieux mage joue de la flûte pour user

Figure 1 : tonello 325 2) Fiche technique Modèle G1 130 HD1/HJ1 G1 325 HD1/HJ1 G1 200 HD1/HJ1 G1 420 HD1/HJ1 G1 510 HD1/HJ1 Volume du tambour (l) 1314 2000 3112 4285 5094 diamètre du tambour (mm) 1323 1600 1620 1878 1878 Profondeur de tambour (mm) 956 995 1510 1547 1835 Vitesse variable (rpm) 0/650 0/500 0/500 0/500 0/500 Puissance installée (kW) 26,0 37,0 28,0 35,0 43,0 Hauteur (mm) 2550 3255 3050 3315

On retrouve donc naturellement une forte concentration de leurs cérémonies, les lîla, durant le mois de Cha’bâne (autrefois le seul mois ou elles étaient célébrées). A partir du 15 du mois surtout, car cette nuit est appelée la nuit du Pardon, elle préfigure selon la croyance populaire la nuit du Destin où le Coran fut révélé à Mahomet. Le mois de Ramadan est le seul mois où on ne pratique pas le rituel, car les mlûk (djinns) sont enfermés sous terre. On peut observer ici que la religion

| |Périphrase |Elle remplace un mot par une expression |Ex : La capitale de la France. / L’astre| | |qui le définit. |de la nuit. | | | |Le roi des animaux. / L’empereur à la | | |

Même sans tambour, même sans trompette On s'en va là-bas en baissant la tête. REFRAIN Adieu la vie, adieu l'amour, Adieu toutes les femmes. C'est bien fini, c'est pour toujours De cette guerre infâme. C'est à Craonne que le plateau Qu'on doit laisser sa peau Car nous sommes tous condamnés Nous sommes les sacrifiés 2- Huit jours de tranchée, huit jours de souffrance, Pourtant on a l'espérance Que ce soir viendra la relève Que nous attendons sans trève. Soudain dans la nuit et le silence