Les Yeux Des Pauvres Baudelaire Analyse

Intégralité du corpus Dégager les caractéristiques formelles de la nouvelle et les thèmes qu’ont en commun les textes du recueil : sociologie normande et pessimisme Unité formelle et thématique du recueil 2 Intégralité du corpus — Analyser les disparités des textes — Introduire la notion de conte, ce qui implique d’étudier le statut du narrateur dans chacun des textes Diversité du recueil 3 « Toine » et « Le Père Amable » Dégager la composition dramatique des textes

comme son entourage mondain, il goûtait les romans psychologiques spécialisés dans la peinture de l'aristocratie ; comme ses anciens professeurs, il fréquentait les classiques du XVIIe siècle. À tout cela, il ajouta personnellement Saint-Simon, Baudelaire, Flaubert, Sainte-Beuve, Barbey d'Aurevilly, Augustin Thierry, Tolstoï, Dostoïevski, Anatole France, Pierre Loti, Mallarmé. Cette faculté de communier avec des auteurs aussi variés semblait indiquer plutôt la souplesse du critique qu'une conception

par son apparence extérieure, vous n'en auriez pas donné une pelure l'oignon, tellement il était laid de corps et d'un maintien risible, le nez pointu, le regard d'un taureau, le visage d'un fou, simple dans ses mœurs, rustique dans ses vêtements, pauvre de fortune, infortuné en femmes, inapte à tous les offices de l'Etat, toujours riant, toujours buvant à la santé d’un chacun, toujours plaisantant, toujours dissimulant son divin savoir. Mais en ouvrant cette boite, vous auriez trouvé au-dedans une

est de plaire (Molière) 1 2. La beauté formelle : équilibre et harmonie (Kant) 1 3. Quelques perspectives sur la beauté 1 (a) Le kitsch (Kundera) 1 (b) Le beau est toujours bizarre (Baudelaire) 1 (c) Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 1 (d) Beauté et utilité (Gautier) 1 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 1 B. Le vrai 1 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 1 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote)

plaire (Molière) 13 2. La beauté formelle : équilibre et harmonie (Kant) 14 3. Quelques perspectives sur la beauté 14 (a) Le kitsch (Kundera) 14 (b) Le beau est toujours bizarre (Baudelaire) 15 (c) Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 15 (d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 18 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 18 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la

fait nuit, tout dort encore et la marche du “je” éveille la nature. 2- Dans la ville, il commence à faire jour, course-poursuite de l’aube et du narrateur. 3- Étreinte entre l’aube et « l’enfant » : une victoire poétique, une expérience sensuelle. Analyse linéaire : 1- La marche du “je” qui éveille la nature “J’ai embrassé l’aube d’été.”→personnification, octosyllabe (comme le dernier vers→annonce surprenante car impossible). “Rien ne bougeait encore au front des palais.”→récit en analepse (retour

Aussi nous voyons que des dramaturges tels que Molière et Racine au 17ème siècle ou encore Marivaux au 18ème siècle, exploitent le thème de la femme. Du côté des poètes nous voyons de même que la femme est source d‟inspiration, par exemple chez Baudelaire dans La chevelure . Dans des récits plus récents tels Le blé en herbe de Colette ( 1923) ou encore dans La dentellière de Pascal Lainé (1974) une fois de plus la femme est au coeur même du récit. Tout cela ne me laisse pas insensible, c‟est pourquoi

travers les différentes permissions de Jacques, la guerre génère des sentiments exacerbés relançant la relation. Le Narrateur connaît ainsi les affres de la jalousie et les excès de la passion (« J’attendais le facteur. C’était ma vie », p. 115). À ses yeux, le contexte historique devient un alibi pour cacher l’adultère : « Après cette période extraordinaire, il retrouverait, comme tant d’autres soldats trompés à cause des circonstances exceptionnelles, une épouse triste, docile, dont rien ne décèlerait

On retient pour exemple la figure de Salomé pour laquelle on trouve très peu de choses dans la Bible et qui devient, notamment à la fin du XIXème siècle, une des figures mythiques les plus importantes de l'imaginaire collectif. Ce phénomène a été analysé par Mireille Dottin-Orsini qui observe le développement important de la misogynie au XIXème, période durant laquelle se développe notamment la figure de la femme fatale (rappel cours L1). Salomé est calibrée au top pour le rôle puisqu'elle incarne

l’insistance de la problématique du voir et de son corollaire (ou son symétrique) être vu. On ne peut qu’être frappé, à la lecture des œuvres au programme, par la répétition inlassable du verbe « voir » et de ses synonymes (« regarder », « suivre des yeux », « observer »…) Ces personnages qui n’agissent pas (ou si peu) se livrent intensément à l’activité de voir, qui est liée à des vécus affectifs d’une particulière intensité, au point qu’on peut considérer la vue comme le sens dominant, et les perceptions