Les Yeux rouges

physique et morale d’une personne Monsieur Ali est un homme maigre, solide comme sa barque, lent, lucide ; un des hommes qui semblent faits pour être toujours en contact avec leur monde préféré : la mer. Il a un gros nez, un gros front, de gros yeux qui peuvent détecter les profonds secrets de la mer. Il offre, au premier aspect, une vague ressemblance avec Cousteau qui a découvert les signes cachés d’un monde complètement différent du notre. Ses dents sont noires et rares, sa bouche est si ridée

protéger les vitres. Un grand hall, avec des tableaux de la famille de Rocheville. A droite, un petit salon, une table en verre, des chaises canées. Un petit canapé, et une porte, donnant sur la terrasse. A gauche, le grand salon, avec des gros fauteuils rouges, une cheminée monumentale. Une grande table. A coté, la cuisine, avec un grand plan de travail en métal noir, et huileux, un four à l’ancienne, et son foyer. Une table de boucher. Dans le hall, un escalier, majestueux, desservant toutes les chambres

« Parade », Les Illuminations. «Des drôles très solides. Plusieurs ont exploité vos mondes. Sans besoins, et peu pressés de mettre en œuvre leurs brillantes facultés et leur expérience de vos consciences. Quels hommes mûrs ! Des yeux hébétés à la façon de la nuit d'été, rouges et noirs, tricolores, d'acier piqué d'étoiles d'or ; des faciès déformés, plombés, blêmis, incendiés ; des enrouements folâtres ! La démarche cruelle des oripeaux ! - Il y a quelques jeunes, - comment regarderaient-ils Chérubin

humeur puis soudainement content et joyeux * Retrait de la famille * Manque de soin dans sa tenue * Délaisse ses passe-temps, le sport et autres activités préférées * Sommeil altéré; debout la nuit et dort durant la journée. * Yeux rouges ou vitreux * Renifle ou nez qui coule Les symptômes et signes suivants sont associés à des drogues spécifiques : Méthamphétamines: "Electrifié”, insomnie qui dure des jours ou des semaines, perte importante de poids, pupilles dilatées, excité

Synthése Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert Propos sur le bonheur, Alain Le travail ne fait pas le bonheur mais il y contribue, Sciences humaines Les yeux rouges, Domonique Féret De nos jours, le travail est au centre de notre vie et est devenu quasiment indispensable. A l'origine "trepalium" qui était un instrument de torture, le travail est maintenant qualifié comme une activité professionnelle régulière et rémunérée. Le travail, c’est comme l’argent qu’il procure:

 Elles se regardent dans les yeux. Oh oui elles se haïssent, mais leur vengeances est au bout du chemin à présent. Il leur suffit de dégainer et de s’élancer, et enfin, elles sauront qui est digne du contrôle de ce monde. La première baisse ses prunelles rouges de rage sur le sabre de la seconde. L’autre ne fléchit pas, elle la dévisage. Tension. Dernier regard. Puis, comme d’un commun accord, l’une se met en garde, arme blanche à la main, l’autre se met en joue, Desert Eagle chargé. Qui sera

VIII Les femmes les enfants ont le même trésor Des feuilles vertes de printemps et de lait pur Et de durée Dans leurs yeux purs IX Les femmes les enfants ont le même trésor Dans les yeux Les hommes de défendent comme ils peuvent X Les femmes les enfants ont les mêmes roses rouges Dans les yeux Chacun montre son sang XI La peur et le courage de vivre et de mourir La mort si difficile et si

combattants. Ils sont armés de casque, bouclier, cape et jambières. On peut distinguer un changement de couleur dans les armures. Ceux qui ont des casques rouges, ont des jambières rouges et ceux qui ont des casques noirs ont des jambières noires. Il y a une symétrie dans les couleurs. Les guerriers en noirs, qui se placent entre deux guerriers en rouges, se font face. Les guerriers qui ont un casque noir semble avoir un bouclier et une cape rouge ; inversement pour les autres combattants. Il semble qu’Exékias

ruisselant sous un infâme glaive, Fume entre les pavés de la place de Grève, Qu'un juste assassiné dans la forêt des lois, Et dont l'âme a le droit d'aller dire à Dieu : Vois ! Victor HUGO   (1802-1885) Bêtise de la guerre Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille, Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons, Toute pleine du bruit furieux des clairons, Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie, Hideuse, entraîne l'homme en cette ivrognerie

frissonner la femme. Les murs sombres et le manque de lumière rendaient la pièce très petite. Seul le collier dans la vitrine et un masque usé agrémentaient cet espace. Le masque était effrayant ! Les yeux rouges du visage de la créature indescriptible représentée semblaient suivre l’unique cliente des yeux ! La bouche déformée semblait féroce et les trois plumes noires sous le menton (si c’était là le menton !) faisaient penser à une barbe ! Soudain, une voix froide, sans timbre, retentit du fond