Les Vieux Mariés

est vivant, elle refuse de le reconnaître et l'accuse d'être un imposteur.Malgré le caractère invraisemblable de l’affaire du vieux « carrick » (surnom donné à Chabert par les clercs de l’étude), Maître Derville accepte de s’occuper du colonel Chabert. Chabert voudrait retrouver ses biens, son rang, et sa femme. Mais la femme du colonel refuse de reconnaître son ancien mari. Elle a tiré une fortune énorme de sa disparition et c'est pour sa fortune que le comte Ferraud, de vieille noblesse, et émigré

Lucinde Allons, père, arrêtez ! Et, sauf votre respect, l'homme que vous m'avez choisi comme futur époux n’est point à mon goût ! Il est bien trop vieux ! Sganarelle Bien trop vieux ? Il n'a que cinq ans de plus que toi ma fille, c'est une excuse parmi tant d'autres, tu ne souhaites pas te marier voilà tout. Je ne veux point écouter les sottises que tu me racontes. Lucinde Mais enfin, père, que vous coûte de laisser votre fille vous parler et vous dire ce qui lui tient au cœur ? Un père ne se

l'avait délivré de toute la partie romanesque de son caractère »). Mais sa fraîcheur et sa spontanéité restent entières. → Le marquis del Dongo, le père de Fabrice est un anti-héros : il représente le vieux monde (« le gros visage blême, le sourire faux et la haine sans borne pour les idées nouvelles, vieux, dévot et morose »), ce à quoi Fabrice veut échapper dans ses rêves de gloire guerrière et patriotique. Il est père de Fabrice par le sang, mais un doute existe, et par le nom, mais ne fait ni son

 renforcé  par  les   mouvements  de  tête    «  montre  sa  tête  »  montrant  sa  tête  «    sortant  sa  tête  »  ou  encore   «  on  verra  la  tête  du  Vieux  monsieur  »  etc…   Le  passage  du  Rhinocéros  est  aussi  perceptible  à  travers    les  commentaires  des     personnages  qui  décrivent  son  trajet  et  permettent

revenir la séduire mais cette fois, de la manière qu’elle mérite, soit bassement et en employant tous les vils stratagèmes de la conquête amoureuse. On apprend ensuite que ce même Solal n’est autre que le supérieur hiérarchique d’Adrien Deume, le mari ambitieux et médiocre d’Ariane. Petit fonctionnaire de la Société Des Nations, Adrien est incroyablement paresseux et ne sait que trouver pour éviter d’avoir à travailler. La partie se termine sur la promotion surprise accordée par Solal à Deume qui

avait déjà fait allusion au suicide plusieurs fois mais ce jour là ces voisins le retrouvèrent dans l’orangerie pendu par ses bretelles et c’est a ce moment là que sa femme décida de l’envoyer à l’asile. Aujourd’hui madame Moping rend visite à son mari et pour la première fois sa fille de son plein grès se porta volontaire pour rendre visite à son père. Une fois arrivé a l’asile le médecin leurs demanda de patienter un instant le temps de prévenir monsieur Moping de leurs visite. Il se présenta

critères pour être un bon mari, et c’est pour cela que Mr Orgon l’a choisi pour épouser sa fille. Lisette est la servante de Silvia. Elle est son opposé, que ce soit par ses opinions ou encore par son statut social. Elle a très peu d’éloquence et de richesse. Arlequin est le valet de Dorante. C’est le personnage dans la pièce qui a le moins d’éloquence et d’éducation. Mr Orgon est le père de Silvia et de Mario. Il veut marier sa fille et lui propose un mari. C’est un homme indulgent,

Ça rapporte plus qu'autre chose.» Il avait, en effet, quatorze enfants. Si on s'informait de ce qu'ils étaient devenus, il disait avec un air d'indifférence: «N'en reste huit à la maison. Y en a un au service et cinq mariés.» Quand on voulait savoir s'ils étaient bien mariés, il reprenait avec vivacité: «Je les ai pas opposés. Je les ai opposés en rien. Ils ont marié comme ils ont voulu. Faut pas opposer les goûts, ça tourne mal. Si je suis ordureux, mé, c'est que mes parents m'ont opposé dans

 : Au cuisinier, Jean Bonpain, je comprends. Ça parfume ses pâtés. Mais le barbier, qu’est-ce qu’il en fait, de tes herbes ? Flore  : tu vas comprendre : Jeanne vient me voir souvent en m’expliquant que son barbier de mari est de plus en plus maladroit et qu’il lui faut des herbes cicatrisantes. Berthe  : Qu’est ce que tu veux dire par là ? Flore  : Et bien, je t’explique : certaines plantes ont la vertu d’aider à la cicatrisation

voulaient pas s'embêter avec un vieux « Quatre-vingt-treize », car cela n'aurait pas était convenable vu la situation de l'époque. Les deux filles ont donc renié leur père pour ne pas nuire à leur mari, celles-ci n'ont donc aucune reconnaissance envers leur père. On peut ainsi remarquer que l'auteur utilise différentes expressions péjoratives qui marquent bien le fait que le père, cet ancien révolutionnaire, dérange : « les deux gendres ne se sont pas formalisés d'avoir ce vieux », « le bonhomme a gêné »