Les Tambours De La Nuit

chorégraphies sur des bases populaires . LaTamborrada la soirée du 19 janvier. La fête commence dans la place de la Constitution, dans le cartier Viejo. Les gens de " Donosti " (San Sebastián en basque), s'habillent de cuisiniers ou de soldats et les tambours commencent à sonner et on peut les entendre jusqu'à minuit du lendemain. Sa Fiesta Mayor ou Grand Fête ou elle est dans la grande semaine " Semana Grande " en Août et qu'elle dure une semaine entière. Le plus joli est le concours international

sonorités dominantes sont douloureuses, nasales en "en", sifflantes en "s", l'assonance en "i" est très souvent à la rime. - L'ensemble ramène à "l'esprit gémissant". - Le climat est de plus en plus malsain: "jour noir" (vers 4) oxymore inquiétante; la nuit est pire, la terre devient un cachot humide, l'eau se fait pourriture. - Le climat est de plus en plus menaçant, le poète est hanté par des présences menaçantes, "peuple muet d'infâmes araignées" (vers 11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée

feu, tout le monde la regardait. La petite fille arrêta de danser et dit « Djali » alors, une petite chèvre blanche arrive, elle lui pose des questions par rapport aux mois, aux jours et il est qu’elle heure, la chèvre lui répond en tapant sur le tambour. Quand Quasimodo passe devant la Maison-aux-Piliers, un homme saute en dehors de la foule et lui arrache sa crosse. C’était le même homme qui avait dit des méchancetés à la danseuse, il s’appelait Claude Frollo, l’archidiacre. IV Les inconvénients

Approchons-nous, madame, et au lieu de regarder ce petit palais, prions les person- nes qui l’habitent de vouloir bien nous y recevoir. ROSAURA. La porte en est ouverte… Mais quoi ! le regard, en plongeant dans ce sombre lieu, n’y découvre que la nuit. On entend un bruit de chaînes. CLAIRON. O ciel ! qu’entends-je ? ROSAURA. Je ne sais quel sentiment m’a rendue immobile, tremblante et glacée. CLAIRON. N’est-ce pas le bruit d’une chaîne ? Que je meure s’il n’y a pas là un galérien ! Ma peur ne m’a

Guy de Maupassant………………….21 Texte 4 : Excipit, Bel Ami de Guy de Maupassant……………………………………….22 Séquence 4 Objet d’étude : L’argumentation. Texte 1 : Chanson (VII,6), Les châtiments de Victor Hugo …………………......24 Texte 2 : Souvenir de la nuit du 4, Les châtiments de Victor Hugo…….......26 Texte 3 : A l’obéissance passive, Les châtiments de Victor Hugo…….........28 Texte 4 : Lux, Les châtiments de Victor Hugo……..................................29 Séquence 5 Objet d’étude : La

au début de l’extrait, elle nous informe sur l’état d’esprit du héros en fin d’extrait : le narrateur est donc omniscient. Enfin, la musique est présente dès le début de l’extrait : c’est un air entraînant, guerrier, avec des flûtes. On entend les tambours dès le premier plan de la deuxième scène, en rythme avec les pas des soldats. Elle permet une continuité sonore entre les deux premières scènes, comme les sons d’ambiance font le lien entre les scènes deux et trois. Une seconde musique est présente

cause. Déjà les dernières miettes du pain et du jambon avaient disparu ; nous avions fumé chacun un second cigare ; j’ordonnai au guide de brider nos chevaux, et j’allais prendre congé de mon nouvel ami, lorsqu’il me demanda où je comptais passer la nuit. Avant que j’eusse fait attention à un signe de mon guide, j’avais répondu que j’allais à la venta del Cuervo. – Mauvais gîte pour une personne comme vous, monsieur… J’y vais, et, si vous me permettez de vous accompagner, nous ferons route ensemble

Réponse : B. Les temps du discours (le présent d’énonciation, le passé composé, le futur simple) = Enoncé ancré Réponse : A. Le narrateur adulte commente les événements qu’il a vécus étant enfant Chapitre I: Deux éléments déclenchent le récit : la nuit et la solitude. Le narrateur songe au poids de sa solitude et part à la recherche de ses origines en évoquant son enfance. Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu’il côtoie. Il est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par le

of the plains Indians », pow-wow songs. C. Les instruments. Depuis fort longtemps, le tambour est le plus couramment utilisé. Il constitue l'accompagnement unique et fidèle d'un nombre important de chanteurs seuls. Les « Cayuga » ou « Seneca » du groupe des Iroquois du Canada, par exemple, utilisent un tambour à eau qu'ils tiennent entre les genoux. Comme instrument de rythme, en dehors des tambours et des tambourins, on rencontre des hochets ainsi que des bâtons munis de pièces en fer ou

beaucoup de mouvement dans la pièce» (Lettre modérée sur la chute et la critique du Barbier de Séville). De la scène d’ouverture, où l’on voit le Comte faire les cent pas sous la fenêtre de Rosine, à l’escalade finale de la maison de Bartholo, par une nuit d’orage qui accentue encore le caractère mouvementé de cette entreprise, on bouge en effet beaucoup tout au long de la pièce. Aucun des principaux personnages ne semble tenir en place, et aucun ne tient sa place : le grand seigneur est « Lindor »,