Les Types De Monologue

dans la langue et les variations |Phono-graphologique. | |Moyens : |du choix par rapport à ses disponibilités. |Syntaxique | |I. Outils communs à tous les types de texte. |Ces disponibilités peuvent se diviser en |Sémantique | |La linguistique : 1la détermination |sous-codes. Ex : registres de langue. Les |II. L’énonciation | |(actualisation

pas un bon signe. Les éléments à repérer dans le texte la syntaxe la ponctuation les indices de l’énonciation les champs lexicaux, nécessaires pour relever des thématiques pertinentes les figures de style le mode et le temps des verbes les types de discours (descriptif, narratif, argumentatif…) les connecteurs logiques, en particulier dans le cas d’une argumentation les pronoms personnels et possessifs, pour mieux identifier la place de chacun le niveau de langue (soutenu, courant, familier

romans. Sa notion du roman : Sthendal n'a pas laissé de théorie du roman mais qq éléments épars d'un art du roman. Il voyait ds ce genre une idéalisation de la réalité : "Dans les romans, on ne nous offre qu'une nature choisie. Nous nousformons nos types de bonheurs d'après les romans." (Stendhal). L'écrivain soulignait l'intérêt de pénétrer ds l'intériorité d'un individu, et d'enrigistrer fidèlement ses pensées. Son idéal de roman est la vérité la plus dépouillée d'artifices, il entendait fonder sa

devant ce quatrième mur et tout dans leur jeu est destiné à être vu ou entendu dans la salle. Les apartés ne sont pas des pensées à peine murmurées mais des paroles que tout le monde doit entendre. Les confidences de la tragédie sont publiques et les monologues ne peuvent rester intérieurs à la différence du roman. Lorsque les personnages sont à table comme dans le repas que partagent Sganarelle et son maître à la fin de l'acte IV de Dom Juan, ils sont face au public, au pire de profil, jamais de dos.

sa propre morale, oriente l’économie vers le libéralisme, se préoccupe de l’émancipation des femmes ou des esclaves, réflé- chit à une nouvelle pédagogie, promeut la tolérance et la liberté politique. Le Mariage de Figaro en est le reflet. Le monologue de l’acte V résume tout particulièrement avec son rythme endiablé, le mouvement du siècle. On y trouve mentionnés le développement de la presse avec le projet de Journal inutile, des Académies de province animant la vie intellectuelle en proposant

compléter) réplique : volume tirade : changement de ton, réaction, sentimts intenses = raconte, explique, défend, énonce, accuse monologue : deux sentiments contradictoires, étape décisive (fonction dramaturgique) face à dilemme = incertain, bouleversé informatif / narratif / argumentatif (délibération) / interpellation (dieux) réflexion, doutes, projet récit (tirade, monologue) : rendre vivant l’événement stances : morceaux poétiques en alexandrins => lyrisme, pathétisme stichomythies : tension, symétrie

La première séance sera consacrée, après la relecture de l’acte trois, à reconnaître le jeu comique hérité de la farce et d’établir au vu des différences, les éléments qui caractérisent la comédie. Il sera intéressant de s’interroger aussi sur le monologue final et comment le théâtre permet de faire triompher le rire. Une deuxième séance fera l’objet d’un repérage des procédés comiques utilisés par Molière en soulignant le rôle des didascalies et des apartés. La troisième séance présentera une séance

intrigues de théâtre par un « schéma actantiel » fondé sur une quête, un désir qui anime un ou plusieurs personnages et qui répartit les autres en « adjuvants » ou « opposants », ce qui fait bien ressortir la dimension antagoniste du théâtre. Plusieurs types d'affrontements peuvent ainsi être mis en scène : le conflit intérieur d'un individu déchiré entre des sentiments ou des impératifs contradictoires, comme par exemple celui d'Hermione, dans Andromaque. Le combat d'un personnage contre son destin

chrétiens et les coutumes chrétiennes dans cette pièce de théâtre, ce qui est démontré clairement dans la réplique prononcée par Sganarelle à la scène 2 de l’acte 1. Dans le monologue retrouvé aux pages 41 et 42, Sganarelle nous présente souligne que Dom Juan ne respecte pas la religion chrétienne. Par exemple, dans une phrase du monologue, il demande à Dom Juan : « [osez]-vous bien ainsi vous jouer au Ciel, et ne tremblez-vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes ? »5 En effet

chevalerie sont parodiés au Moyen-Age ainsi que la société médiévale dans des romans telle que Le Roman de Renart. Le personnage au XVIIème siècle : Au XVIIème siècle, plusieurs genres de romans se développent et donnent naissance à différents types de personnages. Le personnage est moins héroïque comme le gentilhomme dans Don Quichotte. D'autres romans mettent en scène des personnages de basses conditions, rusés, appelé personnage picaro, comme Lazarillo de Tormès dans La Vie de Lazarillo de