Lesbos

voile en direction de Troie, le malheureux père défend cependant sa fille avec quelque fermeté, lorsqu'on lui annonce soudain l'arrivée d'Iphigénie et de Clytemnestre. À l'acte II, Ériphile, jeune captive qu'Achille a ramenée de son expédition contre Lesbos, découvre à sa suivante qu'elle aime le fiancé d'Iphigénie et qu'il n'y a rien qu'elle ne se sente capable de tenter pour empêcher l'union que l'on projette. Là-dessus paraît Iphigénie qui s'étonne de la froideur de son père et pose avec candeur des

contre Athènes,c’est la bataille de Naupacte en -429.Athènes gagne.Mais en -429, Périclès meurt, jusqu’alors chef incontesté d’Athènes.Sa succession pose problème.Deux personnalités politiques vont se la disputer Nicias et Cléon.En -428, l’île de Lesbos quitte la Ligue de Délos.Athènes intervient et saccage l’île.Et en -427, Platées est prise par Spartepuis vers -425 ou-424, Sparte prend la Thrace.Sans la Thrace, Athènes manque de ressources, perd d’autres batailles.Elle désire par la suite cesser

Hermias d'Atarnée. Parallèlement, Aristote ouvre une école, où il affirme déjà son originalité. Il y entreprend, entre autres, des recherches biologiques. En 345-344, Aristote, peut-être sur l'invitation de Théophraste, se rend dans l'île voisine de Lesbos, à Mytilène. En 343-342, il est appelé à Pella, à la cour du roi Philippe de Macédoine, qui lui confie l'éducation de son fils Alexandre. C'est là qu'Aristote apprend la fin tragique d'Hermias, tombé en 341 entre les mains des Perses, et lui consacre

sont attribués. 3. … inspire de la pitié au lecteur. Le fait que l’héroïne souffre d’un amour non-réciproque, et de plus qu’ elle culpabilise car elle n’aime pas un « gentil » homme inspire de la pitié au lecteur. Puis, le v.34 « Je l’aimais à Lesbos, je l’aime en Aulide. » est une anaphore assez contradictoire des vers précédents puisqu’elle ne voulait pas avouer qu’elle l’aimait et avait plutôt honte. Elle ne paraît donc pas sûre d’elle et assez perdue dans ce qu’elle ressent. Il y a des variations

l'impératrice Eugénie. L'éditeur, Auguste Poulet-Malassis, s'acquitte pour sa part d'une amende de cent francs, et doit retrancher six poèmes dont le procureur général Ernest Pinard a demandé l'interdiction (Les bijoux ; Le Léthé ; À celle qui est trop gaie ; Lesbos ; Femmes damnées [le premier poème]; Les métamorphoses du vampire). Malgré la relative clémence des jurés, en égard au réquisitoire qui vise onze poèmes, ce jugement touche profondément le poète, qui réalisera, contraint et forcé, une nouvelle édition

Les Fleurs du mal eut trois titres successifs :     - "Les Lesbiennes" en 1845 => référence à Sapho, poétesse grecque qui enseignait les arts à des jeunes filles sur l'île de Lesbos, dans la mer Egée.     - "Les Limbes" en 1848 => lieu où se retrouvent les âmes des innocents qui sont morts sans avoir reçu le sacrement du baptême.     - "Les Fleurs du mal" => projet poétique de Baudelaire : extraire la beauté du mal, transfigurer

sauf chapiteau plus élaboré. Couronne inférieure (feuille d’acanthe) Cauticole : Tige d’où partent les crosses. * Crosse angulaire * Crosse médiane Eléments décoratifs : Moulure ionique : Décor d’oves (en forme d’œuf) Moulure lesbique : Lesbos (ville) – décor en rais de cœur. Astragale : Motif perle & pirouette Anthémion : palmettes & fleurs de lotus. Vêtements Chiton/Himation : Mixte. Péplos : Surtout homme. Chiton : Tunique longue ou courte en lin finalement plissé porté

Madeleine la compagne de Paul entretient une relation particulière avec la grosse Pauline avec laquelle elle s'adonne aux plaisirs charnels dans un buisson aux alentours de la Grenouillère. Pauline est lesbienne comme cela est suggéré page 170 « V'la Lesbos ». Ici la prostitution peut être vue à travers le personnage de Madeleine dont Paul est épris : bien qu'elle ne l'aime pas comme elle le dit son compagnon « on ne te retient pas » (page 176) celui-ci l'entretient. La femme-prostituée se fait offrir

trois titres successifs : · « Les Lesbiennes » en 1845 ce qui faisait référence à Sapho, poétesse grecque qui enseignait les arts à des jeunes filles sur l'île de Lesbos, dans la mer Egée. · « Les Limbes » en 1848, lieu où se retrouvent les âmes des innocents qui sont morts sans avoir reçu le sacrement du

connaît le mythe d'Orphée, évoqué souvent pour expliquer l'essence de la poésie. Musicien et poète, le héros grec charme de sa lyre les bêtes fauves, il apaise les flots et séduit les dieux des Enfers. On dit que sa tête, roulant sur une plage de Lesbos, chantait encore. Ainsi, toute poésie, toute musique, envoûte et ce mythe en véhicule la " grâce ", le pouvoir divin et éternel. CONCLUSION A Degas qui se plaignait de ne plus parvenir à écrire parce qu’il manquait d’idées, Mallarmé