Les Yeux Des Pauvres

célèbre est sa seule chance de quitter la réserve * Pauvre idiot : enfant vivant dans une pauvre, idiote famille dans la résere Indienne Spokane * Né le 5/11/1992 à l’hôpital sacré cœur chez les Spokane (2h plus vieux que Rowdy) * Surnom donné par les triplés : tête hydro, hydro, hydrogène, hydrocarbure, fissure hydro, hydro-automatique, hydroélectrique, hydro et faible, hydro et demandeur * Aime le basketball * Pauvre * Comme un potentiel tueur, un alien pour les blancs

été cause ? Sur lui, sans y penser, fis-je choir2 quelque chose ? « Non, dit-elle ; vos yeux ont fait ce coup fatal, Et c’est de leurs regards qu’est venu tout son mal. » Eh, mon Dieu ! ma surprise est, fis-je, sans seconde ; Mes yeux ont-ils du mal, pour en donner au monde ? « Oui, fit-elle, vos yeux, pour causer le trépas3, Ma fille, ont un venin que vous ne savez pas, En un mot, il languit, le pauvre misérable ; Et s’il faut, poursuivit la vieille charitable, Que votre cruauté lui refuse

Sapristi, où sont mes gants ? Allons ! partons, je veux aller tout voir, les livres, les affaires, la caisse, la correspondance, à l'instant. Je ne serai calme que quand il me sera prouvé que ta fortune ne court plus de risques, et que je la verrai de mes yeux. - Mon cher père ! allez-y prudemment. Si vous mettiez la moindre velléité de vengeance en cette affaire, et si vous montriez des intentions trop hostiles, je serais perdue. Il vous connaît, il a trouvé tout naturel que, sous votre inspiration, je

familles pauvres, les Tuvache et les Vallin, habitaient dans deux pauvres chaumières mitoyennes. Ils vivaient misérablement jusqu’au jour où un couple, Mr et Mme d’Hubières, passa près de chez eux. Ces derniers ne pouvaient pas avoir d’enfant et en étaient très malheureux. La dame prit l’habitude de venir rendre visite aux enfants et voulut adopter, moyennant finances, le petit Pierre, le plus jeune des Tuvache. La mère refusa violemment une proposition aussi alléchante qu’inhumaine à ses yeux. Le couple

lentement dorlote mon pauvre être?  Que voudrais-tu de moi, doux Chant badin?  Qu'as-tu voulu, fin refrain incertain  Qui vas tantôt mourir vers la fenêtre  Ouverte un peu sur le petit jardin?  C'est le chien de Jean de Nivelle C'est le chien de Jean de Nivelle  Qui mord sous l'oeil même du Guet !  Le chat de la mère Michel,  François-les-bas-bleus s'en égaie. La Lune à l'écrivain public  Dispense sa lumière obscure  Où Médor avec Angélique  Verdissent sur le pauvre mur. Et voici venir

Un silence de mort régna dans le salon, les yeux de Cécile et de son père ne ce croisa pas, puis… - Non ! Je n’épouserais pas Raphaël, cria Cécile. -Tu n’as pas le choix !, tu sais tout en temps que moi que la vie est dur !, te marié a un homme riche te conviendrais très bien, et je… Cécile coupa la parole de son père : - Papa, non je ne veux pas épouser un homme pour son argent et encore moins un homme que tu as choisi, je veux connaître mon destin par moi même, je

l’heure et il lu l’heure dans les yeux d’un chat. | Poèmes court qui installe la scène et prépare à la chute qui pousse à la réflexion | XXIII. La solitude | Le poète dénonce les propos d’un gazetier qui affirme que la solitude est une mauvaise chose pour l’homme. | Le poète défend son point de vue contre le gazetier en exposant ses propos par des noms et titre d’œuvre telle que La bruyère ou Robinson Crusoé. | XXVI. Les Yeux des pauvres | Le poète défend les pauvres et est même gêner de son statut

curieusement toutes ses vitres, et je lui dis : « — Comment ? vous n’avez pas de verres de couleur ? des verres roses, rouges, bleus, des vitres magiques, des vitres de paradis ? Impudent que vous êtes ! vous osez vous promener dans des quartiers pauvres, et vous n’avez pas même de vitres qui fassent voir la vie en beau ! » » Charles Baudelaire est ainsi un véritable romantique, avec deux aspects très prononcés, qui s'expriment finalement dans Les Fleurs du mal particulièrement « esthète » et mystico-religieux

« pantalon de grosse toile », « pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles », « blouse courte, souillée de boue derrière le dos » → il dors sur le pavé = c'est un mendiant => portrait d'un homme très pauvre vivant dans la rue + vol pour survivre + habits rudimentaires 2- Une femme ( et son enfant) : un carrosse : → « berline noire », « couronne ducale » = nous renseigne que c'est une duchesse à l’intérieur, « deux chevaux gris, deux laquais »

chat le regardait avec de gros yeux ronds d’une fixité diabolique.· Si : proposition subordonnée relative : ce n’est pas la première fois qu’il veut le faire· Gros yeux ronds : sur dimension : introduit le regard· Point de vue de Laurent· Fixité diabolique : complicité du diable. Introduit la folie de Laurent· Le chat : témoin du meurtre PH 3C’étaient ces yeux, toujours ouverts sur lui, qui exaspéraient le jeune homme ; il se demandait ce que lui voulaient ces yeux qui ne le quittaient pas ; il finissait